LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Thursday, December 6, 2012

Commentaires d'Ellen White
From: http://www.adventverlag.ch/egw/f/complements2012.html

Leçon 11                4ème trimestre GRANDIR EN CHRIST

Sabbat après-midi, le 8 décembre 2012   La vie chretienne   Lecon 11
En disant à ses disciples: « Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création », le Christ a confié à l'homme le soin de répandre l'Evangile. Mais tandis que les uns vont prêcher, les autres doivent soutenir le ministère et la presse évangélique par leurs dîmes et leurs offrandes, contribuant ainsi à la propagation de la vérité dans le monde entier. Ce sont là les moyens par lesquels Dieu élève l'homme. C'est justement le travail qui lui est nécessaire, car il stimule les sentiments les plus profonds de son cœur et exerce les plus hautes facultés de son intelligence.
Toute chose bonne ici-bas y a été placée par la main bienfaisante de Dieu comme une expression de son amour envers l'homme. Les pauvres sont à lui au même titre que la cause de la vérité. Il nous a confié des biens afin que nous nous en servions pour le salut de nos semblables. Chacun a une œuvre à faire dans le grand champ de la moisson.
Le Dieu omniscient savait que l’homme devait faire quelque chose afin que la vie puisse être une bénédiction pour lui. L’or et l’argent appartiennent au Seigneur, et il pouvait les faire tomber du ciel s’il le choisissait ; mais au lieu de cela, il a fait de l’homme son économe, lui confiant les moyens qui pouvaient être utilisés comme un bienfait pour les autres. Il fait ainsi de l’homme le moyen à travers lequel Il peut distribuer Ses bénédictions sur la terre. Dieu a planifié le système de bienfaisance afin que l’homme puisse, comme son Créateur, bienveillant et désintéressé en caractère, et finalement être un participant avec Lui de la récompense éternelle et glorieuse.     
Review and Herald, October 3, 1907 § 9-11.
Dimanche, le 9 décembre 2012  Une bonne gestion
Bien que quelques-uns ne soient limités qu’à un talent, s’ils l’exercent, il croîtra. Dieu évalue le service selon ce qu’un homme a, et non selon ce qu’il n’a pas. Si nous accomplissons nos devoirs journaliers avec fidélité et amour, nous recevrons l’approbation du Maître comme si nous avions accompli un plus grand travail. Nous devons cesser d’aspirer à accomplir de grands services et d’échanger nos petits talents pour de grands talents, alors que nous avons été rendus seulement responsables de petits talents et de l’exécution d’’humbles devoirs. En négligeant les petits devoirs journaliers, et essayant d’atteindre de hautes responsabilités, nous échouons complètement d’accomplir l’œuvre même que Dieu nous avait donnée.
Oh si je pouvais impressionner cette église que Christ a des exigences pour Son service ! Mes frères et sœurs, êtes-vous devenus des serviteurs de Christ ? Alors, si vous consacrez le meilleur de votre temps à vous servir vous-mêmes, quelle réponse donnerez-vous au Maître quand Il vous demandera de rendre compte de votre gestion ? Les talents qui nous sont confiés ne nous appartiennent pas, même si un talent consiste en une propriété, ou la force physique, ou la vivacité d’esprit. Si nous abusons de l’un ou de tous ceux-ci, nous serons condamnés à juste titre pour notre gestion indigne. Combien grandes sont les obligations qui reposent sur nous en rendant à Dieu les choses qui Lui appartiennent.
