LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Sunday, January 27, 2013

Les commentaires d'Ellen G. White pour la lecon de la semaine
 
1er trimestre 2013   LES ORIGINES

Lecon 5- Création et éthique
 
Sabbat après-midi, le 26 janvier 2013
Personne n’a d’excuse de négliger le devoir dû à son prochain. En prenant soin de
son prochain, on accomplit la loi de Dieu. Le Seigneur s’est engagé à bénir ceux qui
mettent en pratique le commandement de l’aimer suprêmement, et d’aimer son prochain
comme soi-même.
 
Ce ne sont pas des paroles, une déclaration de foi, ou une prétention à la piété, qui
ont une valeur devant Dieu, mais c’est agir avec justice qui révèle un caractère
semblable à celui de Christ. Obéir à la loi de Dieu signifie discerner rapidement ce dont
notre prochain a besoin et l’aider rapidement, sans cesser de s’informer de ses besoins.
Croient-ils aux mêmes doctrines que moi? (Peu importe). Obéir à la loi de Dieu signifie
être prompt à être la main secourable de Dieu en soulageant les besoins de l’humanité
souffrante, quelle que soit l’appartenance religieuse de ceux qui sont dans le besoin.
Ceux qui accomplissent cette oeuvre et qui sont loyaux aux principes de la loi de Dieu,
ce sont eux qui vivent l’évangile.
 
Le Seigneur prend note avec soin des actes de compassion et de miséricorde
montrés par les hommes à leur prochain. Dans Son livre de souvenir est écrit chaque
acte de bienveillance. « Ils seront à moi, dit l’Eternel des armées, ils m’appartiendront,
au jour que je prépare ; j’aurai compassion d’eux, comme un homme a compassion de
son fils qui le sert. Et vous verrez de nouveau la différence entre le juste et le méchant,
entre celui qui sert Dieu et celui qui ne le sert pas. » (Mal. 3 :17,18)
Review and Herald, April 9, § 13-15.
 
Dimanche, le 27/01/13 Notre dépendance envers le Créateur
 
Le jardin d'Eden fut confié aux soins d'Adam et d'Eve. Ils devaient "le cultiver et le
garder". Ils étaient heureux dans leur travail. L'esprit, le coeur, et la volonté agissaient en
parfaite harmonie. Ils ne trouvaient ni ennui, ni contrainte dans leur travail. Leurs heures
étaient remplies d'activités utiles et de communion l'un avec l'autre. Leur occupation
était agréable. Dieu et Christ leur rendaient visite et parlaient avec eux. Une parfaite
liberté leur avait été donnée. Une seule restriction avait été placée devant eux.
"L'Eternel Dieu donna cet ordre à l'homme; Tu pourras manger de tous les arbres du
jardin; mais tu ne mangeras pas de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, car le
jour où tu en mangeras, tu mourras certainement."(Ge 2: 16-17)
 
C'était le test de leur obéissance. Dieu était le propriétaire de leur foyer d'Eden. Ils
le tenaient de Lui. Manuscript Releases, vol. 10, pp.327
 
Les sarments du cep ne peuvent pas se mélanger les uns aux autres, ils sont séparés
individuellement; et cependant, chaque sarment doit être en association avec tous les
autres s'ils sont unis sur la même plante-mère. Tous obtiennent leur nourriture de la
même source, ils boivent les mêmes vertus vivifiantes. Aussi chaque sarment du vrai
Cep est séparé et distinct, et cependant, ils sont tous unis sur la plante-mère. Il ne peut y
avoir de division. Ils sont tous liés par la volonté de Christ pour donner du fruit partout
où ils peuvent trouver de la place et des opportunités. Mais pour cela, l'ouvrier doit
cacher le moi. Il ne doit pas exprimer ses propres pensées et sa propre volonté. Il doit
exprimer la pensée et la volonté de Christ. La famille humaine dépend de Dieu pour sa
vie, son souffle et son soutien. Dieu a tissé la toile, et nous sommes tous des fils
individuels qui devons composer le patron. Le Créateur est un, et il s'est fait connaître
lui-même comme le grand Réservoir de tout ce qui est essentiel à chaque vie
individuelle. Ellen G. White Comments, SDA Bible Commentary, vol. 5, p. 1143 ;
Commentaires d’Ellen White sur Jean 15.1-5.
 
