LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Monday, December 17, 2012

Commentaires d'Ellen White
From: http://www.adventverlag.ch/egw/f/complements2012.html


4ème trimestre 2012 CROITRE EN CHRIST

Sabbat après-midi, le 15 décembre 2012
12_ Les temps de la fin : Jésus et les hommes sauvés

Christ est dans le sanctuaire céleste, où il fait l’expiation en faveur du peuple. Il
présente à Son Père Son côté blessé et Ses mains percées. Il plaide en faveur de Son
église qui est sur la terre. Il purifie le sanctuaire des péchés du peuple. En quoi consiste
notre part ? A être en harmonie avec l’oeuvre du Christ. Par la foi nous devons agir avec
Lui, pour être en union avec Lui.

Le ciel tout entier est intéressé à l’oeuvre qui se développe sur cette terre. Un peuple
doit se préparer pour le grand jour de Dieu, événement qui est proche; et nous ne
pouvons pas permettre à Satan de jeter son ombre sur notre sentier, et intercepter notre
vision de Jésus et de Son amour infini. Nous devrions tirer du Christ l’aide dont nous
avons besoin. Et quand avons-nous besoin de Son aide? C’est à l’époque d’épreuve, au
moment où la tentation surgit comme une inondation, quand Satan jette son ombre
ténébreuse devant nous, et que nous ne sommes plus en mesure de distinguer le sacré du
profane. C’est alors que nous avons besoin de fuir vers la source de notre force.
Review and Herald, January 28, 1890 § 7, 8.

Dimanche, le 16 décembre 2012 Le sanctuaire céleste, première partie

Comme le sanctuaire terrestre construit par Moïse selon le modèle qui lui a été
montré sur la montagne, le temple de Salomon, avec tous ses services, était « une figure
pour le temps actuel, où l'on présente des offrandes et des sacrifices. » Le lieu saint et le
lieu très saint étaient des « modèles des choses célestes » ; Christ, notre Grand Prêtre,
est « ministre du sanctuaire et du véritable tabernacle, qui a été dressé par le Seigneur et
non par un homme ». En vision, il a été permis à l’apôtre Jean de voir le temple de Dieu
dans les cieux. Il y vit « sept lampes ardentes qui brûlent devant le trône ». Il vit un ange
« ayant un encensoir d'or. On lui donna beaucoup de parfum, afin qu'il l’offrît avec les
prières de tous les saints sur l'autel d'or qui est devant le trône ». Ici, le prophète put voir
le lieu saint du sanctuaire céleste. Il y vit les « sept lampes ardentes » et « l’autel d’or »,
représenté par le chandelier d’or et l’autel des parfums dans le sanctuaire terrestre. De
nouveau « le temple de Dieu dans le ciel fut ouvert », et il regarda au-delà du voile
intérieur, dans le lieu très saint. Il y observa, « l'arche de son alliance », représentée par
le coffre sacré construit par Moïse pour contenir la loi de Dieu.

Dans le ministère du sanctuaire terrestre, qui était « l’image et l’ombre des choses
célestes », le lieu très saint n’était ouvert que le jour des expiations, typiquement le jour
du jugement, mis à part pour purifier le sanctuaire. C’est pourquoi l’annonce, « Le
temple de Dieu dans le ciel fut ouvert, et l'arche de son alliance apparut dans son
temple », pointe vers l’ouverture du lieu très saint du sanctuaire céleste, à la fin des
2300 jours – en 1844 – lorsque Christ y entra pour effectuer l’oeuvre finale de
l’expiation. Ceux qui, par la foi, suivent leur souverain sacrificateur alors qu’il entre
dans le cadre de son ministère dans le lieu très saint, y voient l’arche de l’alliance.
Le sanctuaire céleste est la place centrale de l'oeuvre du Christ en faveur des
hommes. Il concerne toute personne vivant sur la terre et il nous offre une vision du
plan de la rédemption ; il nous conduit jusqu'à la fin du temps de grâce et nous révèle
l'issue triomphale de la lutte soutenue entre la justice et le péché.

Nous vivons maintenant dans le grand jour de l’expiation. Dans le service typique,
alors que le grand prêtre faisait l’expiation pour Israël, tous étaient appelés à affliger
leur âme en repentance pour leurs péchés. Ils s’humiliaient devant le Seigneur de peur
qu’ils ne soient retranchés de l’ensemble du peuple. De la même manière, tous ceux qui
voudraient avoir leur nom retenu dans le livre de vie, devraient maintenant, alors qu’il
reste peu de jours dans le temps de grâce, affliger leur âme devant Dieu, en exprimant
leurs regrets pour leurs péchés, et en passant par une vraie repentance. On doit sonder
son coeur d’une façon profonde et avec fidélité. L’esprit léger et frivole que tant de
chrétiens se permettent de tolérer doit être écarté. Une lutte terrible se présente à tous
ceux qui voudraient surmonter leurs mauvaises tendances et qui cherchent à les
maîtriser. L’oeuvre de préparation est une oeuvre individuelle. Nous ne sommes pas
sauvés en groupe. La pureté et la dévotion de l’un ne compensera pas le manque de ces
qualités chez un autre. Quoique toutes les nations doivent passer en jugement devant
Dieu, chaque cas sera examiné individuellement par un examen attentif et approfondi,
comme s’il n’y avait pas d’autre être humain sur la terre. Chacun doit être examiné et
trouvé sans tache ni ride de quelque sorte que ce soit.
Review and Herald, November 9, 1905 § 9-12.