A moins que cette église ne se réveille de sa léthargie et secoue l’esprit du monde, elle se lamentera, lorsque, trop tard, elle trouvera des opportunités et des privilèges perdus, perdus pour toujours. Parfois le Seigneur éprouve Son peuple en lui permettant de prospérer dans le domaine temporel. Mais Il s’attend qu’ils accomplissent un usage juste de Ses dons. Leurs propriétés, leur temps, leurs forces et leurs opportunités viennent toutes de Dieu. Ils doivent rendre des comptes au Donateur pour toutes Ses bénédictions. Alors que l’on voit parmi nos frères des besoins et des privations, et que nous retenons des bienfaits que nous pourrions leur donner lorsque nos propres nécessités sont satisfaites, nous négligeons un devoir précis qui est révélé dans la Parole de Dieu. Il nous donne généreusement afin que nous puissions donner aux autres. La bienveillance nous permet de dépasser notre égoïsme, nous ennoblit et nous purifie. Quelques-uns abusent des talents que Dieu leur a donnés. Ils ferment les yeux pour ne pas voir les nécessités de Sa cause et bouchent les oreilles pour ne pas entendre Sa voix montrant leurs devoirs de nourrir celui qui a faim et revêtir celui qui est nu. Quelques-uns qui prétendent être des enfants de Dieu semblent être plus soucieux d’investir leurs biens pour le monde plutôt que de retourner au Donateur ces biens en dons et offrandes. Ils oublient leur mission divine, et s’ils continuent à suivre les injonctions de leur cœur égoïste, et dépensent du temps et des moyens précieux pour gratifier leur orgueil, Dieu enverra des épreuves et ils éprouveront, à un certain moment, des revers pénibles à cause de leur ingratitude. Il confiera Ses talents à des économes plus fidèles, qui reconnaîtront Ses attentes.                                                                 Testimonies, vol. 4, pp. 619, 620.
Le temps est de l’argent, et beaucoup perdent un temps précieux qui pourrait être employé à une œuvre utile, en fabriquant de leurs mains quelque chose de valable. Le Seigneur ne dira jamais : “C’est bien, bon et fidèle serviteur” à celui qui ne se sert pas des forces physiques qui lui ont été accordées par Dieu dans le but d’acquérir des fonds qui serviront à venir en aide aux nécessiteux et à apporter à Dieu des offrandes. Les riches ne doivent pas penser qu’ils sont quittes en donnant de leur argent seulement. Ils ont des talents qu’ils doivent mettre en pratique s’ils veulent recevoir l’approbation de Dieu, afin d’être des agents spirituels plus diligents dans l’éducation et la préparation de leurs enfants pour des activités utiles. Parents et enfants ne doivent pas se considérer comme s’appartenant à eux-mêmes et penser qu’ils peuvent disposer à leur guise de leur temps et de leur argent. Ils appartiennent à Dieu par droit de rachat, et le Seigneur réclame le bénéfice de leurs forces physiques qui doit être employé à procurer des revenus au trésor du Seigneur.
Counsels on Stewardship, p. 288; Conseils à l’économe, p. 302.
Lundi, le 10 décembre 2012   La dime, somme derisoire
Aujourd’hui, Dieu ne nous demande pas moins que ce qu’il a exigé autrefois de son peuple. Il nous confie d’ailleurs des biens plus importants qu’à l’Israël d’autrefois. Le culte qu’il réclame exige des moyens et en exigera toujours. Le vaste travail missionnaire en faveur du salut des âmes doit s’accomplir, et Dieu a largement pourvu à cette réalisation par l’institution de la dîme, des dons et des offrandes. Par ce moyen, il veut assurer le ministère évangélique d’une façon totale. Il revendique la dîme comme la part qui lui revient ; elle devrait toujours être considérée comme une portion réservée, destinée à être placée dans le trésor divin au bénéfice de la cause de Dieu, pour faire progresser cette œuvre, pour permettre l’envoi de messagers dans les “régions lointaines”, jusqu’aux extrémités de la terre.
Review and Herald, December 8, 1896 § 3; Conseils à l’économe, p. 76.
On devrait enseigner à tous de faire ce qu’ils peuvent pour le Maître et à donner dans la mesure où il accorde la prospérité. Il réclame comme son dû le dixième du revenu, grand ou petit, et ceux qui ne le donnent pas dérobent le Seigneur et ne peuvent s’attendre à ce qu’il les fasse prospérer. Même si l’Eglise est composée en grande partie de frères et sœurs pauvres, le sujet de la libéralité devrait être sérieusement étudié et le plan du Seigneur adopté de grand cœur. Dieu peut réaliser les promesses qu’il a faites. Ses ressources sont infinies et il les emploie toutes pour accomplir sa volonté. Lorsqu’il voit que l’on s’acquitte fidèlement de son devoir dans le paiement de la dîme, souvent, dans la sagesse de sa providence, il ouvre la voie d’une plus grande prospérité. Celui qui obéit au Seigneur dans le peu qui lui a été donné recevra la même récompense que celui qui donne une partie de son abondance.