Le Christ a manifesté son intérêt dans le salut de chaque âme. Lorsqu’il a enduré la
mort de la croix il a pris des mesures pour le pardon de chaque personne. Quant à ceux
qui obéiraient à Ses commandements, Il a promis le bonheur éternel dans Son royaume.
Comment se fait-il que si peu répondent à cet amour ? Dieu est notre Créateur ; et nous
dépendons de Lui pour chaque bénédiction, pour un abri, pour la nourriture et le
vêtement, pour chaque occasion qui se présente dans le domaine religieux, pour la grâce
dont nous jouissons : et pourtant, combien notre coeur est froid ! Il arrive même qu’on
invite des personnes à contempler le calvaire, le Sauveur crucifié, et qui restent
insensibles devant la manifestation de l’Amour Infini. Voulons-nous vraiment regarder
avec une indifférence stoïque la révélation de Son amour ? Ou notre coeur ne sera-t-il
pas attendri au point d’exprimer une profonde gratitude et un profond amour ? Ne
chanterons-nous pas les louanges de notre Créateur et de notre Rédempteur ? Dieu a
doté l’homme de facultés émotionnelles et elles doivent être développées et affermies.
Mais beaucoup semblent être dépourvus de la moindre sensibilité. Ils ne manifestent
aucune reconnaissance, n’expriment aucune louange à ce Dieu qui procure tant de
faveurs à leur égard. Ils montrent de l’affection vis-à-vis de leurs amis. Mais la Source
de toute bénédiction, le Bienfaiteur généreux, ne reçoit pas cet amour auquel Il aurait
droit. Le ciel tout entier voit avec étonnement cette démonstration contre nature
d’ingratitude vis-à-vis de Celui qui envoie les rayons de soleil et la pluie sur le méchant
comme sur le bon. Signs of the Times, January 5, 1891, § 7.
 
Lundi, le 28 janvier 2013   À l’image de Dieu
 
Adam fut couronné roi en Eden. La domination lui fut donnée sur tout être vivant
que Dieu avait créé. Le Seigneur bénit Adam et Eve en les dotant d’une intelligence
qu’il ne donna à aucune autre créature. Il fit d’Adam le souverain légitime de toutes les
oeuvres des mains de Dieu. L’homme, fait à l’image divine, pouvait contempler et
apprécier dans la nature les oeuvres glorieuses de Dieu.
Brochure: Redemption: or the Temptation of Christ in the Wilderness, p.7;
Commentaires d’Ellen White sur Genèse 2.8.
 
Créés pour être « l'image et la gloire de Dieu » (1 Corinthiens 11 : 7), Adam et Eve
avaient reçu des dons à la mesure de leur haute destinée. Par leur grâce et leur équilibre,
leurs beaux traits réguliers, leur visage rayonnant de santé, de joie et d'espoir, ils
ressemblaient de toute évidence à leur Créateur. Mais cette ressemblance n'était pas
seulement physique. Chacune des facettes de leur esprit et de leur âme reflétait la gloire
de Dieu. Adam et Eve, dotés de hautes qualités intellectuelles et spirituelles, n'étaient
qu'« un peu inférieur[s] aux anges » (Hébreux 2 : 7) ; aussi pouvaient-ils non seulement
reconnaître les merveilles manifestes de l'univers, mais aussi saisir les responsabilités et
les engagements moraux qui leur incombaient. Education, p.20 ; Éducation, pp. 23, 24.

L'homme formait le couronnement de la création de Dieu, fait à la ressemblance de
Dieu, destiné à en être une image. ... Review and Herald, June 18, 1895, § 2;
Conseils sur la nutrition et les aliments, p. 52.
Dans le conseil céleste, Dieu déclara: "Faisons l'homme à notre image, selon notre
ressemblance… Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu"
(Ge 1:26b, 27ab). Le Seigneur créa les facultés morales de l'homme et ses forces
physiques. Le tout était une transcription impeccable de Lui-même. Dieu revêtit
l'homme de saints attributs et le plaça dans un jardin créé tout spécialement pour lui.
Seul le péché pouvait gâcher les êtres créés par la main du Tout-Puissant.
The Youth’s Instructor, July 20, 1899, § 1.
 