Lundi, le 17 décembre 2012 Le sanctuaire céleste, deuxième partie

Le divin Auteur du plan du salut n'a rien laissé au hasard : chaque partie de ce plan
est parfaite. Le péché du monde entier a reposé sur le Christ. Dieu a conféré la plus
grande valeur aux souffrances de son Fils afin d'étendre au monde entier la rémission
des péchés par la foi au Substitut. Le plus grand coupable peut être assuré du pardon de
Dieu. A cause de l'efficacité du divin sacrifice, la pénalité de la loi a été levée. Par le
Christ, le pécheur peut entrer de nouveau dans l'alliance avec Dieu.
Comme le plan de la rédemption est merveilleux dans sa simplicité et sa perfection!
Il ne pourvoit pas seulement à un plein pardon mais aussi à la réhabilitation du
coupable. Grâce à lui, nous pouvons être acceptés comme fils de Dieu. Par l'obéissance,
le pécheur peut retrouver l'amour, la paix et la joie. Dans sa faiblesse, il peut, par la foi,
s'unir au Christ, - la source de toute force -, et recevoir l'approbation de Dieu par les
mérites du Christ qui a satisfait aux exigences de la loi et qui impute sa justice à l'âme
pénitente et croyante. ...

La tunique sans tache, tissée sur les métiers du ciel, recouvre le repentant qui désire
obéir; Celui-ci prend sur lui le joug de la souffrance du Christ, telle qu’Il la subit durant
son humanité.
Review and Herald, March 10, 1891 § 6; Pour mieux connaître Jésus-Christ, p. 98.

Jésus officie en présence de Dieu, offrant le sang qu’Il a versé, comme cela avait
été le cas de l’agneau immolé. Il présente l'offrande destinée à couvrir toute offense et
toute faute du pécheur.

Le Christ, notre Médiateur, et le Saint-Esprit intercèdent constamment en faveur de
l'homme. Mais l'Esprit ne plaide pas pour nous comme le fait Christ qui offre son sang
répandu dès la fondation du monde; l'Esprit agit sur nos coeurs, suscitant des prières et le
repentir, des louanges et des actions de grâce. La gratitude qui jaillit de nos lèvres est
produite par l'action de l'Esprit qui fait vibrer les cordes de notre âme par de saints
souvenirs, suscitant une musique du coeur.

Les services religieux, les prières, la louange, la confession sincère du péché,
montent des véritables croyants comme de l'encens vers le sanctuaire céleste. Mais en
passant par les canaux corrompus de l'humanité ils sont si contaminés qu'à moins d'être
purifiés par le sang du Christ ils ne peuvent avoir de valeur devant Dieu. Ils ne montent
pas dans une pureté sans tache. A moins que l'Intercesseur qui est à la droite de Dieu ne
présente et purifie tout par Sa justice, ils ne seront pas acceptés par Dieu. Tout l'encens
venant du tabernacle terrestre doit être aspergé par le sang purificateur de Christ. Il
présente au Père l'encensoir de ses propres mérites dans lequel il n'y a aucune trace de
contamination terrestre. Il rassemble dans cet encensoir les prières, la louange et les
confessions de son peuple, et Sa propre justice immaculée. Alors, l'encens,
complètement et totalement acceptable monte vers Dieu, parfumé des mérites de la
propitiation de Christ. Les prières reçoivent en retour des réponses pleines de bonté.
Oh, si chacun pouvait comprendre que tout ce qu'il y a dans l'obéissance, la
contrition, la louange et la reconnaissance, doit être placé sur le feu ardent de la justice
de Christ ! Le parfum de cette justice monte comme une nuée autour du propitiatoire.
Ellen G. White Comments, SDA Bible Commentary, vol. 6, pp. 1077, 1078 ;
Commentaires d’Ellen White sur Romains 8.26, 34.

Le Christ s'humilia lui-même en se mettant à la tête de l'humanité, afin de connaître
ses tentations et ses épreuves. Pour secourir ceux qui sont tentés, il a voulu savoir à quoi
ils étaient exposés de la part de l'ange déchu.

Il a été fait notre juge. Ce n'est pas le Père qui se charge de cette fonction, ni les
anges. Le seul qui est qualifié pour nous juger, c'est Celui qui a revêtu, notre humanité
et qui a vécu en ce monde une vie parfaite. Ne l'oubliez pas, mes frères, ni vous,
prédicateurs, ni vous parents. Ne perdons jamais de vue le fait que le Christ a revêtu
notre humanité pour être notre juge. Nul d'entre vous n'a été désigné pour juger ses
semblables. Testimonies, vol. 9, p. 185 ; Témoignages, vol. III, p. 455.

Mardi, le 18 décembre 2012 Le retour du Christ

L'instruction du jugement et l'effacement des péchés auront lieu avant le retour du
Seigneur. Puisque les morts doivent être jugés d'après ce qui est écrit dans les livres,
leurs péchés ne peuvent pas être effacés avant que leurs cas aient été examinés. L'apôtre
Pierre déclare que les péchés des croyants seront effacés avant que « des temps de
rafraîchissement viennent de la part du Seigneur, et qu'il envoie celui qui vous a été
destiné, Jésus-Christ ». L'instruction du jugement terminée, le Seigneur viendra, « et sa
récompense sera avec lui pour rendre à chacun selon ses oeuvres ».
The Great Controversy, p.485 ; La Tragédie des siècles, p. 527.

