LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Monday, December 17, 2012

Commentaires d'Ellen White
From: http://www.adventverlag.ch/egw/f/complements2012.html


4ème trimestre 2012 CROITRE EN CHRIST

Sabbat après-midi, le 15 décembre 2012
12_ Les temps de la fin : Jésus et les hommes sauvés

Christ est dans le sanctuaire céleste, où il fait l’expiation en faveur du peuple. Il
présente à Son Père Son côté blessé et Ses mains percées. Il plaide en faveur de Son
église qui est sur la terre. Il purifie le sanctuaire des péchés du peuple. En quoi consiste
notre part ? A être en harmonie avec l’oeuvre du Christ. Par la foi nous devons agir avec
Lui, pour être en union avec Lui.

Le ciel tout entier est intéressé à l’oeuvre qui se développe sur cette terre. Un peuple
doit se préparer pour le grand jour de Dieu, événement qui est proche; et nous ne
pouvons pas permettre à Satan de jeter son ombre sur notre sentier, et intercepter notre
vision de Jésus et de Son amour infini. Nous devrions tirer du Christ l’aide dont nous
avons besoin. Et quand avons-nous besoin de Son aide? C’est à l’époque d’épreuve, au
moment où la tentation surgit comme une inondation, quand Satan jette son ombre
ténébreuse devant nous, et que nous ne sommes plus en mesure de distinguer le sacré du
profane. C’est alors que nous avons besoin de fuir vers la source de notre force.
Review and Herald, January 28, 1890 § 7, 8.

Dimanche, le 16 décembre 2012 Le sanctuaire céleste, première partie

Comme le sanctuaire terrestre construit par Moïse selon le modèle qui lui a été
montré sur la montagne, le temple de Salomon, avec tous ses services, était « une figure
pour le temps actuel, où l'on présente des offrandes et des sacrifices. » Le lieu saint et le
lieu très saint étaient des « modèles des choses célestes » ; Christ, notre Grand Prêtre,
est « ministre du sanctuaire et du véritable tabernacle, qui a été dressé par le Seigneur et
non par un homme ». En vision, il a été permis à l’apôtre Jean de voir le temple de Dieu
dans les cieux. Il y vit « sept lampes ardentes qui brûlent devant le trône ». Il vit un ange
« ayant un encensoir d'or. On lui donna beaucoup de parfum, afin qu'il l’offrît avec les
prières de tous les saints sur l'autel d'or qui est devant le trône ». Ici, le prophète put voir
le lieu saint du sanctuaire céleste. Il y vit les « sept lampes ardentes » et « l’autel d’or »,
représenté par le chandelier d’or et l’autel des parfums dans le sanctuaire terrestre. De
nouveau « le temple de Dieu dans le ciel fut ouvert », et il regarda au-delà du voile
intérieur, dans le lieu très saint. Il y observa, « l'arche de son alliance », représentée par
le coffre sacré construit par Moïse pour contenir la loi de Dieu.

Dans le ministère du sanctuaire terrestre, qui était « l’image et l’ombre des choses
célestes », le lieu très saint n’était ouvert que le jour des expiations, typiquement le jour
du jugement, mis à part pour purifier le sanctuaire. C’est pourquoi l’annonce, « Le
temple de Dieu dans le ciel fut ouvert, et l'arche de son alliance apparut dans son
temple », pointe vers l’ouverture du lieu très saint du sanctuaire céleste, à la fin des
2300 jours – en 1844 – lorsque Christ y entra pour effectuer l’oeuvre finale de
l’expiation. Ceux qui, par la foi, suivent leur souverain sacrificateur alors qu’il entre
dans le cadre de son ministère dans le lieu très saint, y voient l’arche de l’alliance.
Le sanctuaire céleste est la place centrale de l'oeuvre du Christ en faveur des
hommes. Il concerne toute personne vivant sur la terre et il nous offre une vision du
plan de la rédemption ; il nous conduit jusqu'à la fin du temps de grâce et nous révèle
l'issue triomphale de la lutte soutenue entre la justice et le péché.