Dieu déclara : « Faisons l’homme à notre image. » Il donna à l’oeuvre de Ses mains
non seulement une forme ressemblant à la sienne, mais un esprit capable de comprendre
les choses divines. Sa compréhension, sa mémoire, son imagination – chaque faculté de
l’esprit de l’homme – réfléchissent l’image de Dieu. Dans les qualifications et le coeur
qu’il avait reçus, il avait la possibilité de recevoir des instructions célestes. Il possédait
une compréhension juste, une connaissance exacte de son Créateur, de lui-même, de son
devoir et de ses obligations vis-à-vis de la loi de Dieu. Son jugement n’était pas
corrompu ou biaisé, et disposait à l’obéissance et à l’affection, selon la raison et la
vérité. Il était en mesure de goûter les merveilleux dons de Dieu. Tout ce qu’il regardait
transportait ses sens. Tous les sons étaient comme une musique à ses oreilles.
Cependant il ne fut pas placé au-delà de la possibilité de la tentation. Il se tenait comme
le représentant de la race humaine – un agent moral libre.
The Youth’s Instructor, August 10, 1899, § 3.
 
Mardi, le 29 janvier 2013   Issus d'un même sang
 
Dieu a créé toutes les nations d’un seul sang. Cela confirme la grande vérité de la
parenté de l’humanité. Chaque individu est apparenté à son prochain par création et
rédemption. Ce fut la vérité que le Christ cherchait constamment à maintenir devant Ses
disciples et devant tous. La fête chez le pharisien donna l’occasion de présenter des
leçons concernant notre responsabilité vis-à-vis de la race humaine, et pour souligner les
devoirs auprès de notre prochain. Review and Herald, November 12, 1895, § 3 part.
L’objectif de Dieu en nous rapprochant de Lui est de nous rendre conformes à
l’image de Jésus-Christ. Tous ceux qui croient en Christ comprendront la relation
personnelle qui existe entre eux et leurs frères. Ils doivent être comme des rameaux
greffés sur le même tronc, pour obtenir leur subsistance de la racine. … Nous serons
tous sauvés par la même grâce, et, à la fin, nous entrerons tous dans le même ciel. …
La vérité telle qu'elle est en Jésus exerce une influence transformatrice dans l'esprit
de ceux qui la reçoivent. Que personne n'oublie jamais que Dieu est toujours le plus
fort, et qu'avec lui le succès couronnera assurément tout effort missionnaire. Ceux qui
ont une relation vivante avec Dieu savent que la force divine travaille à travers la
faiblesse humaine. Toutes les âmes qui coopèreront avec Dieu exerceront la justice,
l'amour compatissant, et elles marcheront humblement avec Dieu.
 
Le Seigneur est un Dieu de miséricorde, et il est attentif même aux animaux
domestiqués qu'il a créés. Quand il a accompli une guérison le jour du sabbat, et qu'on
l'a accusé de violer la loi de Dieu, il a répondu à ceux qui l'accusaient : « Est-ce que
chacun de vous, le jour du sabbat, ne détache pas de la crèche son boeuf ou son âne, pour
le mener boire ? Et cette femme, qui est une fille d'Abraham, et que Satan tenait liée
depuis dix-huit ans, ne fallait-il pas la délivrer de cette chaîne le jour du sabbat ? Tandis
qu'il parlait ainsi, tous ses adversaires étaient confus, et la foule se réjouissait de toutes
les choses glorieuses qu'il faisait ».
 
Le Seigneur pose un regard rempli de compassion sur les créatures qu'il a faites,
peu importe la race à laquelle elles peuvent appartenir. Dieu « a fait que tous les
hommes, sortis d'un seul sang, habitassent sur toute la surface de la terre, ayant
déterminé la durée des temps et les bornes de leur demeure ; il a voulu qu'ils
cherchassent le Seigneur, et qu'ils s'efforçassent de le trouver en tâtonnant, bien qu'il ne
soit pas loin de chacun de nous, car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l'être.
C'est ce qu'ont dit aussi quelques-uns de vos poètes : De lui nous sommes la race... ».
Parlant à ses disciples, le Sauveur dit : « Vous êtes tous frères ». Dieu est notre père
à tous, et chacun d'entre nous est le gardien de son frère.
Review and Herald, January 21, 1896, § 4,7; Etre semblable à Jésus, p. 145.
 