Une des vérités les plus glorieuses et les plus solennelles du christianisme est celle
qui annonce une seconde venue de Jésus-Christ pour achever la grande oeuvre de la
rédemption. Pour les enfants de Dieu, pèlerins séculaires de « la vallée de l'ombre de la
mort », la certitude que celui qui est « la résurrection et la vie » va revenir pour les
emmener avec lui dans la « maison du Père », est une perspective ineffable. La doctrine
du second avènement est la clé de voûte des Ecritures. Dès le jour où nos premiers
parents ont eu le malheur de se voir exilés de l'Eden, les vrais croyants ont eu les
regards fixés sur celui qui doit venir briser la puissance de l'ennemi et les réintroduire
dans le paradis perdu.

Les hommes pieux des siècles passés ont vu dans la venue du Messie en gloire la
consommation de leurs espérances. Enoch, le septième homme depuis Adam, « qui
marcha avec Dieu trois cents ans », put contempler de loin la venue du Libérateur.
«Voici, dit-il, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades, pour exercer un jugement
contre tous, et pour faire rendre compte à tous les impies parmi eux de tous les actes
d'impiété qu'ils ont commis et de toutes les paroles injurieuses qu'ont proférées contre
lui des pécheurs impies.» Jude 14,15.

Le patriarche Job, dans la nuit de son affliction, s'écrie en accents d'une foi
inébranlable: « Mais je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu'il se lèvera le dernier
sur la terre. ... Quand je n'aurai plus de chair, je verrai Dieu. Mes yeux le verront et non
ceux d'un autre ».Job 19.25-27.
The Great Controversy, p. 299; La Tragédie des siècles, pp. 323, 324.

Mercredi, le 19 décembre 2012 Dans l’attente du retour de Jésus

Le fait de croire à la venue du Fils de l'homme sur les nuées des cieux n'amènera
pas le vrai chrétien à se désintéresser des affaires ordinaires de cette vie. Celui qui
attend la prochaine apparition du Christ ne sera pas paresseux, mais diligent. Il
n'accomplira pas son travail d'une manière malhonnête, mais avec fidélité et
promptitude. Ceux qui pensent que leur désintéressement des choses de cette vie est une
preuve de leur spiritualité et de leur séparation du monde sont la proie d'une grande
illusion. Leur véracité, leur fidélité et leur intégrité sont mises à l'épreuve dans le détail
de la vie quotidienne. S'ils sont fidèles dans les petites choses, ils le seront aussi dans les
grandes. Testimonies, vol. 4, p. 309 ; Témoignages, vol. I, pp. 583,584.

A cette époque du monde, existe un amour fébrile de plaisir, une augmentation
inquiétante d’attitudes licencieuses, une contestation de toute autorité. Non seulement
les mondains, mais également ceux qui se prétendent être chrétiens sont gouvernés par
leurs inclinations personnelles plutôt que par le devoir. Et pourtant les signes des temps
nous montrent que nous approchons du retour de notre Seigneur. Les paroles de Christ
résonnent à travers les âges, « Veillez et priez. » Paul nous avertit : « Mais vous, frères,
vous n’êtes pas dans les ténèbres, pour que ce jour vous surprenne comme un voleur ;
vous êtes tous des enfants de la lumières et des enfants du jour. Nous ne sommes point
de la nuit ni des ténèbres. Ne dormons donc point comme les autres, mais veillons et
soyons sobres. » (1 Thess 5 :4-6) Signs of the Times, April 7, 1887 § 10.

Il est grandement nécessaire que notre foi faiblissante soit stimulée, et que nous
devions toujours garder à l’esprit les évidences que notre Seigneur vient bientôt, afin
que nous puissions toujours être trouvés non seulement dans l’attente, mais veillant et
travaillant. Nous ne voulons pas être trouvés dans une attente paresseuse ; car ceci
conduit à une négligence dans la vie, et une déficience de caractère. Nous devons
prendre conscience du fait que les jugements de Dieu vont bientôt s’abattre sur la terre,
et nous devrions d’une façon très ardente présenter devant les gens l’avertissement que
le Seigneur nous a donné le mandat de donner : « Car alors, la détresse sera si grande
qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent,
et qu’il n’y en aura jamais. » (Matt. 24 :21) « Les hommes rendant l’âme de terreur dans
l’attente de ce qui surviendra pour la terre ; car les puissances des cieux seront
ébranlées. Alors on verra le Fils de l’homme venant sur une nuée avec puissance et une
grande gloire. Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos
têtes, parce que votre délivrance approche. » (Luc 21 :26)
Review and Herald, November 22, 1892 § 6.

Le peuple de Dieu doit prendre garde aux signes des temps. Les signes de la venue
du Christ sont trop clairs pour être mis en doute, et à leur vue tous ceux qui professent
croire à la vérité devraient devenir des prédicateurs pleins de vie. Dieu nous appelle
tous, prédicateurs, laïques, à nous réveiller. Le ciel tout entier est en état d'alerte. Le
rideau descendra bientôt sur le dernier acte de l'histoire du monde. Nous traversons les
périls des derniers jours, mais les plus grands dangers sont encore devant nous, et
cependant nous dormons. Ce manque d'activité et de zèle pour la cause de Dieu est
effrayant. Cette stupeur mortelle vient de Satan.
Testimonies, vol. 1, pp. 260, 261 ; Témoignages, vol. I, p. 98.

