LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Monday, April 8, 2013

CETTE VIDEO PEUT ETRE MONTREE A VOS EGLISES, PARQU'ELLE EST DE PLUS EN PLUS IMPORTANTE POUR CES LECONS. SOYEZ PATIENTS ET ATTENDEZ DE COMPRENDRE TOUS LES ASPECTS ET TOUTES LES CONNECTIONS POUR APPRECIER LA PUISSANCE ET L'ATTENTION DE DIEU, A PART LES IMAGES EXTRAORDINAIRES.


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2ème trimestre 2013   LES PROPHETES MINEURES
Leçon 2

              
Amour et jugement : dilemme divin (Osée)



Sabbat après-midi, le 6 avril 2013


Les hommes s'inventent des jougs pour leur propre cou, des jougs qui semblent


faciles et agréables à porter, mais qui sont finalement extrêmement lourds. Jésus le voit


et dit: "Prenez mon joug sur vous. Le joug que vous avez placé sur votre cou, en pensant


qu'il était adéquat, ne convient pas du tout. Prenez mon joug sur vous, et apprenez de


moi les leçons essentielles; car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez du


repos pour vos âmes. Mon joug est facile et ma charge légère." Le Seigneur ne se


trompe jamais dans l'évaluation de son héritage. Il mesure les hommes avec lesquels il


travaille. Quand ils se soumettent à son joug, quand ils renoncent à une lutte stérile pour


eux et pour la cause de Dieu, ils trouvent la paix et le repos. S'ils acceptent le joug de


Christ, Dieu pourra produire en eux le vouloir et le faire, selon son bon plaisir, qui est


souvent diamétralement opposé aux plans de l'esprit humain. Quand nous recevrons


l'onction céleste, nous apprendrons les leçons d'humilité et de douceur qui apportent

toujours le repos de l'âme.


Review and Herald, October 23, 1900, § 5.




Dimanche, le 7 avril 2013,   Naïf et sans cervelle
 


L'introduction de principes qui détournaient de l'esprit de sacrifice, et favorisaient


la glorification du moi, faussait de plus en plus le plan de Dieu envers Israël. Le


Seigneur avait destiné son peuple à être la lumière du monde. Ce peuple devait faire


resplendir la gloire de sa loi, telle qu'elle se révèle dans la vie pratique. Pour exécuter


ce dessein, Dieu lui avait fait occuper une situation stratégique importante dans le


monde.


A l'époque de Salomon, le royaume d'Israël s'étendait de Hamath, au nord, jusqu'en


Egypte, au sud, et de la Méditerranée à l'Euphrate. Ce territoire était traversé par des


voies naturelles ouvertes au commerce du monde, et que des caravanes, venues des pays


lointains, empruntaient sans cesse. Ainsi était offerte à Salomon et à son peuple


l'occasion de faire connaître aux hommes de maintes contrées le caractère du Roi des


rois, et de leur enseigner à le révérer et à lui obéir. Cette connaissance devait être


donnée au monde entier. Par le symbole des offrandes sacrificielles, le Christ pouvait


être élevé aux yeux de toutes les nations, afin que tous ceux qui le désiraient fussent


sauvés.


Placé à la tête d'une nation devant servir de phare aux pays voisins, Salomon aurait


dû employer sa grande influence et la sagesse que Dieu lui avait conférée. Il aurait dû


organiser et diriger un vaste mouvement pour éclairer ceux qui ne connaissaient pas


Dieu et la vérité. Des multitudes auraient ainsi été amenées à obéir aux préceptes


divins. Israël aurait été protégé contre les pratiques dégradantes des païens, et le


Seigneur de gloire aurait été grandement honoré. Mais Salomon perdit de vue ce but


élevé ; il n'exploita pas les occasions magnifiques qui lui étaient offertes pour éclairer


ceux qui traversaient continuellement son territoire ou s'arrêtaient dans les villes


principales du royaume.


L'esprit missionnaire que Dieu avait implanté dans le coeur de Salomon et dans


celui de tout véritable Israélite fut supplanté par l'esprit de lucre…


Les ressources du roi, ainsi que celles d'un grand nombre de ses sujets,


s'accroissaient, mais à quel prix ! Par la cupidité et l'étroitesse de vue de ceux à qui


étaient confiés les oracles de Dieu, les foules innombrables qui parcouraient les voies de


passages d'Israël demeuraient dans l'ignorance du vrai Dieu.


