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Sabbat, le 29 déc. 2012 1_ Jésus, créateur de ciel et de la terres
Ce n’est pas la profondeur du raisonnement qui produit le meilleur résultat ; le
monde sur le plan rationnel humain ne connaissait pas Dieu. Mais de saints hommes ont
parlé, poussés par le Saint-Esprit. Une accumulation de raisonnements ne peut expliquer
les pourquoi et les comment de la création du monde. Cela ne peut être compris que par
la foi en la grande puissance créatrice de Dieu par Jésus-Christ. « C’est par la foi que
nous reconnaissons que l’univers a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce
qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles. » (Héb. 11 :3) (ne sont pas visibles au
regard humain) C’est un sujet sur lequel on peut faire une déclaration. Mais un simple
raisonnement ne convaincra jamais quelqu’un de la vérité de cette déclaration.
Testimonies, vol. 3, p. 337.
Dimanche, le 30 décembre 2012 « Au commencement »
En considérant les lois de la matière et de la nature, beaucoup perdent de vue, - s'ils
ne la nient pas complètement, - l'intervention directe et constante de Dieu. Ils
considèrent que la nature agit indépendamment de Dieu, possédant en elle même ses
propres limites et sa propre puissance par lesquelles elles opèrent. Dans leur pensée, il y
a une nette distinction entre le naturel et le surnaturel. Le naturel est considéré comme
ayant des causes ordinaires, sans rapport avec la puissance divine. Une force vitale est
attribuée à la matière et à la nature ainsi déifiée. On suppose que la matière est placée
dans certaines conditions et abandonnée à des lois que Dieu lui-même ne saurait
changer; que la nature est revêtue de certaines propriétés et est soumise à des lois,
ordonnées des l’origine.
Tout cela est une fausse science. Il n'est rien dans la Parole de Dieu pour la soutenir.
Le Seigneur n'annule pas ses lois, mais il opère constamment par elles, les employant
comme ses instruments. Elles ne font rien par elles-mêmes. Dieu agit perpétuellement
dans la nature. Elle est sa servante, et il la dirige comme il lui plaît. Dans son oeuvre, elle
témoigne de la présence intelligente et active d'un Etre qui dirige toutes choses selon sa
volonté. Ce n'est pas par une force originelle inhérente à la nature que, année après
année, la terre fournit ses richesses et poursuit sa marche autour du soleil. Une puissance
infinie, celle de Dieu, est perpétuellement à l'oeuvre pour guider notre planète dans son
mouvement de rotation.
C'est par Sa puissance que la végétation est produite, que chaque feuille apparaît et
que chaque fleur s'épanouit. Chaque goutte de pluie ou chaque flocon de neige, chaque
brin d'herbe, chaque feuille, chaque fleur et chaque arbuste témoignent de Dieu. Ces
petites choses si communes autour de nous nous enseignent que rien n'échappe aux yeux
du Dieu infini. Rien n'est trop petit pour lui.
Le mécanisme du corps humain ne peut être pleinement compris. Il présente des
mystères qui déconcertent les plus intelligents. Ce n'est pas comme une mécanique qu'il
fonctionne une fois mis en marche, que les pulsations du coeur continuent et que la
respiration s'effectue. C'est en Dieu que nous avons « le mouvement, la vie et l'être. »
Chaque respiration, chaque battement du coeur est une preuve constante de la puissance
d'un Dieu toujours présent.
C'est le Seigneur qui fait lever le soleil. Il ouvre les écluses des cieux et nous donne
la pluie. Il fait croître l'herbe sur la montagne. «Il donne de la neige comme de la laine, il
répand la gelée blanche comme de la cendre. » « A sa voix, les eaux mugissent dans les
cieux ... Il produit les éclairs et la pluie, il tire le vent de ses trésors. » Ps.147:16;
Jér.10:13.