Il en est de même pour ceux qui mettent avec joie leurs talents à la disposition de la cause de Dieu, alors que ceux qui manquent de les faire valoir subiront la même perte que si le peu qu’ils ont avait été beaucoup. C’est l’homme qui ne possédait qu’un seul talent, mais qui l’avait enfoui dans la terre, qui fut condamné par le Seigneur.
Le plan de Dieu en ce qui concerne la dîme est magnifique par sa simplicité et sa justice. Tous peuvent en bénéficier avec foi et courage, car elle est d’origine divine. En elle, se mêlent la simplicité et l’utilité, et il n’est pas nécessaire d’avoir une grande intelligence pour comprendre son principe et s’y conformer. Tous peuvent sentir qu’il leur est possible d’avoir leur part dans la proclamation du salut. Chaque homme, chaque femme, jeune ou vieux, peut devenir l’économe du Seigneur, appelé à subvenir aux besoins de l’œuvre de Dieu. …
Grâce à la dîme, de grandes choses sont accomplies. Tous ceux qui accepteront son principe, pourront devenir les économes vigilants et fidèles du Seigneur et il n’y aura pas de difficulté financière qui empêche de faire avancer la grande œuvre de la proclamation du dernier message d’avertissement au monde.
Gospel Workers, pp. 22, 223; Le ministère évangélique, pp. 216, 217.
Le Nouveau Testament ne répète pas la promulgation de la loi de la dîme ni de celle du Sabbat, car la validité des deux est prise en compte, et leur profonde signification spirituelle expliquée.
Le Seigneur appelle maintenant les Adventistes du Septième Jour en chaque lieu à se consacrer à lui et à faire vraiment de leur mieux, compte tenu des circonstances, pour aider à son œuvre. Par leurs libéralités, par leurs dons et leurs offrandes, il désire qu'ils expriment leur appréciation de ses bénédictions et leur gratitude pour son pardon.
Last Day Events, pp. 78, 79; Evénements des derniers jours, p. 81.
Mardi, le 11 décembre 2012    Etre responsable de soi
La volonté de Dieu est que nous profitions de toutes les occasions qui se présentent pour nous préparer en vue de son service.  Il s'attend que nous y apportions toutes nos énergies, et que nous ayons conscience de son caractère sacré et de ses terribles responsabilités.
Il en est beaucoup qui pourraient accomplir une œuvre excellente et qui échouent lamentablement parce qu'ils manquent de courage.  Des milliers traversent la vie comme s'ils n'avaient aucun but, aucun idéal à atteindre.  Une des raisons de leur échec, c'est qu'ils manquent de confiance en eux-mêmes, oubliant le prix infini payé par le Christ pour les racheter.
Ne vous contentez pas d'un idéal peu élevé.  Nous ne sommes pas ce que nous pourrions être et ce que Dieu veut que nous soyons.  Il nous a donné l'intelligence, non pour qu'elle reste inactive ou se pervertisse, mais pour la développer jusqu'à l'extrême limite, l'affiner, la sanctifier, l'ennoblir et l'employer à l'avancement de son règne.
The Ministry of Healing, p. 498; Le ministère de la guérison, p. 431.
« Venez et plaidons ! dit l’Eternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. » (Es 1 :18) Est-ce que nous ne pouvons pas croire aux promesses de Dieu, et savoir qu’Il fera pour nous exactement ce qu’Il a promis ? Nous avons besoin du toucher vital de la foi, afin que nous puissions savoir que la miséricorde de Dieu nous est aussi offerte. Dieu nous accepte par le Christ, et nous ne devons pas penser que nous sommes sans valeur à Ses yeux. Il a envoyé Son Fils unique dans le monde pour mourir pour nous, et nous devons trouver notre valeur à la lumière de la croix du Calvaire. Jésus déclare : « Je rendrai les hommes plus précieux que l’or fin, même un homme plus rare que l’or fin d’Ophir. » (Es. 13 :12, version anglaise KJV) et nous pouvons tous être rendus précieux en Christ ; car Il déclare à ceux qui sentent leurs propres faiblesses : « A moins qu’on ne me prenne pour refuge, qu’on ne fasse la paix avec moi, qu’on ne fasse la paix avec moi. » (Es. 27 :5)
The Bible Echo, February 15, 1892 § 7.