Nous vivons au temps de la fin. La succession rapide des signes des temps
proclame l'imminence de la venue du Seigneur. Nous sommes à une époque importante
et solennelle. L'esprit de Dieu se retire de la terre, peu à peu mais sans arrêt. Déjà plaies
et jugements frappent les contempteurs de la grâce divine. Calamités sur terre et sur
mer, instabilité de l'état social, menaces de guerres: autant de mauvais présages
annonçant la proximité d'événements d'une gravité inouïe.

Les forces du mal se coalisent et s'accroissent en vue de la crise finale. De grands
changements vont bientôt se produire dans le monde, et les événements de la fin vont se
précipiter. Testimonies, vol. 9, p. 11 ; Témoignages, vol. III, p. 335.

Jeudi, le 20 décembre 2012 La mort et la résurrection

« Réveillez-vous et tressaillez de joie, habitants de la poussière ! Car ta rosée est
une rosée vivifiante, et la terre redonnera le jour aux ombres. » (Esaïe 26:19)
Celui qui donne la vie appellera ceux qu'il s'est acquis à participer à la première
résurrection ; jusqu'à cette heure de triomphe où au son de la dernière trompette une
vaste armée surgira victorieuse pour l'éternité, chaque saint endormi sera gardé en
sûreté, tel un joyau précieux, connu de Dieu par son nom. Parce qu'ils ont été
participants de la nature divine, ils seront ramenés d'entre les morts par la puissance du
Sauveur qui demeurait en eux.
Selected Messages, bk. 2, p.271 ; Messages choisis, vol. 2, p. 310.

Quand Christ viendra pour rassembler auprès de Lui ceux qui Lui auront été fidèles,
la dernière trompette sonnera et toute la terre l'entendra, depuis les sommets des plus
hautes montagnes jusqu'aux plus bas recoins des plus grandes profondeurs. Les morts
en Christ entendront le son de cette dernière trompette, et ils sortiront de leur tombe
pour être revêtus de l'immortalité et rencontrer leur Seigneur.
Ellen G. White Comments, SDA Bible Commentary, vol. 7, p. 909 ;
Commentaires d’Ellen White sur 1 Thessaloniciens 16.

Enveloppé de flammes de feu, le Roi des rois descend sur la nuée. "Le ciel se retire
comme un livre qu'on roule", la terre tremble devant Lui, et "toutes les montagnes et les
îles sont remuées de leurs places". …

Pendant que la terre chancelle, que l'éclair déchire la nue et que rugit le tonnerre, la
voix du Fils de Dieu appelle les saints hors de leurs tombeaux. Jetant Son regard sur ces
tombes, Il lève les mains vers le ciel et s'écrie: "Debout, debout, debout vous qui
dormez dans la poussière!" Dans toutes les parties du monde "les morts entendront la
voix du Fils de Dieu, et ceux qui l'auront entendue vivront!" La terre entière tremble
sous les pas d'une immense multitude venant de toute nation, de toute tribu, de toute
langue et de tout peuple. Revêtus d'une gloire immortelle, ils sortent de la prison de la
mort, en s'écriant: "O mort, où est ta victoire? O mort, où est ton aiguillon?"
(1 Cor. 15:55). Puis les justes vivants et les saints ressuscités s'unissent dans un joyeux
et puissant cri de victoire.

En sortant de la tombe, ils ont la taille qu'ils avaient lorsqu'ils y sont descendus. …
Mais tous s'élèvent avec la fraîcheur et la vigueur d'une éternelle jeunesse. … Notre
corps mortel, corruptible, enlaidi et souillé par le péché, devient parfait, magnifique et
immortel. Toutes tares et difformités sont laissées dans la tombe. …

Les justes vivants sont changés "en un instant, en un clin d'oeil". A la voix de Dieu,
ils étaient glorifiés, maintenant ils sont rendus immortels et, avec les saints ressuscités,
sont enlevés dans les airs, à la rencontre du Seigneur. Les anges « rassemblent les élus
des quatre vents, d'une extrémité de la terre à l'autre ». Maranatha, p. 299.
« Comme le Père ressuscite les morts et donne la vie, de même aussi le Fils donne
la vie à qui il veut. » Tandis que les sadducéens prétendaient qu'il n'y aura pas de
résurrection des corps, Jésus affirme que l'une des plus grandes oeuvres du Père consiste
à rendre la vie aux morts, et qu'il est lui aussi assez puissant pour accomplir la même
oeuvre. « L'heure vient, dit-il - et c'est maintenant - où les morts entendront la voix du
Fils de Dieu, et ceux qui l'auront entendue vivront. » Les pharisiens croyaient à la
résurrection des morts. Le Christ déclare que la puissance qui rend la vie aux morts est
déjà au milieu d'eux et qu'ils en verront la manifestation. C'est cette même puissance de
résurrection qui donne la vie à l'âme morte par ses « fautes » et ses « péchés ». L'esprit
de vie qui est en Christ Jésus c'est « la puissance de sa résurrection », qui délivre de « la
loi du péché et de la mort ». Le mal perd son empire; l'âme est préservée du péché par la
foi. Quiconque ouvre son coeur à l'influence de l'Esprit du Christ a accès à la grande
puissance qui fera sortir son corps du sépulcre.
The Desire of Ages, pp. 209, 210; Jésus-Christ, p.193.