L’objectif de l’évangile est atteint lorsque ce grand principe est accompli. D’âge en
âge l’oeuvre consiste à unir les coeurs de Ses disciples dans un esprit de fraternité
universelle, en croyant à la vérité, et ainsi établissant l’ordre et l’harmonie céleste dans
la famille de Dieu sur la terre afin qu’ils soient considérés comme dignes de devenir
membres de la famille royale dans le ciel. Dieu, dans Sa sagesse et Sa miséricorde, met
à l’épreuve les hommes et les femmes ici-bas, pour voir s’ils obéiront à Sa voix et
respecteront Sa loi, ou s’ils se rebelleront comme Satan. …
 
L’objectif de Dieu en donnant la loi à la race déchue était destiné à permettre à
l’homme, par Jésus, de s’élever de son bas niveau pour arriver à être un avec Dieu, afin
que les transformations morales les plus élevées puissent avoir lieu dans sa nature et
dans son caractère. Cette transformation morale doit avoir lieu, sinon l’homme ne serait
pas un sujet fiable dans le royaume de Dieu, car il soulèverait une révolte.
Review and Herald, July 21, 1891, § 13 part, 14;
 
Mercredi, le 30 janvier 2013   Le caractère du Créateur
 
Quand Dieu a donné son Fils au monde, les hommes ont reçu la possibilité d'être
parfaits par l'emploi de chaque faculté de leur être à la gloire de leur Sauveur. En Christ,
Dieu a donné aux hommes les richesses de sa grâce et la connaissance de sa volonté.
Quand ils renoncent à eux-mêmes et apprennent à marcher dans l'humilité, s'appuyant
sur Dieu comme sur leur guide, ils accomplissent le dessein glorieux qu'il a formé pour
eux.
 
La perfection de notre caractère dépend de nos relations avec le Christ. Si nous
nous appuyons constamment sur ses mérites et si nous suivons ses traces, nous serons,
comme lui, purs et irrépréhensibles.
 
Notre Sauveur n'exige de personne des choses impossibles. Il n'attend rien de ses
disciples, sinon ce qu'ils peuvent accomplir par sa grâce. Il ne les exhorterait pas à la
à qui il veut conférer un si haut privilège....
God’s Amazing Grace, p.230 ; La puissance de la grâce, p. 231.
 
La sainteté du coeur et la pureté de la vie étaient les sujets essentiels de
l’enseignement du Christ. Dans Son sermon sur la montagne, après avoir précisé ce qui
doit être fait pour être béni, et ce qui ne doit pas être fait, il déclare : « soyez donc
parfaits comme votre Père céleste est parfait. » La perfection, la sainteté, rien de moins,
ne leur donnerait du succès dans l’accomplissement des principes qu’Il leur avait
donnés. Sans cette sainteté le coeur humain est égoïste, pécheur et vicieux. La sainteté
permettra à celui qui la possède de porter des fruits et de produire avec abondance de
bonnes oeuvres. Il ne se lassera jamais de faire le bien et ne cherchera jamais des
avancements de ce monde. Mais il tourne ses regards vers l’avancement que lui
accordera la Majesté du ciel lorsqu’Il honorera près de Son trône ceux qui sont
sanctifiés. Alors Il leur dira : « Venez, vous qui êtes bénis de mon Père. Recevez le
royaume qui a été préparé pour vous dès la fondation du monde. » Il énumèrera les
oeuvres de renoncement et de miséricorde, de compassion et de justice qu’ils ont
accomplies. La sainteté du coeur produira des actions justes. C’est le manque de
spiritualité et de sainteté qui a introduit l’injustice – l’envie, la haine, la jalousie, la
calomnie et chaque forme de péché haïssable et abominable.
Review and Herald, September 7, 1886, § 1.
 
L’apôtre nous présente la parure extérieure en opposition avec la parure intérieure
et il nous déclare ce que l'Éternel estime le plus. L'extérieur est corruptible mais l'esprit
doux et paisible, le développement d'un caractère bien équilibré ne périssent jamais.
C'est une parure qui ne se détériore pas. Aux yeux de celui qui a créé tout ce qui est
précieux, aimable et beau, cette parure vaut un grand prix.
 
Ne chercherons-nous pas à gagner ce que l'Éternel estime plus précieux que les
vêtements somptueux, les perles ou l'or? La parure intérieure, la grâce et la douceur, et
un esprit en harmonie avec les anges célestes ne diminueront pas la vraie dignité du
caractère et ne nous rendront pas moins aimables en ce monde. Le Rédempteur nous a
mis en garde contre l'orgueil de la vie, mais non contre sa grâce et sa beauté naturelles.
My Life Today, p.123 ; Avec Dieu chaque jour, p. 127.
 