N’est-il pas surprenant que nous ayons tant de peine à croire que notre Père qui nous aime veut notre bien ? N’est-il pas surprenant que nos sens sont à ce point pervertis au point de ne pas comprendre que notre Seigneur nous prendrait par la main pour nous permettre d’aller plus haut et plus loin dans la préparation à se joindre à ceux qui ont été lavés et rachetés par le sang de l’Agneau ? Nous devrions être dans la position où nous pouvons nous rendre compte que nous rencontrerons ceux avec lesquels nous sommes associés face à face, dans le royaume des cieux. Oh, si cette perspective avait la force de la réalité pour nous ici, quel amour serait inspiré dans nos cœurs les uns pour les autres ! Nous devrions être remplis de la plus grande tendresse pour ceux qui sont autour de nous. Nous devrions avoir le sentiment que chaque âme a été rachetée par le sang de Christ, et est d’une valeur infinie. Si le Christ nous a donné une valeur si élevée au point de se donner pour nous, nous devrions agir en fonction de cette valeur sans hésitation, car toutes nos forces appartiennent à Dieu. Nous devrions apprécier les précieux privilèges et les occasions qu’Il nous donne. Nous devrions continuer à connaître le Seigneur, afin que nous puissions nous rendre compte qu’Il a préparé le chemin pour nous.                                 Review and Herald, March 4, 1890 § 2.
Mercredi, le 12 décembre 2012   Le mariage chretien
Le mariage qui est une union pour la vie est un symbole de l'union qui existe entre le Christ et son Eglise. L'esprit que Jésus témoigne envers son Eglise doit être également celui que le mari et sa femme doivent se témoigner mutuellement. S'ils aiment Dieu par-dessus tout, ils s'aimeront aussi dans le Seigneur, se conduisant l'un envers l'autre avec courtoisie, et cultivant ainsi l'harmonie. Leur mutuel esprit de sacrifice et d'abnégation.                     The Adventist Home, p. 95; Le foyer chrétien, p. 90.
L’amour divin émanant du Christ ne détruit jamais l’amour humain ; il l’implique. En lui l’amour humain s’affine, se purifie, s’élève et s’ennoblit. Il ne peut porter de précieux fruits que s’il s’unit à la nature divine et se développe en étant dirigé vers le ciel. Jésus souhaite voir des mariages et des foyers heureux.
Comme ce fut le cas pour tous les merveilleux dons que Dieu a confiés en dépôt à l’humanité, le mariage a été perverti par le péché ; mais l’Evangile a pour objet de restaurer cette institution dans sa pureté et sa beauté. …
Seule la grâce du Christ peut faire à nouveau de cette institution ce qu’elle était à son origine : un instrument destiné à bénir et à élever l’humanité. C’est ainsi que les familles terrestres, par leur unité, leur paix et leur amour, peuvent représenter la famille céleste.                                            The Adventist Home, pp. 99, 100; Le foyer chrétien, pp. 95, 96.
Hommes et femmes peuvent atteindre l'idéal que Dieu leur propose, s'ils acceptent l'aide du Christ. Ce qui est impossible à la sagesse humaine, sa grâce l'accomplira pour ceux qui s'abandonnent à lui sans réserve. Sa providence unira les cœurs par des liens célestes ; l'amour ne sera plus alors un simple échange de paroles douces et flatteuses. Les métiers du ciel entrelacent la chaîne et la trame avec bien plus de finesse et de solidité que ceux de la terre, et fournissent un tissu qui supporte les frottements, les tiraillements et les épreuves. Les cœurs sont unis par les fils d'or d'un amour éternel.
The Ministry of Healing, p. 362 ; Le ministère de la guérison, p. 306.