Vendredi, le 21 décembre 2012
Pas de lecture complémentaire.

Thursday, December 6, 2012

Commentaires d'Ellen White
From: http://www.adventverlag.ch/egw/f/complements2012.html

Leçon 11                4ème trimestre GRANDIR EN CHRIST

Sabbat après-midi, le 8 décembre 2012   La vie chretienne   Lecon 11
En disant à ses disciples: « Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création », le Christ a confié à l'homme le soin de répandre l'Evangile. Mais tandis que les uns vont prêcher, les autres doivent soutenir le ministère et la presse évangélique par leurs dîmes et leurs offrandes, contribuant ainsi à la propagation de la vérité dans le monde entier. Ce sont là les moyens par lesquels Dieu élève l'homme. C'est justement le travail qui lui est nécessaire, car il stimule les sentiments les plus profonds de son cœur et exerce les plus hautes facultés de son intelligence.
Toute chose bonne ici-bas y a été placée par la main bienfaisante de Dieu comme une expression de son amour envers l'homme. Les pauvres sont à lui au même titre que la cause de la vérité. Il nous a confié des biens afin que nous nous en servions pour le salut de nos semblables. Chacun a une œuvre à faire dans le grand champ de la moisson.
Le Dieu omniscient savait que l’homme devait faire quelque chose afin que la vie puisse être une bénédiction pour lui. L’or et l’argent appartiennent au Seigneur, et il pouvait les faire tomber du ciel s’il le choisissait ; mais au lieu de cela, il a fait de l’homme son économe, lui confiant les moyens qui pouvaient être utilisés comme un bienfait pour les autres. Il fait ainsi de l’homme le moyen à travers lequel Il peut distribuer Ses bénédictions sur la terre. Dieu a planifié le système de bienfaisance afin que l’homme puisse, comme son Créateur, bienveillant et désintéressé en caractère, et finalement être un participant avec Lui de la récompense éternelle et glorieuse.     
Review and Herald, October 3, 1907 § 9-11.
Dimanche, le 9 décembre 2012  Une bonne gestion
Bien que quelques-uns ne soient limités qu’à un talent, s’ils l’exercent, il croîtra. Dieu évalue le service selon ce qu’un homme a, et non selon ce qu’il n’a pas. Si nous accomplissons nos devoirs journaliers avec fidélité et amour, nous recevrons l’approbation du Maître comme si nous avions accompli un plus grand travail. Nous devons cesser d’aspirer à accomplir de grands services et d’échanger nos petits talents pour de grands talents, alors que nous avons été rendus seulement responsables de petits talents et de l’exécution d’’humbles devoirs. En négligeant les petits devoirs journaliers, et essayant d’atteindre de hautes responsabilités, nous échouons complètement d’accomplir l’œuvre même que Dieu nous avait donnée.
Oh si je pouvais impressionner cette église que Christ a des exigences pour Son service ! Mes frères et sœurs, êtes-vous devenus des serviteurs de Christ ? Alors, si vous consacrez le meilleur de votre temps à vous servir vous-mêmes, quelle réponse donnerez-vous au Maître quand Il vous demandera de rendre compte de votre gestion ? Les talents qui nous sont confiés ne nous appartiennent pas, même si un talent consiste en une propriété, ou la force physique, ou la vivacité d’esprit. Si nous abusons de l’un ou de tous ceux-ci, nous serons condamnés à juste titre pour notre gestion indigne. Combien grandes sont les obligations qui reposent sur nous en rendant à Dieu les choses qui Lui appartiennent.
A moins que cette église ne se réveille de sa léthargie et secoue l’esprit du monde, elle se lamentera, lorsque, trop tard, elle trouvera des opportunités et des privilèges perdus, perdus pour toujours. Parfois le Seigneur éprouve Son peuple en lui permettant de prospérer dans le domaine temporel. Mais Il s’attend qu’ils accomplissent un usage juste de Ses dons. Leurs propriétés, leur temps, leurs forces et leurs opportunités viennent toutes de Dieu. Ils doivent rendre des comptes au Donateur pour toutes Ses bénédictions. Alors que l’on voit parmi nos frères des besoins et des privations, et que nous retenons des bienfaits que nous pourrions leur donner lorsque nos propres nécessités sont satisfaites, nous négligeons un devoir précis qui est révélé dans la Parole de Dieu. Il nous donne généreusement afin que nous puissions donner aux autres. La bienveillance nous permet de dépasser notre égoïsme, nous ennoblit et nous purifie. Quelques-uns abusent des talents que Dieu leur a donnés. Ils ferment les yeux pour ne pas voir les nécessités de Sa cause et bouchent les oreilles pour ne pas entendre Sa voix montrant leurs devoirs de nourrir celui qui a faim et revêtir celui qui est nu. Quelques-uns qui prétendent être des enfants de Dieu semblent être plus soucieux d’investir leurs biens pour le monde plutôt que de retourner au Donateur ces biens en dons et offrandes. Ils oublient leur mission divine, et s’ils continuent à suivre les injonctions de leur cœur égoïste, et dépensent du temps et des moyens précieux pour gratifier leur orgueil, Dieu enverra des épreuves et ils éprouveront, à un certain moment, des revers pénibles à cause de leur ingratitude. Il confiera Ses talents à des économes plus fidèles, qui reconnaîtront Ses attentes.                                                                 Testimonies, vol. 4, pp. 619, 620.