Dieu emploie constamment, comme ses servantes, les choses qu'il a créées. Le
Christ dit:
« Mon Père agit jusqu'à présent; moi aussi, j'agis. » Jean 5:17
Testimonies, vol. 8, pp. 259-261 ; Témoignages, vol. III, p. 308.
Lundi, le 31 décembre 2012 Au milieu du millénium
Le Créateur a donné d’abondantes évidences que Sa puissance est illimitée, qu’Il
peut établir des royaumes et renverser des royaumes. Il tient le monde par la parole de
Sa puissance. Il fait la nuit, distribuant les étoiles brillantes dans le firmament. Il les
appelle toutes par un nom. Les cieux déclarent la gloire de Dieu, et le firmament montre
Son oeuvre, révélant à l’homme que cette petite planète n’est qu’un point dans la
création de Dieu. Si chaque membre de la famille humaine refusait de Le reconnaître en
déclarant : il n’y a pas de Dieu, il ne voudrait pas que de telles personnes proclament sa
puissance.
Les habitants des mondes qui n’ont pas chuté regardent avec pitié et honte l’orgueil
de l’homme et l’importance qu’il se donne. Les riches et ceux qui sont honorés du
monde ne sont pas les seuls qui glorifient le moi. Nombreux sont ceux qui prétendent
révérer Dieu, et en fait parlent de leur propre sagesse et de leur propre puissance. Ils
agissent comme si Dieu a des obligations vis-à-vis d’eux, comme s’Il ne peut pas
continuer Son oeuvre sans leur aide. Que de telles personnes contemplent les cieux
étoilés, et étudient avec admiration et émerveillement les oeuvres merveilleuses de Dieu.
Qu’ils pensent à la sagesse qu’Il démontre en maintenant un ordre parfait dans le vaste
univers et du raisonnement limité que l’homme a de se vanter de ce qu’il est capable de
faire. The Youth’s Instructor, April 4, 1905, § 2,3.
Dans la formation de notre monde, Dieu n’était pas tributaire d’une substance ou
d’une matière préexistante. Car “ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles”.
Hébreux 11 :3. Au contraire, toutes choses, matérielles ou spirituelles, se dressèrent
devant le Seigneur Jéhovah au son de sa voix. Elles furent créées selon ses desseins. Les
cieux et toutes leurs armées, la terre et tout ce qu’elle renferme ne sont pas seulement
l’oeuvre de ses mains ; elles vinrent à l’existence par le souffle de sa bouche.
Selected Messages, bk. 3, p. 312 ; Levez vos yeux en haut, p. 332.
Alors, lorsque le voile qui obscurcit notre vue sera ôté et que nos yeux
contempleront ce monde magnifique que nous nous contentons actuellement d'entrevoir
au microscope ; lorsque nous admirerons les splendeurs célestes que le télescope nous
laisse deviner ; lorsque la terre entière, débarrassée de la lèpre du péché, apparaîtra dans
la beauté du Seigneur, notre Dieu, quel champ d'études s'étendra devant nous !
L'étudiant pourra se pencher sur les récits de la création, il n'y rencontrera aucune trace
du péché. Il pourra écouter les chants de la nature, il n'y distinguera aucune plainte,
aucune note de chagrin. Sur chaque objet créé, il pourra reconnaître la main de Dieu,
contempler le nom du Seigneur à travers l'univers ; ni la terre, ni la mer, ni le ciel ne
porteront plus la moindre marque du mal. Education, p.303 ; Éducation, p.
335.
Mardi, le 1er janvier 2013 La puissance de sa Parole
Puisque le livre de la nature et le livre de la révélation sont issus à l'origine de la
même intelligence, ils ne peuvent que s'accorder. De façons différentes, dans des
langages différents, ils attestent les mêmes vérités. La science découvre sans cesse de
nouvelles merveilles et aucune de ses recherches, si nous les comprenons bien, n'entre en
contradiction avec la révélation divine. La nature et la parole écrite s'éclairent
mutuellement. Elles nous font connaître Dieu en nous enseignant certains aspects des
lois à travers lesquelles il agit.