Prophets and Kings, pp. 70–72 ; Prophètes et rois, pp. 49-51.



Les alliances des Israélites avec leurs voisins païens eurent pour résultat la perte de


leur identité comme peuple particulier de Dieu. Ils furent mêlés aux mauvaises pratiques


de ceux avec lesquels ils firent des alliances interdites. Leur association aux mondains


leur fit perdre leur premier amour et leur zèle pour le service de Dieu. Les avantages


pour lesquels ils se vendirent ne leur apportèrent que des désillusions et furent


responsables de la perte de beaucoup d’âmes.


Ce qui arriva à Israël arrivera à tous ceux qui vont dans le monde à la recherche de


pouvoir, en se séparant du Dieu vivant. Ceux qui repoussent Celui qui est puissant et


source de toute force, et s’associent avec ceux du monde pour dépendre d’eux, ont un


pouvoir moral faible comme ceux en qui ils se confient.


Dieu se présente à ceux qui commettent des fautes avec des supplications et des


promesses. Il tente de leur montrer leurs erreurs et de les amener à la repentance. Mais


s’ils refusent d’humilier leur coeur et s’efforcent de s’exalter plutôt que Lui, ce dernier


doit se manifester à eux par des châtiments. Aucune apparence de proximité de Dieu,


aucune affirmation d’unité avec Lui, ne sera acceptée de la part de ceux qui s’obstinent


à déshonorer Dieu en s’appuyant sur le bras du pouvoir du monde.


Review and Herald, August 4, 1904, § 9-11; Commentaires d’Ellen White sur Jér. 17.5.




Lundi, le 8 avril 2013,   « Une génisse dressée »
 


Le Seigneur avait fait des reproches à Israël pour leurs actions mauvaises et avait


plaidé auprès d’eux de modifier leur façon d’agir. « J’ai parlé aux prophètes, j’ai


multiplié les visions, et par les prophètes j’ai proposé des paraboles. » (Os. 12 :11) Par


les prophètes qui étaient apparu à Jéroboam devant l’autel à Béthel, par Elie et Elisée,


par Amos et Osée, Dieu avait d’une façon répétée placé devant Israël les résultats


certains de la désobéissance. Mais malgré les reproches et les supplications, Israël


tomba de plus en plus bas dans l’apostasie. Le Seigneur déclara : « Parce qu’Israël se


révolte comme une génisse indomptable, » (Os 4 :16a) « Mon peuple est enclin à


s’éloigner de moi ; » (Os. 11 :7a) …


L’iniquité qui prévalait en Israël pendant la dernière moitié du siècle avant la


captivité assyrienne était semblable à celle qui prévalait aux jours de Noé et qui a


prévalu à chaque époque lorsque les hommes ont rejeté Dieu et se sont abandonnés


entièrement au mal. L’exaltation de la nature au-dessus du Dieu de la nature, l’adoration


de la créature au lieu du Créateur, a toujours entraîné les maux les plus terribles.


Lorsque le peuple d’Israël rendit hommage aux images de Baal et d’Astarté symbolisant


les forces de la nature, - hommage qui n’était dû qu’a Dieu seul, - il rompit sa relation


avec tout ce qui élève et ennoblit et devint une proie facile à la tentation. Les défenses


de l’âme furent brisées. Les adorateurs égarés eurent plus de barrière contre le mal.


Review and Herald, January 29, 1914, § 6,9.


Méditons sur les travaux des champs : défrichage d'un terrain ingrat, assainissement


du sol, semailles laborieuses, hersage. Tel est le rude labeur du paysan. Le hersage n'est


pas toujours agréable à celui qui le subit, et, parfois, l’épuise parce qu'il est resté


insensible à la puissance de la Parole, et reste passif sous le labourage de sa vie


spirituelle. Les péchés dont on s'est rendu coupable exigent une repentance sincère


qu'on ne regrette jamais. C'est quand le sol dur est remué et lorsque les mottes de


l'obstination sont brisées sous la sévère discipline de Dieu, que la précieuse graine peut


être semée et hersée. Il arrive souvent que l'endurcissement persiste et que l'action


divine doive se poursuivre jusqu'à ce que la volonté soit soumise et qu’ainsi le but soit


atteint.