Dans votre union pour la vie, vos affections doivent être tributaires de votre bonheur mutuel. Il faut que chacun veille à celui de l'autre. Telle est la volonté de Dieu à votre égard. Mais bien que vous deviez vous confondre au point de ne former qu'une même personne, il ne faut pas que l'un ou l'autre perde son individualité. C'est Dieu qui possède votre individualité. C'est à lui que vous devez demander : « Qu'est‑ce qui est bien ? Qu'est‑ce qui est mal ? Comment puis‑je le mieux atteindre le but de mon existence? » « Vous ne vous appartenez point à vous‑mêmes, dit l'apôtre. Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu. » 1 Co.6: 19,20. Votre amour pour ce qui est humain doit passer après votre amour pour Dieu. Que la richesse de cet amour soit dirigée vers celui qui a donné sa vie pour vous. L'âme qui vit pour Dieu fait monter vers lui ses affections les meilleures et les plus élevées. La plus grande partie de votre amour va‑t‑elle à celui qui est mort pour vous ? Si oui, votre amour l'un pour l'autre sera conforme à l'ordre du ciel.                               Testimonies, vol. 7, pp. 45, 46 ; Témoignages, vol. III, p. 109.
Jeudi, le 13 décembre 2012   Le comportement du chretien
Le devoir de chaque chrétien est de contracter des habitudes d'ordre, de perfection et de diligence. Quel que soit son ouvrage, l'homme qui le fait négligemment est inexcusable. Si l'on est toujours au travail et que ce dernier demeure sans cesse inachevé, c'est que l'on n'y a pas mis son esprit et son cœur. Celui qui est désavantagé par sa lenteur devrait aspirer à se corriger de ce défaut.  Il faut qu'il s'applique à tirer de son temps le meilleur parti possible. Avec de l'adresse et de la méthode, certaines personnes feront en cinq heures autant de travail que d'autres en dix. Il est des ménagères qui sont toujours sur la brèche, non parce qu'elles ont fort à faire, mais parce qu'elles ne savent pas organiser leur journée. Elles n'avancent pas et se donnent beaucoup de peine pour peu de chose. Mais tous ceux qui le désirent peuvent surmonter leur embarras et leur lenteur habituelle. Il leur suffit de se fixer un but précis, de décider du temps nécessaire pour une tâche donnée et de faire tous leurs efforts pour tenir ce programme.  L'exercice de la volonté rendra les mains habiles.
Christ’s Object Lessons, p. 344; Les Paraboles de Jésus, pp. 298, 299.
Nous perdons beaucoup en négligeant de nous unir à d’autres chrétiens en vue de nous encourager mutuellement au service du Seigneur. Les vérités de la Parole inspirée perdent leur éclat et leur importance. Nos cœurs ne sont plus éclairés et vivifiés par leur influence sanctifiante, et nous déclinons spirituellement. Dans nos rapports entre chrétiens, nous perdons beaucoup par le manque de sympathie les uns envers les autres. Celui qui se renferme en lui-même n’occupe pas la place que le Seigneur lui avait assignée. Le fait de cultiver notre faculté de vivre en société nous porte à sympathiser avec autrui et contribue à notre développement en vue du service de Dieu.
Mind, Character, and Personality, bk. 2, p. 646 ; Pour un bon équilibre, vol. 2 p. 646.
D'une manière toute spéciale, ceux qui ont goûté l'amour du Christ devraient développer leurs facultés sociales, ce qui leur permettrait de gagner des âmes à leur Sauveur. Le Christ ne doit pas être tenu caché dans leurs cœurs, comme un trésor secret, jalousement .gardé pour soi, ou manifesté seulement à ceux qui leur plaisent. Les élèves doivent être éduqués de telle sorte qu'ils manifestent l'idéal du Christ envers ceux qui en ont le plus besoin, même s'ils ne sont pas leurs compagnons de choix. En tous temps et en tous lieux, Jésus manifestait un intérêt compatissant à l'égard de la famille humaine et la lumière d'une piété joyeuse se dégageait de lui. Nos élèves doivent apprendre à marcher sur ses traces, à 'manifester le même intérêt altruiste, la même sympathie, le même amour pour leurs camarades, le même désir d'amener des âmes au Sauveur. Le Christ devrait être dans leur cœur comme une source d'eau vive jaillissant jusque dans la vie éternelle, rafraîchissant tous ceux qui viennent s'y abreuver.
Testimonies, vol. 6, pp. 172, 173 ; Témoignages, vol. II, p. 512.
Vendredi, le 14 décembre 2012
Pas de lecture complémentaire.

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