Toutefois des conclusions erronées tirées de faits naturels ont poussé les hommes à
imaginer que la science et la révélation s'opposaient ; et dans un désir profond de rétablir
l'harmonie, on a adopté pour les Ecritures des interprétations qui sapent et détruisent
l'autorité de la Parole de Dieu. On a pensé que la géologie était en contradiction
flagrante avec l'interprétation littérale du récit mosaïque de la création. Il a fallu des
millions d'années — est-il proclamé — pour que le monde sorte du chaos ; alors, pour
adapter la Bible à cette prétendue révélation de la science, on a considéré que chaque
jour de la création recouvrait une période infiniment longue : des milliers ou même des
millions d'années.
Une telle conclusion est totalement déplacée. Le récit de la Bible ne se contredit ni
ne contredit la nature. Du premier jour consacré au travail de la création, il est dit : « Il y
eut un soir et il y eut un matin : ce fut un jour. » Genèse 1 : 5. Chacun des six jours de la
création est présenté de façon analogue. La parole inspirée nous déclare que chacune de
ces périodes a été un jour, avec un soir et un matin, comme tous les autres jours depuis
lors. En ce qui concerne le travail de création lui-même, la Bible nous dit : « Car il dit, et
[la chose] arrive ; il ordonne, et elle existe. » Psaume 33 : 9. Combien de temps fallait-il
donc à Celui qui peut ainsi appeler à la vie des mondes innombrables, pour faire sortir la
terre du chaos ? Pour rendre compte de ses oeuvres, devons-nous dénaturer sa Parole ?
Education, p. 128, 129; Éducation, p. 145.
L'énergie créatrice qui appelle les mondes à l'existence jaillit de la Parole de Dieu.
Cette Parole communique la force, engendre la vie. Chaque prescription est une
promesse qui apporte la vie divine à qui l'accepte de toute sa volonté et la reçoit dans
son âme. La Parole de Dieu transforme le caractère et recrée l'homme à l'image de son
Seigneur. Education, p. 126; Éducation, p.
142.
Comme la terre, la semence a été créée par la parole de Dieu et a reçu d’elle la force
de grandir et de se multiplier. “Dieu dit: Que la terre produise de la verdure, de l’herbe
portant de la semence, des arbres fruitiers donnant du fruit selon leur espèce et ayant en
eux leur semence sur la terre. Et cela fut ainsi. ... Dieu vit que cela était bon.” Genèse 1.
11,12 Cette parole fait encore aujourd’hui pousser la semence. Celle-ci étale sa verdure
au soleil et témoigne de la toute-puissance de Dieu qui “dit, et la chose arrive”; qui
“ordonne, et elle existe”. Psaume 33 :9
Christ’s Object Lessons, pp.80, 81 ; Les Paraboles de Jésus, p. 63.
Dieu a parlé et Ses paroles ont créé Ses oeuvres dans le monde naturel. La création
de Dieu n’est qu’un réservoir de ressources prêtes à être employées pour Lui
instantanément afin d’accomplir Son bon plaisir. Rien n’est inutile, mais la malédiction a
fait que l’ivraie a été semée par l’ennemi. Est-ce que des êtres raisonnables ne créent que
la confusion dans notre monde ? (Quant à nous) ne voulons-nous pas vivre pour Dieu ?
Est-ce que nous ne voulons pas L’honorer ? Notre Dieu et notre Sauveur est toute
sagesse et toute puissance. Il est venu en notre monde pour que Sa perfection puisse être
révélée en nous. Manuscript Releases, vol.6, p. 30.