Dans le domaine spirituel comme dans celui de la nature, ce travail doit


s'accomplir. La moisson spirituelle n'est souvent obtenue qu'à la suite d'épreuves


sévères. La grande loi divine veut qu'il n'y ait pas de gerbes là où il n'y a pas eu


labourage et semailles convenables. Le Seigneur attend que nous défrichions le sol de


notre coeur, et qu'avec diligence la graine sera semée et produira les plus riches

bénédictions. That I May Know Him, p. 281; Pour mieux connaître Jésus-Christ, p. 283.



C'est la loi de Dieu qui est le joug du service. La grande loi d'amour révélée en


Eden, proclamée au Sinaï, inscrite dans les coeurs aux termes de la nouvelle alliance,


c'est elle qui lie l'ouvrier humain à la volonté de Dieu. Si nous étions abandonnés à nos


propres inclinations, libres d'aller où bon nous plaît, nous ne tarderions pas à rejoindre


les rangs de Satan et à lui emprunter ses défauts. Raison pour laquelle Dieu nous


enferme dans les limites de sa volonté juste, noble et ennoblissante.


The Desire of Ages, p. 329 ; Jésus-Christ, pp. 320, 321.




Mardi, le 9 avril 2013,   Un enfant qui fait ses premiers pas
 


En perdant de vue le vrai caractère du Très-Haut, les Israélites étaient sans excuse.


Dieu se révéla souvent à eux comme celui qui est « miséricordieux et compatissant, lent


à la colère, riche en bonté et en fidélité ». Psaume 86 :15 « Quand Israël était jeune,


déclarait-il, je l'aimais, et j'appelai mon fils hors d'Egypte ». Osée 11 :1.


Le Seigneur avait témoigné une tendresse infinie à Israël lors de sa délivrance du


joug égyptien pour le conduire vers la terre promise. « Dans toutes leurs détresses ils


n'ont pas été sans secours, et l'ange qui est devant sa face les a sauvés ; il les a lui-même


rachetés, dans son amour et sa miséricorde, et constamment il les a soutenus et portés,


aux anciens jours ». Esaïe 63 :9.


Review and Herald, March 18, 1915, § 2,3; Prophètes et rois, pp. 237, 238.



Dieu ne promet pas à Son peuple de n’avoir aucune épreuve, mais Il promet


beaucoup mieux. Il déclare : « que ta vigueur dure autant que tes jours ! » (Dt. 33 :25b)


« Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse. » (2 Co. 12 :9a)


Quand les tribulations viennent sur nous, le Seigneur ne voudrait pas que nous pensions


qu’Il nous a abandonnés ; nous sommes d’une grande valeur à Ses yeux. Il a placé sur


nous une valeur égale aux souffrances de Son cher Fils. Il déclare : « … avec une


grande affection je t’accueillerai ; dans uns instant de colère, je t’avais un moment


dérobé ma face, mais avec un amour éternel j’aurai compassion de toi, » (Es. 54 :7b) …


Quand l’épreuve vient sur nous, nombreux sont ceux qui ne se réjouissent pas.


Nombreux sont ceux qui, comme Pierre, voient les vagues en tumulte autour de lui, au


lieu de garder les yeux fixés sur Jésus. Quand nous détournons les yeux de nos


difficultés, et que nous les fixons sur Jésus notre aide, nous voyons ses charmes


incomparables. Il sait que « toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment


Dieu. » Nous n’oublions pas l’exhortation qui est prononcée en notre faveur : « Mon


fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, et ne perds pas courage lorsqu’il te


reprend ; car le Seigneur châtie celui qu’il aime, et il frappe de la verge tous ceux qu’il


reconnaît pour ses fils. Supportez le châtiment : c’est comme des fils que Dieu vous


traite ; car quel est le fils qu’un père ne châtie pas ?... Nos pères nous châtiaient pour


peu de jours, comme ils le trouvaient bon ; mais Dieu nous châtie pour notre bien, afin


que nous participions à sa sainteté. » (Hé 12 :5b-7, 10)

T
he Bible Echo, March 1, 1893, § 6, 7.



Les épreuves, les obstacles sont des moyens choisis par le Seigneur pour nous


discipliner et nous aider à réussir. Celui qui lit dans le coeur des hommes les connaît


mieux qu'eux-mêmes. Il sait que quelques-uns ont des talents qui, bien employés,


pourraient contribuer à l'avancement de son règne. Dans sa providence, il place ces


personnes dans certaines situations qui leur permettent de découvrir des défauts ignorés.