Le temps est de l’argent, et beaucoup perdent un temps précieux qui pourrait être employé à une œuvre utile, en fabriquant de leurs mains quelque chose de valable. Le Seigneur ne dira jamais : “C’est bien, bon et fidèle serviteur” à celui qui ne se sert pas des forces physiques qui lui ont été accordées par Dieu dans le but d’acquérir des fonds qui serviront à venir en aide aux nécessiteux et à apporter à Dieu des offrandes. Les riches ne doivent pas penser qu’ils sont quittes en donnant de leur argent seulement. Ils ont des talents qu’ils doivent mettre en pratique s’ils veulent recevoir l’approbation de Dieu, afin d’être des agents spirituels plus diligents dans l’éducation et la préparation de leurs enfants pour des activités utiles. Parents et enfants ne doivent pas se considérer comme s’appartenant à eux-mêmes et penser qu’ils peuvent disposer à leur guise de leur temps et de leur argent. Ils appartiennent à Dieu par droit de rachat, et le Seigneur réclame le bénéfice de leurs forces physiques qui doit être employé à procurer des revenus au trésor du Seigneur.
Counsels on Stewardship, p. 288; Conseils à l’économe, p. 302.
Lundi, le 10 décembre 2012   La dime, somme derisoire
Aujourd’hui, Dieu ne nous demande pas moins que ce qu’il a exigé autrefois de son peuple. Il nous confie d’ailleurs des biens plus importants qu’à l’Israël d’autrefois. Le culte qu’il réclame exige des moyens et en exigera toujours. Le vaste travail missionnaire en faveur du salut des âmes doit s’accomplir, et Dieu a largement pourvu à cette réalisation par l’institution de la dîme, des dons et des offrandes. Par ce moyen, il veut assurer le ministère évangélique d’une façon totale. Il revendique la dîme comme la part qui lui revient ; elle devrait toujours être considérée comme une portion réservée, destinée à être placée dans le trésor divin au bénéfice de la cause de Dieu, pour faire progresser cette œuvre, pour permettre l’envoi de messagers dans les “régions lointaines”, jusqu’aux extrémités de la terre.
Review and Herald, December 8, 1896 § 3; Conseils à l’économe, p. 76.
On devrait enseigner à tous de faire ce qu’ils peuvent pour le Maître et à donner dans la mesure où il accorde la prospérité. Il réclame comme son dû le dixième du revenu, grand ou petit, et ceux qui ne le donnent pas dérobent le Seigneur et ne peuvent s’attendre à ce qu’il les fasse prospérer. Même si l’Eglise est composée en grande partie de frères et sœurs pauvres, le sujet de la libéralité devrait être sérieusement étudié et le plan du Seigneur adopté de grand cœur. Dieu peut réaliser les promesses qu’il a faites. Ses ressources sont infinies et il les emploie toutes pour accomplir sa volonté. Lorsqu’il voit que l’on s’acquitte fidèlement de son devoir dans le paiement de la dîme, souvent, dans la sagesse de sa providence, il ouvre la voie d’une plus grande prospérité. Celui qui obéit au Seigneur dans le peu qui lui a été donné recevra la même récompense que celui qui donne une partie de son abondance.
Il en est de même pour ceux qui mettent avec joie leurs talents à la disposition de la cause de Dieu, alors que ceux qui manquent de les faire valoir subiront la même perte que si le peu qu’ils ont avait été beaucoup. C’est l’homme qui ne possédait qu’un seul talent, mais qui l’avait enfoui dans la terre, qui fut condamné par le Seigneur.
Le plan de Dieu en ce qui concerne la dîme est magnifique par sa simplicité et sa justice. Tous peuvent en bénéficier avec foi et courage, car elle est d’origine divine. En elle, se mêlent la simplicité et l’utilité, et il n’est pas nécessaire d’avoir une grande intelligence pour comprendre son principe et s’y conformer. Tous peuvent sentir qu’il leur est possible d’avoir leur part dans la proclamation du salut. Chaque homme, chaque femme, jeune ou vieux, peut devenir l’économe du Seigneur, appelé à subvenir aux besoins de l’œuvre de Dieu. …
Grâce à la dîme, de grandes choses sont accomplies. Tous ceux qui accepteront son principe, pourront devenir les économes vigilants et fidèles du Seigneur et il n’y aura pas de difficulté financière qui empêche de faire avancer la grande œuvre de la proclamation du dernier message d’avertissement au monde.
Gospel Workers, pp. 22, 223; Le ministère évangélique, pp. 216, 217.
Le Nouveau Testament ne répète pas la promulgation de la loi de la dîme ni de celle du Sabbat, car la validité des deux est prise en compte, et leur profonde signification spirituelle expliquée.
Le Seigneur appelle maintenant les Adventistes du Septième Jour en chaque lieu à se consacrer à lui et à faire vraiment de leur mieux, compte tenu des circonstances, pour aider à son œuvre. Par leurs libéralités, par leurs dons et leurs offrandes, il désire qu'ils expriment leur appréciation de ses bénédictions et leur gratitude pour son pardon.