Nous vivons maintenant dans le grand jour de l’expiation. Dans le service typique,
alors que le grand prêtre faisait l’expiation pour Israël, tous étaient appelés à affliger
leur âme en repentance pour leurs péchés. Ils s’humiliaient devant le Seigneur de peur
qu’ils ne soient retranchés de l’ensemble du peuple. De la même manière, tous ceux qui
voudraient avoir leur nom retenu dans le livre de vie, devraient maintenant, alors qu’il
reste peu de jours dans le temps de grâce, affliger leur âme devant Dieu, en exprimant
leurs regrets pour leurs péchés, et en passant par une vraie repentance. On doit sonder
son coeur d’une façon profonde et avec fidélité. L’esprit léger et frivole que tant de
chrétiens se permettent de tolérer doit être écarté. Une lutte terrible se présente à tous
ceux qui voudraient surmonter leurs mauvaises tendances et qui cherchent à les
maîtriser. L’oeuvre de préparation est une oeuvre individuelle. Nous ne sommes pas
sauvés en groupe. La pureté et la dévotion de l’un ne compensera pas le manque de ces
qualités chez un autre. Quoique toutes les nations doivent passer en jugement devant
Dieu, chaque cas sera examiné individuellement par un examen attentif et approfondi,
comme s’il n’y avait pas d’autre être humain sur la terre. Chacun doit être examiné et
trouvé sans tache ni ride de quelque sorte que ce soit.
Review and Herald, November 9, 1905 § 9-12.

Lundi, le 17 décembre 2012 Le sanctuaire céleste, deuxième partie

Le divin Auteur du plan du salut n'a rien laissé au hasard : chaque partie de ce plan
est parfaite. Le péché du monde entier a reposé sur le Christ. Dieu a conféré la plus
grande valeur aux souffrances de son Fils afin d'étendre au monde entier la rémission
des péchés par la foi au Substitut. Le plus grand coupable peut être assuré du pardon de
Dieu. A cause de l'efficacité du divin sacrifice, la pénalité de la loi a été levée. Par le
Christ, le pécheur peut entrer de nouveau dans l'alliance avec Dieu.
Comme le plan de la rédemption est merveilleux dans sa simplicité et sa perfection!
Il ne pourvoit pas seulement à un plein pardon mais aussi à la réhabilitation du
coupable. Grâce à lui, nous pouvons être acceptés comme fils de Dieu. Par l'obéissance,
le pécheur peut retrouver l'amour, la paix et la joie. Dans sa faiblesse, il peut, par la foi,
s'unir au Christ, - la source de toute force -, et recevoir l'approbation de Dieu par les
mérites du Christ qui a satisfait aux exigences de la loi et qui impute sa justice à l'âme
pénitente et croyante. ...

La tunique sans tache, tissée sur les métiers du ciel, recouvre le repentant qui désire
obéir; Celui-ci prend sur lui le joug de la souffrance du Christ, telle qu’Il la subit durant
son humanité.
Review and Herald, March 10, 1891 § 6; Pour mieux connaître Jésus-Christ, p. 98.

Jésus officie en présence de Dieu, offrant le sang qu’Il a versé, comme cela avait
été le cas de l’agneau immolé. Il présente l'offrande destinée à couvrir toute offense et
toute faute du pécheur.

Le Christ, notre Médiateur, et le Saint-Esprit intercèdent constamment en faveur de
l'homme. Mais l'Esprit ne plaide pas pour nous comme le fait Christ qui offre son sang
répandu dès la fondation du monde; l'Esprit agit sur nos coeurs, suscitant des prières et le
repentir, des louanges et des actions de grâce. La gratitude qui jaillit de nos lèvres est
produite par l'action de l'Esprit qui fait vibrer les cordes de notre âme par de saints
souvenirs, suscitant une musique du coeur.

Les services religieux, les prières, la louange, la confession sincère du péché,
montent des véritables croyants comme de l'encens vers le sanctuaire céleste. Mais en
passant par les canaux corrompus de l'humanité ils sont si contaminés qu'à moins d'être
purifiés par le sang du Christ ils ne peuvent avoir de valeur devant Dieu. Ils ne montent
pas dans une pureté sans tache. A moins que l'Intercesseur qui est à la droite de Dieu ne
présente et purifie tout par Sa justice, ils ne seront pas acceptés par Dieu. Tout l'encens
venant du tabernacle terrestre doit être aspergé par le sang purificateur de Christ. Il
présente au Père l'encensoir de ses propres mérites dans lequel il n'y a aucune trace de
contamination terrestre. Il rassemble dans cet encensoir les prières, la louange et les
confessions de son peuple, et Sa propre justice immaculée. Alors, l'encens,
complètement et totalement acceptable monte vers Dieu, parfumé des mérites de la
propitiation de Christ. Les prières reçoivent en retour des réponses pleines de bonté.
Oh, si chacun pouvait comprendre que tout ce qu'il y a dans l'obéissance, la
contrition, la louange et la reconnaissance, doit être placé sur le feu ardent de la justice
de Christ ! Le parfum de cette justice monte comme une nuée autour du propitiatoire.
Ellen G. White Comments, SDA Bible Commentary, vol. 6, pp. 1077, 1078 ;
Commentaires d’Ellen White sur Romains 8.26, 34.