Ceci leur donne l'occasion de se corriger et de se préparer à son service. C'est souvent


pour les purifier qu'il les fait passer par l'épreuve.


Si nous sommes appelés à rencontrer des difficultés, c'est que le Seigneur voit en


nous quelques qualités précieuses qu'il veut mettre en valeur. Si rien dans notre


personne ne pouvait glorifier son nom, il ne perdrait pas son temps à nous purifier. Ce


ne sont pas les pierres sans valeur, mais le minerai précieux qu'il jette dans la fournaise.


Le forgeron met le fer et l'acier au feu pour éprouver leur résistance. De même le


Seigneur permet que ses enfants passent par l'affliction afin de leur fournir l'occasion de


montrer leur trempe et prouver qu'ils peuvent être formés pour son service.


The Ministry of Healing, p. 471; Le ministère de la guérison, pp. 406, 407.




Mercredi, le 10/04/13 La compassion plus forte que la colère



Le Christ est venu en ce monde et a présenté devant les hommes un trésor d’amour


accumulé pendant l’éternité. L’océan tout entier de l’amour divin s’écoulait du trône de


la grâce. Le Père, le Fils et le Saint-Esprit agissaient en faveur de l’homme. Chaque


puissance dans l’univers céleste a été mise en activité pour exécuter le plan de la


rédemption. La croix du Calvaire a été dressée, et, alors que nous étions encore des


pécheurs, Christ est mort pour nous. Le Juste a souffert pour l’injuste, afin qu’Il puisse


être celui qui justifie tous ceux qui croient en Lui. Il a pris la nature humaine sur Lui,


afin qu’Il puisse participer avec nous à toutes nos tentations. Il a revêtu Sa divinité avec


l’humanité, afin qu’endurant l’agonie de la croix, Il puisse être une offrande pour le


péché.


Le Christ est mort pour sauver un monde égoïste des conséquences certaines de


l’égoïsme. Il a ouvert Son coeur avec amour, pitié et sympathie pour le monde tout


entier. Il invite les êtres qui ont chuté à venir à Lui et recevoir un pardon complet et


gratuit. Son caractère se présente devant l’univers céleste libéré de la moindre trace


d’égoïsme. Il a fait un sacrifice complet pour amener aux hommes et aux femmes cette


bienveillance qui demeure dans Son propre coeur. Il a envoyé Son Saint-Esprit pour


imprégner l’esprit et le coeur, pour conduire les hommes à aimer leur prochain comme


Christ les a aimés.


La bienveillance infinie déverse tous ses trésors pour que les âmes soient sauvées


du péché, afin que l’homme puisse être uni à Dieu. Ce Dieu invite les êtres humains à


coopérer avec Lui en présentant Son grand objectif. Le Seigneur a donné à Son peuple


le privilège de présenter sur la terre l’oeuvre qu’Il avait accomplie lorsqu’Il y était. Il


nous invite à coopérer avec Lui pour réhabiliter et sauver notre prochain. Le Christ


désire, par la plénitude de Sa puissance, affermir Son église afin que le monde entier

soit encerclé d’une atmosphère de grâce. Review and Herald, January 7, 1902, § 7-9.



Ce n'est pas parce que nous l'avons aimé le premier que le Christ nous accorde son


amour. Il est mort pour nous, alors que nous étions encore des pécheurs. Au lieu de nous


traiter comme nous le méritions et de nous condamner, il supporte inlassablement notre


faiblesse et notre ignorance, notre ingratitude et notre obstination. Malgré nos erreurs,


la dureté de notre coeur et notre négligence envers sa Parole, sa main secourable nous est


toujours tendue.


A quel prix infini pour le Père et pour le Fils furent les merveilleuses dispositions


pleines de miséricorde pour accomplir notre rédemption ! Le Christ est descendu de Sa


condition élevée en tant que Commandant des cours célestes ; et mettant de côté Son


vêtement royal et Sa couronne de roi, Il revêtit Sa divinité de l’humanité, et vint sur


cette terre, afin qu’Il puisse demeurer avec nous et donner aux hommes et aux femmes


la grâce de vaincre comme Lui a vaincu. La désobéissance d’Adam, en accordant foi


aux mensonges de Satan, a coûté la vie du Fils de Dieu ; mais malgré le coût immense


et incommensurable, l’amour et la bonté de Dieu brillent encore d’une façon plus


lumineuse qu’avant la première création. « Là où le péché a abondé, la grâce a


surabondé. »


Par Jésus-Christ, le Dieu du ciel ne cesse de tendre la main à ceux qui sont tombés.