Last Day Events, pp. 78, 79; Evénements des derniers jours, p. 81.
Mardi, le 11 décembre 2012    Etre responsable de soi
La volonté de Dieu est que nous profitions de toutes les occasions qui se présentent pour nous préparer en vue de son service.  Il s'attend que nous y apportions toutes nos énergies, et que nous ayons conscience de son caractère sacré et de ses terribles responsabilités.
Il en est beaucoup qui pourraient accomplir une œuvre excellente et qui échouent lamentablement parce qu'ils manquent de courage.  Des milliers traversent la vie comme s'ils n'avaient aucun but, aucun idéal à atteindre.  Une des raisons de leur échec, c'est qu'ils manquent de confiance en eux-mêmes, oubliant le prix infini payé par le Christ pour les racheter.
Ne vous contentez pas d'un idéal peu élevé.  Nous ne sommes pas ce que nous pourrions être et ce que Dieu veut que nous soyons.  Il nous a donné l'intelligence, non pour qu'elle reste inactive ou se pervertisse, mais pour la développer jusqu'à l'extrême limite, l'affiner, la sanctifier, l'ennoblir et l'employer à l'avancement de son règne.
The Ministry of Healing, p. 498; Le ministère de la guérison, p. 431.
« Venez et plaidons ! dit l’Eternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. » (Es 1 :18) Est-ce que nous ne pouvons pas croire aux promesses de Dieu, et savoir qu’Il fera pour nous exactement ce qu’Il a promis ? Nous avons besoin du toucher vital de la foi, afin que nous puissions savoir que la miséricorde de Dieu nous est aussi offerte. Dieu nous accepte par le Christ, et nous ne devons pas penser que nous sommes sans valeur à Ses yeux. Il a envoyé Son Fils unique dans le monde pour mourir pour nous, et nous devons trouver notre valeur à la lumière de la croix du Calvaire. Jésus déclare : « Je rendrai les hommes plus précieux que l’or fin, même un homme plus rare que l’or fin d’Ophir. » (Es. 13 :12, version anglaise KJV) et nous pouvons tous être rendus précieux en Christ ; car Il déclare à ceux qui sentent leurs propres faiblesses : « A moins qu’on ne me prenne pour refuge, qu’on ne fasse la paix avec moi, qu’on ne fasse la paix avec moi. » (Es. 27 :5)
The Bible Echo, February 15, 1892 § 7.
N’est-il pas surprenant que nous ayons tant de peine à croire que notre Père qui nous aime veut notre bien ? N’est-il pas surprenant que nos sens sont à ce point pervertis au point de ne pas comprendre que notre Seigneur nous prendrait par la main pour nous permettre d’aller plus haut et plus loin dans la préparation à se joindre à ceux qui ont été lavés et rachetés par le sang de l’Agneau ? Nous devrions être dans la position où nous pouvons nous rendre compte que nous rencontrerons ceux avec lesquels nous sommes associés face à face, dans le royaume des cieux. Oh, si cette perspective avait la force de la réalité pour nous ici, quel amour serait inspiré dans nos cœurs les uns pour les autres ! Nous devrions être remplis de la plus grande tendresse pour ceux qui sont autour de nous. Nous devrions avoir le sentiment que chaque âme a été rachetée par le sang de Christ, et est d’une valeur infinie. Si le Christ nous a donné une valeur si élevée au point de se donner pour nous, nous devrions agir en fonction de cette valeur sans hésitation, car toutes nos forces appartiennent à Dieu. Nous devrions apprécier les précieux privilèges et les occasions qu’Il nous donne. Nous devrions continuer à connaître le Seigneur, afin que nous puissions nous rendre compte qu’Il a préparé le chemin pour nous.                                 Review and Herald, March 4, 1890 § 2.
Mercredi, le 12 décembre 2012   Le mariage chretien
Le mariage qui est une union pour la vie est un symbole de l'union qui existe entre le Christ et son Eglise. L'esprit que Jésus témoigne envers son Eglise doit être également celui que le mari et sa femme doivent se témoigner mutuellement. S'ils aiment Dieu par-dessus tout, ils s'aimeront aussi dans le Seigneur, se conduisant l'un envers l'autre avec courtoisie, et cultivant ainsi l'harmonie. Leur mutuel esprit de sacrifice et d'abnégation.                     The Adventist Home, p. 95; Le foyer chrétien, p. 90.
L’amour divin émanant du Christ ne détruit jamais l’amour humain ; il l’implique. En lui l’amour humain s’affine, se purifie, s’élève et s’ennoblit. Il ne peut porter de précieux fruits que s’il s’unit à la nature divine et se développe en étant dirigé vers le ciel. Jésus souhaite voir des mariages et des foyers heureux.
Comme ce fut le cas pour tous les merveilleux dons que Dieu a confiés en dépôt à l’humanité, le mariage a été perverti par le péché ; mais l’Evangile a pour objet de restaurer cette institution dans sa pureté et sa beauté. …
Seule la grâce du Christ peut faire à nouveau de cette institution ce qu’elle était à son origine : un instrument destiné à bénir et à élever l’humanité. C’est ainsi que les familles terrestres, par leur unité, leur paix et leur amour, peuvent représenter la famille céleste.                                            The Adventist Home, pp. 99, 100; Le foyer chrétien, pp. 95, 96.