Jeudi, le 31 janvier 2013   Morale et responsabilité
 
Devenir infatigable, continuer patiemment à faire le bien, exige un travail
désintéressé. C'est une oeuvre glorieuse, que le ciel regarde avec le sourire. Un travail
fidèle est mieux accepté par Dieu que le culte le plus fervent. Le véritable culte consiste
à être ouvrier avec le Christ. Les prières, l'exhortation, la parole sont de maigres fruits,
fréquemment réunis. Mais les fruits qui se manifestent par de bonnes oeuvres, dans le
soin des nécessiteux, des orphelins et des veuves, sont de véritables fruits : ils croissent
naturellement sur un bon arbre.
 
La religion pure sans tache devant le Père est la suivante: "visiter les orphelins et
les veuves dans leurs afflictions, et se préserver des souillures du monde."
(Jac. 1:27b) Les bonnes oeuvres sont le fruit que Christ demande que nous portions: des
paroles aimables, des oeuvres de bienveillance, de tendres considérations pour le pauvre,
celui qui est dans le besoin, en celui qui est affligé. Quand les coeurs sympathisent avec
les coeurs chargés de découragement et de tristesse, quand la main est ouverte vis-à-vis
de celui qui est dans le besoin, quand les personnes nues sont revêtues, l'étranger est
accueilli avec gentillesse à s'asseoir et à prendre place dans votre coeur, les anges
viennent tout près, et un refrain de ce qui se passe sur le terre trouve un écho dans le
ciel. Chaque acte de justice, de miséricorde et de bienveillance est comme une mélodie
dans le ciel. De Son trône le Père contemple ceux qui accomplissent ces actes de
miséricorde et les compte parmi ses trésors les plus précieux. "Ils m'appartiendront, dit
le Seigneur des armées, au jour où je rassemblerai mes joyaux". Chaque acte de
miséricorde accompli pour celui qui est dans le besoin, pour celui qui souffre, est
considéré comme s'il avait été fait à Jésus. Quand vous secourez le pauvre, quand vous
sympathisez avec celui qui est affligé et oppressé, et que vous êtes amical avec
l'orphelin, vous vous rapprochez de Christ en une étroite relation.
Testimonies, vol. 2, pp.24, 25.
 
Dans l’oeuvre de purification, notre désir intense d’affermir notre vocation et notre
élection, nous inspirera l’ardente intention d’aider ceux qui sont dans le besoin. La
même énergie et le même soin qui ont été apportés dans le passé pour les affaires
mondaines seront déployés au service de celui auquel nous devons tout. Nous agirons
comme Christ a agi, saisissant chaque opportunité de travailler pour ceux qui, s’ils ne
sont aidés, périront dans leur dégradation. Nous tendrons aux autres une main
secourable. Puis, avec chant, louange et reconnaissance nous nous réjouirons avec Dieu
et les anges du ciel, lorsque nous verrons des âmes autrefois rendues malades par le
péché maintenant élevées et aidées ; lorsque nous verrons ceux qui ont été trompés et
rendus mentalement malades, retrouver l’équilibre mental, et être assis aux pieds de
Jésus pour apprendre de lui. Alors que nous faisons cette oeuvre, recevant de Dieu et lui
retournant ce qu’il nous a confié pour servir à sa gloire, sa bénédiction reposera sur
nous. Alors, que les pauvres âmes découragées et affligées par le péché sachent qu’en
gardant ses commandements une grande récompense est attachée. Par notre expérience,
nous montrerons aux autres que bénédiction et service sont liés ensemble.
Testimonies, vol. 6, p. 304.
 
Dieu nous a fait confiance en faisant de nous les gestionnaires de moyens financiers
et de ses si riches grâces. Comment exprimerons-nous notre appréciation pour son soin,
son amour et sa miséricorde sans parallèles sans lui rendre avec reconnaissance nos
talents, nos moyens financiers et nos capacités, avec fidélité et intégrité? Nous ne
pouvons évidemment pas enrichir le Seigneur en lui accordant directement la moindre
faveur puisqu’Il est Celui qui accorde toute libéralité. Mais il attire notre attention sur
les pauvres, sur ceux qui souffrent et ceux qui sont oppressés, sur ceux qui sont liés à
des chaines de superstition et d’erreur Il nous assure que si nous leur faisons du bien, Il
accepte ces actions comme si elles étaient faites à Lui-même. Le Christ s’identifie à
l’humanité souffrante. « Toutes les fois que vous avez fait ces choses à l’un de ces plus
petits de mes frères, c’est à moi que vous les avez faites. »
Review and Herald, October 31, 1878, § 16.

Vendredi, le 1er février Pas de lecture complémentaire.

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