Mercredi, le 2 janvier 2013 Jésus, Créateur du ciel et de la terre
Le souverain Créateur convoqua tous les habitants du ciel, afin d’honorer
particulièrement son Fils en présence de tous les anges. Le Fils était assis sur le trône
avec le Père, la multitude céleste des saints anges étant rassemblée autour d’eux. Le Père
fit alors savoir qu’il avait lui-même ordonné que Jésus, son Fils, soit son égal; ainsi, où
que son Fils soit présent, le Père était lui-même présent. Il fallait obéir à la parole du Fils
comme on obéissait à celle du Père. Il avait conféré à son Fils l’autorité requise pour
diriger les cohortes célestes. Son Fils devait notamment réaliser avec lui la création de la
terre et de toute chose vivante qui existerait ici-bas, conformément aux plans de la
Providence. Son Fils exécuterait sa volonté et ses desseins, mais ne ferait rien de sa
propre initiative. La volonté du Père serait accomplie en Jésus.
The Story of Redemption, pp. 13, 14; L’Histoire de la rédemption, p. 11.
Le Maître de l’univers n’est pas seul dans l’accomplissement de son grand oeuvre. Il
y est secondé par un Être capable d’apprécier ses desseins et de partager la joie qu’il
trouve dans le bonheur de ses créatures. “Au commencement était la Parole, et la Parole
était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu.”
Jean 1 :1, 2. La Parole, c’est-à-dire le Fils unique de Dieu, n’est qu’un avec le Père
éternel: un par sa nature, un par son caractère, un dans ses desseins. Il est le seul Être qui
puisse entrer dans tous ses conseils et partager toutes ses pensées. “On l’appellera le
Conseiller admirable, le Dieu fort, le Père d’éternité, le Prince de la Paix.”
Esaïe 9.6 “Celui dont l’origine remonte aux temps anciens, aux jours éternels.”
Michée 5 :2.
Il le déclare de lui-même: “ Moi, la Sagesse,... L’Éternel m’avait auprès de lui quand il
commença son oeuvre, avant même ses créations les plus anciennes. J’ai été formé dès
l’éternité, dès le commencement, dès l’origine de la terre... Quand il posait les
fondements de la terre, j’étais auprès de lui. J’étais ses délices tous les jours, et sans
cesse je me réjouissais en sa présence. ” Proverbes 8 :22-30.
C’est par son Fils que Dieu a créé tous les êtres célestes. “C’est en lui que tout a été
créé, ... les trônes, les dominations, les autorités, les puissances: tout a été créé par lui et
pour lui.” Colossiens 1 :16.
Patriarchs and Prophets, p.34 ; Patriarches et prophètes, p. 10.
Le ciel se rendait bien compte de la grande nécessité que l’homme avait de recevoir
un enseignant divin. La pitié et la sympathie de Dieu s’exercèrent en faveur de l’homme
déchu et lié au "chariot" de Satan ; et quand le temps furent accomplis, Il envoya Son
Fils. Celui qui avait été désigné dans les conseils du ciel est venu sur cette terre pour être
notre instructeur. Il n’était rien de moins que le Créateur du monde, le Fils du Dieu
infini. Dans Sa généreuse bienveillance, Dieu L’offrit au monde. Et pour aller à
l’encontre des nécessités de l’humanité Il revêtit la nature humaine. A l’étonnement des
phalanges célestes, Il marcha sur cette terre en tant que la "Parole" éternelle. Pleinement
préparé, Il a quitté les cours royales pour venir en un monde dégénéré et pollué par le
péché. Mystérieusement, il s’est intégré à la nature humaine. « La Parole a été faite
chair, et habite parmi nous. » Cette surabondance de bonté, de bienveillance et d’amour
fut une surprise pour le monde : une grâce qui pouvait devenir une réalité vécue, mais
qui ne pouvait être expliquée. Fundamentals of Christian Education, pp.399, 400.