Le Christ s'humilia lui-même en se mettant à la tête de l'humanité, afin de connaître
ses tentations et ses épreuves. Pour secourir ceux qui sont tentés, il a voulu savoir à quoi
ils étaient exposés de la part de l'ange déchu.

Il a été fait notre juge. Ce n'est pas le Père qui se charge de cette fonction, ni les
anges. Le seul qui est qualifié pour nous juger, c'est Celui qui a revêtu, notre humanité
et qui a vécu en ce monde une vie parfaite. Ne l'oubliez pas, mes frères, ni vous,
prédicateurs, ni vous parents. Ne perdons jamais de vue le fait que le Christ a revêtu
notre humanité pour être notre juge. Nul d'entre vous n'a été désigné pour juger ses
semblables. Testimonies, vol. 9, p. 185 ; Témoignages, vol. III, p. 455.

Mardi, le 18 décembre 2012 Le retour du Christ

L'instruction du jugement et l'effacement des péchés auront lieu avant le retour du
Seigneur. Puisque les morts doivent être jugés d'après ce qui est écrit dans les livres,
leurs péchés ne peuvent pas être effacés avant que leurs cas aient été examinés. L'apôtre
Pierre déclare que les péchés des croyants seront effacés avant que « des temps de
rafraîchissement viennent de la part du Seigneur, et qu'il envoie celui qui vous a été
destiné, Jésus-Christ ». L'instruction du jugement terminée, le Seigneur viendra, « et sa
récompense sera avec lui pour rendre à chacun selon ses oeuvres ».
The Great Controversy, p.485 ; La Tragédie des siècles, p. 527.

Une des vérités les plus glorieuses et les plus solennelles du christianisme est celle
qui annonce une seconde venue de Jésus-Christ pour achever la grande oeuvre de la
rédemption. Pour les enfants de Dieu, pèlerins séculaires de « la vallée de l'ombre de la
mort », la certitude que celui qui est « la résurrection et la vie » va revenir pour les
emmener avec lui dans la « maison du Père », est une perspective ineffable. La doctrine
du second avènement est la clé de voûte des Ecritures. Dès le jour où nos premiers
parents ont eu le malheur de se voir exilés de l'Eden, les vrais croyants ont eu les
regards fixés sur celui qui doit venir briser la puissance de l'ennemi et les réintroduire
dans le paradis perdu.

Les hommes pieux des siècles passés ont vu dans la venue du Messie en gloire la
consommation de leurs espérances. Enoch, le septième homme depuis Adam, « qui
marcha avec Dieu trois cents ans », put contempler de loin la venue du Libérateur.
«Voici, dit-il, le Seigneur est venu avec ses saintes myriades, pour exercer un jugement
contre tous, et pour faire rendre compte à tous les impies parmi eux de tous les actes
d'impiété qu'ils ont commis et de toutes les paroles injurieuses qu'ont proférées contre
lui des pécheurs impies.» Jude 14,15.

Le patriarche Job, dans la nuit de son affliction, s'écrie en accents d'une foi
inébranlable: « Mais je sais que mon Rédempteur est vivant, et qu'il se lèvera le dernier
sur la terre. ... Quand je n'aurai plus de chair, je verrai Dieu. Mes yeux le verront et non
ceux d'un autre ».Job 19.25-27.
The Great Controversy, p. 299; La Tragédie des siècles, pp. 323, 324.

Mercredi, le 19 décembre 2012 Dans l’attente du retour de Jésus

Le fait de croire à la venue du Fils de l'homme sur les nuées des cieux n'amènera
pas le vrai chrétien à se désintéresser des affaires ordinaires de cette vie. Celui qui
attend la prochaine apparition du Christ ne sera pas paresseux, mais diligent. Il
n'accomplira pas son travail d'une manière malhonnête, mais avec fidélité et
promptitude. Ceux qui pensent que leur désintéressement des choses de cette vie est une
preuve de leur spiritualité et de leur séparation du monde sont la proie d'une grande
illusion. Leur véracité, leur fidélité et leur intégrité sont mises à l'épreuve dans le détail
de la vie quotidienne. S'ils sont fidèles dans les petites choses, ils le seront aussi dans les
grandes. Testimonies, vol. 4, p. 309 ; Témoignages, vol. I, pp. 583,584.