Hommes et femmes peuvent atteindre l'idéal que Dieu leur propose, s'ils acceptent l'aide du Christ. Ce qui est impossible à la sagesse humaine, sa grâce l'accomplira pour ceux qui s'abandonnent à lui sans réserve. Sa providence unira les cœurs par des liens célestes ; l'amour ne sera plus alors un simple échange de paroles douces et flatteuses. Les métiers du ciel entrelacent la chaîne et la trame avec bien plus de finesse et de solidité que ceux de la terre, et fournissent un tissu qui supporte les frottements, les tiraillements et les épreuves. Les cœurs sont unis par les fils d'or d'un amour éternel.
The Ministry of Healing, p. 362 ; Le ministère de la guérison, p. 306.
Dans votre union pour la vie, vos affections doivent être tributaires de votre bonheur mutuel. Il faut que chacun veille à celui de l'autre. Telle est la volonté de Dieu à votre égard. Mais bien que vous deviez vous confondre au point de ne former qu'une même personne, il ne faut pas que l'un ou l'autre perde son individualité. C'est Dieu qui possède votre individualité. C'est à lui que vous devez demander : « Qu'est‑ce qui est bien ? Qu'est‑ce qui est mal ? Comment puis‑je le mieux atteindre le but de mon existence? » « Vous ne vous appartenez point à vous‑mêmes, dit l'apôtre. Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu. » 1 Co.6: 19,20. Votre amour pour ce qui est humain doit passer après votre amour pour Dieu. Que la richesse de cet amour soit dirigée vers celui qui a donné sa vie pour vous. L'âme qui vit pour Dieu fait monter vers lui ses affections les meilleures et les plus élevées. La plus grande partie de votre amour va‑t‑elle à celui qui est mort pour vous ? Si oui, votre amour l'un pour l'autre sera conforme à l'ordre du ciel.                               Testimonies, vol. 7, pp. 45, 46 ; Témoignages, vol. III, p. 109.
Jeudi, le 13 décembre 2012   Le comportement du chretien
Le devoir de chaque chrétien est de contracter des habitudes d'ordre, de perfection et de diligence. Quel que soit son ouvrage, l'homme qui le fait négligemment est inexcusable. Si l'on est toujours au travail et que ce dernier demeure sans cesse inachevé, c'est que l'on n'y a pas mis son esprit et son cœur. Celui qui est désavantagé par sa lenteur devrait aspirer à se corriger de ce défaut.  Il faut qu'il s'applique à tirer de son temps le meilleur parti possible. Avec de l'adresse et de la méthode, certaines personnes feront en cinq heures autant de travail que d'autres en dix. Il est des ménagères qui sont toujours sur la brèche, non parce qu'elles ont fort à faire, mais parce qu'elles ne savent pas organiser leur journée. Elles n'avancent pas et se donnent beaucoup de peine pour peu de chose. Mais tous ceux qui le désirent peuvent surmonter leur embarras et leur lenteur habituelle. Il leur suffit de se fixer un but précis, de décider du temps nécessaire pour une tâche donnée et de faire tous leurs efforts pour tenir ce programme.  L'exercice de la volonté rendra les mains habiles.
Christ’s Object Lessons, p. 344; Les Paraboles de Jésus, pp. 298, 299.
Nous perdons beaucoup en négligeant de nous unir à d’autres chrétiens en vue de nous encourager mutuellement au service du Seigneur. Les vérités de la Parole inspirée perdent leur éclat et leur importance. Nos cœurs ne sont plus éclairés et vivifiés par leur influence sanctifiante, et nous déclinons spirituellement. Dans nos rapports entre chrétiens, nous perdons beaucoup par le manque de sympathie les uns envers les autres. Celui qui se renferme en lui-même n’occupe pas la place que le Seigneur lui avait assignée. Le fait de cultiver notre faculté de vivre en société nous porte à sympathiser avec autrui et contribue à notre développement en vue du service de Dieu.
Mind, Character, and Personality, bk. 2, p. 646 ; Pour un bon équilibre, vol. 2 p. 646.
D'une manière toute spéciale, ceux qui ont goûté l'amour du Christ devraient développer leurs facultés sociales, ce qui leur permettrait de gagner des âmes à leur Sauveur. Le Christ ne doit pas être tenu caché dans leurs cœurs, comme un trésor secret, jalousement .gardé pour soi, ou manifesté seulement à ceux qui leur plaisent. Les élèves doivent être éduqués de telle sorte qu'ils manifestent l'idéal du Christ envers ceux qui en ont le plus besoin, même s'ils ne sont pas leurs compagnons de choix. En tous temps et en tous lieux, Jésus manifestait un intérêt compatissant à l'égard de la famille humaine et la lumière d'une piété joyeuse se dégageait de lui. Nos élèves doivent apprendre à marcher sur ses traces, à 'manifester le même intérêt altruiste, la même sympathie, le même amour pour leurs camarades, le même désir d'amener des âmes au Sauveur. Le Christ devrait être dans leur cœur comme une source d'eau vive jaillissant jusque dans la vie éternelle, rafraîchissant tous ceux qui viennent s'y abreuver.
Testimonies, vol. 6, pp. 172, 173 ; Témoignages, vol. II, p. 512.
Vendredi, le 14 décembre 2012
Pas de lecture complémentaire.