Jeudi, le 3 janvier 2013
Le vin créé par Christ dans la fête du mariage en Galilée fut meilleur que le vin
approvisionné, et que tous les vins jamais goûtés. Mais il n’était en rien fermenté…
Christ n’a pas fait de publicité concernant Son action. Au début seulement quelques
personnes étaient au courant de l’embarras du maître de céans. Mais après que le
nouveau vin fut apporté, les hôtes exprimèrent leur grand étonnement concernant la
supériorité du vin présenté maintenant devant eux. On sut qu’il y avait eu un miracle et
ce que Christ désirait être fait, fut accompli. La foi des disciples fut confirmée. Ce
miracle fut pour eux un témoignage convainquant que leur Maître était le Rédempteur
du monde.
Jésus ne toucha pas l’eau dans les vases. Il la regarda simplement, et immédiatement
elle devint comme du moût fraîchement sorti du pressoir. Seulement quelques jours plus
tôt, le Christ avait refusé d’accomplir un miracle pour satisfaire Sa faim. Il était faible et
épuisé ; car Il n’avait pas eu d’aliment depuis quarante jours et quarante nuits ; mais Il
ne voulait pas commander aux pierres de devenir du pain pour satisfaire Son appétit. A
la suggestion de l’ennemi Il répondit : « Il est écrit : l’homme ne vivra pas de pain
seulement mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu. » Il n’accepterait pas le
défi de mettre en péril Sa vie en se jetant du pinacle du temple pour prouver qu’Il était le
Fils de Dieu. En réponse au défi, Il déclara : « Il est écrit, tu ne tenteras pas le Seigneur
ton Dieu. » Mais à l’occasion de la fête du mariage Il accomplit un miracle pour montrer
que le mariage n’est pas interdit par Dieu.
The Bible Echo, September 4, 1899, § 1, 5, 6.
Le Christ n’a jamais opéré de miracles sans qu’il y eût une vraie nécessité; chacun
de ses miracles était de nature à diriger le peuple vers l’arbre de la vie, dont les feuilles
servent à la guérison des nations. Les aliments distribués par les disciples renfermaient
tout un trésor de leçons. Le menu était très simple: les poissons et les pains d’orge
constituaient l’alimentation ordinaire des familles de pêcheurs, vivant près de la mer de
Galilée. Le Christ aurait pu offrir au peuple un repas succulent, mais des aliments,
préparés uniquement en vue de flatter le goût, n’eussent enseigné rien de bon. Le Christ
voulait montrer à l’homme qu’il s’était éloigné de l’alimentation naturelle que Dieu lui
avait fournie. Jamais fête dispendieuse, destinée à flatter un appétit perverti, ne procura
autant de joie que le repos et la nourriture frugale offerte par le Christ, au peuple, si loin
de toute habitation humaine. The Desire of Ages, pp. 366, 367; Jésus-Christ, p. 359.
Le miracle du Christ d’avoir rendu la vue à un aveugle-né était une preuve évidente
de la divinité de sa mission. Review and Herald, February 11, 1902.
Le Seigneur Jésus savait l’épreuve à travers laquelle l’homme pour lequel il avait
accompli le miracle passait, et il lui donna grâce et éloquence, de telle sorte qu’il devint
un témoin pour Christ. Il répondit aux Pharisiens : « Voilà ce qui est étonnant, c’est que
vous ne sachiez pas d’où il est : et il m’a ouvert les yeux ! Nous savons que Dieu
n’exauce pas les pécheurs ; mais si quelqu’un honore Dieu et fait sa volonté, celui-là il
l’exauce. Jamais encore on avait entendu dire que quelqu’un ait ouvert les yeux d’un
aveugle-né. Si cet homme n’était pas de Dieu, il ne pourrait rien faire. » L’aveugle qui,
maintenant, pouvait voir, contemplait les merveilles de la création. Pourrait-on le
détourner de Celui qui lui avait restauré la vie, pour obtenir les faveurs de ceux qui
cherchaient à le piéger par leur conversation, ou le ridiculisaient? Il fut en mesure de
résister à leur influence. Signs of the Times, October 23, 1893, § 12.
Vendredi, le 4 janvier 2013
Pas de lecture complémentaire.
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