A cette époque du monde, existe un amour fébrile de plaisir, une augmentation
inquiétante d’attitudes licencieuses, une contestation de toute autorité. Non seulement
les mondains, mais également ceux qui se prétendent être chrétiens sont gouvernés par
leurs inclinations personnelles plutôt que par le devoir. Et pourtant les signes des temps
nous montrent que nous approchons du retour de notre Seigneur. Les paroles de Christ
résonnent à travers les âges, « Veillez et priez. » Paul nous avertit : « Mais vous, frères,
vous n’êtes pas dans les ténèbres, pour que ce jour vous surprenne comme un voleur ;
vous êtes tous des enfants de la lumières et des enfants du jour. Nous ne sommes point
de la nuit ni des ténèbres. Ne dormons donc point comme les autres, mais veillons et
soyons sobres. » (1 Thess 5 :4-6) Signs of the Times, April 7, 1887 § 10.

Il est grandement nécessaire que notre foi faiblissante soit stimulée, et que nous
devions toujours garder à l’esprit les évidences que notre Seigneur vient bientôt, afin
que nous puissions toujours être trouvés non seulement dans l’attente, mais veillant et
travaillant. Nous ne voulons pas être trouvés dans une attente paresseuse ; car ceci
conduit à une négligence dans la vie, et une déficience de caractère. Nous devons
prendre conscience du fait que les jugements de Dieu vont bientôt s’abattre sur la terre,
et nous devrions d’une façon très ardente présenter devant les gens l’avertissement que
le Seigneur nous a donné le mandat de donner : « Car alors, la détresse sera si grande
qu’il n’y en a point eu de pareille depuis le commencement du monde jusqu’à présent,
et qu’il n’y en aura jamais. » (Matt. 24 :21) « Les hommes rendant l’âme de terreur dans
l’attente de ce qui surviendra pour la terre ; car les puissances des cieux seront
ébranlées. Alors on verra le Fils de l’homme venant sur une nuée avec puissance et une
grande gloire. Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos
têtes, parce que votre délivrance approche. » (Luc 21 :26)
Review and Herald, November 22, 1892 § 6.

Le peuple de Dieu doit prendre garde aux signes des temps. Les signes de la venue
du Christ sont trop clairs pour être mis en doute, et à leur vue tous ceux qui professent
croire à la vérité devraient devenir des prédicateurs pleins de vie. Dieu nous appelle
tous, prédicateurs, laïques, à nous réveiller. Le ciel tout entier est en état d'alerte. Le
rideau descendra bientôt sur le dernier acte de l'histoire du monde. Nous traversons les
périls des derniers jours, mais les plus grands dangers sont encore devant nous, et
cependant nous dormons. Ce manque d'activité et de zèle pour la cause de Dieu est
effrayant. Cette stupeur mortelle vient de Satan.
Testimonies, vol. 1, pp. 260, 261 ; Témoignages, vol. I, p. 98.

Nous vivons au temps de la fin. La succession rapide des signes des temps
proclame l'imminence de la venue du Seigneur. Nous sommes à une époque importante
et solennelle. L'esprit de Dieu se retire de la terre, peu à peu mais sans arrêt. Déjà plaies
et jugements frappent les contempteurs de la grâce divine. Calamités sur terre et sur
mer, instabilité de l'état social, menaces de guerres: autant de mauvais présages
annonçant la proximité d'événements d'une gravité inouïe.

Les forces du mal se coalisent et s'accroissent en vue de la crise finale. De grands
changements vont bientôt se produire dans le monde, et les événements de la fin vont se
précipiter. Testimonies, vol. 9, p. 11 ; Témoignages, vol. III, p. 335.