Il veut les recevoir tous. Il les accueille avec bonté. Sa gloire est de pardonner aux plus


grands pécheurs. Il ravit au puissant sa proie, il délivre le captif, il arrache au feu le


brandon qui fume encore. La chaîne d'or de sa grâce plonge au fond du gouffre de la


misère humaine et en retire l'âme avilie par le péché.


Tout être humain est l'objet de l'amour de celui qui donna sa vie pour le ramener à


Dieu. Tel un berger qui prend soin de son troupeau, il entoure de sa sollicitude les âmes


coupables, exposées à la mort par les séductions sataniques.


Signs of the Times, August 12, 1908, § 2-5.




Jeudi, le 11 avril 2013,  Guéri, aimé, nourri



Très souvent le Seigneur a parlé à son peuple pour le mettre en garde et lui donner


des avertissements. Il s'est révélé lui-même avec miséricorde, amour et bonté. Il n'a pas


laissé son peuple apostat livré à la volonté de l'ennemi. Il a eu pendant longtemps de la


patience avec lui, même pendant son apostasie obstinée. Mais après que les exhortations


aient été vaines, il a préparé la verge du châtiment. Quel amour compatissant il a eu


pour son peuple! Le Seigneur aurait pu détruire dans leurs péchés ceux qui s'opposaient


à Lui, mais Il n'a pas agi de cette façon. Sa main est encore étendue. Nous avons raison


de remercier Dieu parce qu'Il n'a pas retiré son Esprit de ceux qui ont refusé de suivre sa

voie.


Ellen G. White Comments, SDA Bible Commentary, vol. 3, p. 1132 ;

Commentaires d’Ellen White sur 2 Chroniques 33 :9-13.



L’obéissance à la précieuse Parole de Dieu apporte la beauté de la sainteté. Cette


Parole, que cela soit dans le Nouveau ou dans l’Ancien Testament, ne peut être changée


pour être mise au niveau de l’homme dans sa condition déchue. Elle maintient toujours


son niveau élevé et saint, en déclarant « Fais ceci, et tu vivras. » Tous les êtres humains


ont besoin qu’un critère lui soit présenté ; et cet idéal est pleinement révélé dans la


Parole de Dieu, qui est l’expression de Sa volonté. Cette Parole révèle à l’homme ses


défauts de caractère et la situation désespérée de sa condition s’il ne retourne pas à sa


loyauté vis-à-vis de Dieu. Par la foi en Christ, on peut atteindre la plénitude de


l’excellence. La Parole de Dieu s’attend à une obéissance à la loi, présentant le caractère


de Christ en contraste avec le caractère de l’homme.


Review and Herald, October 17, 1899, § 5.



Les jours de Noé, nous dit le Christ, furent semblables aux jours précédant Sa


venue dans les nuées du ciel. Les jours de Noé préfigurent l’époque actuelle. Le


Rédempteur du monde, qui connaissait au mieux l’histoire du passé, est le vrai prophète


des personnalités de l’avenir. La nature humaine aux jours de Noé qui n’était pas


influencée par le Saint-Esprit est la même à notre époque. Jésus, dans Ses assertions et


Ses déclarations, reconnaît la Genèse comme parole inspirée. Nombreux sont ceux qui


admettent que le Nouveau Testament est divin, et n’ont pas de considération spéciale


pour les Ecritures de l’Ancien Testament ; mais ces deux grands livres ne peuvent être


séparés l’un de l’autre. Les apôtres inspirés qui ont écrit le Nouveau Testament


ramènent continuellement l’esprit de ceux qui sondent les Ecritures à l’Ancien


Testament. Le Christ invite l’esprit de toutes les générations présentes à consulter


l’Ancien Testament. Il fait référence à Noé comme étant une personne qui a


littéralement vécu. Il fait référence au déluge comme étant un fait de l’histoire ; Il


montre les particularités spécifiques de cette génération comme étant caractéristiques de


notre époque. La Vérité et la Vie a anticipé les questions et les doutes des hommes


concernant l’Ancien Testament en le déclarant divin.


Signs of the Times, December 20, 1877, § 8.




Vendredi, le 12 avril 2013


 Pas de lecture complémentaire.


 

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