Jeudi, le 20 décembre 2012 La mort et la résurrection

« Réveillez-vous et tressaillez de joie, habitants de la poussière ! Car ta rosée est
une rosée vivifiante, et la terre redonnera le jour aux ombres. » (Esaïe 26:19)
Celui qui donne la vie appellera ceux qu'il s'est acquis à participer à la première
résurrection ; jusqu'à cette heure de triomphe où au son de la dernière trompette une
vaste armée surgira victorieuse pour l'éternité, chaque saint endormi sera gardé en
sûreté, tel un joyau précieux, connu de Dieu par son nom. Parce qu'ils ont été
participants de la nature divine, ils seront ramenés d'entre les morts par la puissance du
Sauveur qui demeurait en eux.
Selected Messages, bk. 2, p.271 ; Messages choisis, vol. 2, p. 310.

Quand Christ viendra pour rassembler auprès de Lui ceux qui Lui auront été fidèles,
la dernière trompette sonnera et toute la terre l'entendra, depuis les sommets des plus
hautes montagnes jusqu'aux plus bas recoins des plus grandes profondeurs. Les morts
en Christ entendront le son de cette dernière trompette, et ils sortiront de leur tombe
pour être revêtus de l'immortalité et rencontrer leur Seigneur.
Ellen G. White Comments, SDA Bible Commentary, vol. 7, p. 909 ;
Commentaires d’Ellen White sur 1 Thessaloniciens 16.

Enveloppé de flammes de feu, le Roi des rois descend sur la nuée. "Le ciel se retire
comme un livre qu'on roule", la terre tremble devant Lui, et "toutes les montagnes et les
îles sont remuées de leurs places". …

Pendant que la terre chancelle, que l'éclair déchire la nue et que rugit le tonnerre, la
voix du Fils de Dieu appelle les saints hors de leurs tombeaux. Jetant Son regard sur ces
tombes, Il lève les mains vers le ciel et s'écrie: "Debout, debout, debout vous qui
dormez dans la poussière!" Dans toutes les parties du monde "les morts entendront la
voix du Fils de Dieu, et ceux qui l'auront entendue vivront!" La terre entière tremble
sous les pas d'une immense multitude venant de toute nation, de toute tribu, de toute
langue et de tout peuple. Revêtus d'une gloire immortelle, ils sortent de la prison de la
mort, en s'écriant: "O mort, où est ta victoire? O mort, où est ton aiguillon?"
(1 Cor. 15:55). Puis les justes vivants et les saints ressuscités s'unissent dans un joyeux
et puissant cri de victoire.

En sortant de la tombe, ils ont la taille qu'ils avaient lorsqu'ils y sont descendus. …
Mais tous s'élèvent avec la fraîcheur et la vigueur d'une éternelle jeunesse. … Notre
corps mortel, corruptible, enlaidi et souillé par le péché, devient parfait, magnifique et
immortel. Toutes tares et difformités sont laissées dans la tombe. …

Les justes vivants sont changés "en un instant, en un clin d'oeil". A la voix de Dieu,
ils étaient glorifiés, maintenant ils sont rendus immortels et, avec les saints ressuscités,
sont enlevés dans les airs, à la rencontre du Seigneur. Les anges « rassemblent les élus
des quatre vents, d'une extrémité de la terre à l'autre ». Maranatha, p. 299.
« Comme le Père ressuscite les morts et donne la vie, de même aussi le Fils donne
la vie à qui il veut. » Tandis que les sadducéens prétendaient qu'il n'y aura pas de
résurrection des corps, Jésus affirme que l'une des plus grandes oeuvres du Père consiste
à rendre la vie aux morts, et qu'il est lui aussi assez puissant pour accomplir la même
oeuvre. « L'heure vient, dit-il - et c'est maintenant - où les morts entendront la voix du
Fils de Dieu, et ceux qui l'auront entendue vivront. » Les pharisiens croyaient à la
résurrection des morts. Le Christ déclare que la puissance qui rend la vie aux morts est
déjà au milieu d'eux et qu'ils en verront la manifestation. C'est cette même puissance de
résurrection qui donne la vie à l'âme morte par ses « fautes » et ses « péchés ». L'esprit
de vie qui est en Christ Jésus c'est « la puissance de sa résurrection », qui délivre de « la
loi du péché et de la mort ». Le mal perd son empire; l'âme est préservée du péché par la
foi. Quiconque ouvre son coeur à l'influence de l'Esprit du Christ a accès à la grande
puissance qui fera sortir son corps du sépulcre.
The Desire of Ages, pp. 209, 210; Jésus-Christ, p.193.

Vendredi, le 21 décembre 2012
Pas de lecture complémentaire.

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