LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Monday, March 11, 2013

1er trimestre 2013            LES ORIGINES

Les commentatires d'Ellen G. White, avec sous-titres pour chaque jour.

From http://www.adventverlag.ch/egw/f/2013/1trimestre/Lecon_11_1_2013.pdf
http://www.adventverlag.ch/egw/f/complements2013.html

11_ Le Sabbat, don de l'Éden

Sabbat après-midi, le 9 mars 2013
 

Si Dieu retirait sa main un seul instant, l'homme languirait et mourrait. L'homme a,

lui aussi, une oeuvre à accomplir en ce jour. La vie a des besoins qui réclament notre

attention ; les malades doivent être soignés ; les nécessiteux doivent être secourus.

Celui-là ne sera pas exaucé qui néglige de soulager la souffrance le jour du sabbat. Le

saint jour de repos de Dieu a été fait pour l'homme, les actes de miséricorde s'accordent

parfaitement avec cette intention. Dieu ne veut pas qu'une seule heure de douleur afflige

ses créatures qui pourraient être soulagées un jour de sabbat ou tout autre jour.

On attend davantage de Dieu le jour du sabbat que les autres jours. En effet, son

peuple abandonne ses travaux habituels pour consacrer son temps à la méditation et au

culte. On demande à Dieu des grâces plus abondantes que les autres jours. On sollicite

plus particulièrement son attention. On réclame les bénédictions les plus précieuses. Et

Dieu n'attend pas que le sabbat soit passé pour accorder ces faveurs. L'activité du ciel

est incessante, et les hommes ne devraient jamais cesser de faire du bien. Le sabbat ne

doit pas être un temps d'oisiveté. La loi défend tout travail séculier ayant pour but le

gagne-pain; tout travail destiné à procurer plaisir ou profit est interdit par la loi ce jourlà.

Tout comme Dieu a cessé de créer, s'est reposé le sabbat et l'a béni, l'homme doit

renoncer à ses occupations habituelles et consacrer ces heures sacrées à un repos

salutaire, au culte, à de bonnes actions. En guérissant un malade, le Christ était en

accord parfait avec la loi. Il honorait le sabbat.
 

The Desire of Ages, p. 207; Jésus-Christ, p. 190.





Dim. 10/03/13 La création et le repos du septième jour
L’observation du sabbat est une ligne de démarcation entre celui qui sert Dieu et

celui qui ne Le sert pas. C’est le grand mémorial de Dieu du fait qu’en six jours Il créa

les cieux et la terre et le septième jour Il se reposa et goûta ce moment. C’est Son

mémorial, afin de préserver parmi les nations une connaissance claire, définie,

incontestable du seul vrai Dieu, une évidence qu’Il est un Dieu au-dessus de tous les

dieux. Pour cette raison Il mit à part le jour où Il se reposa après avoir créé le monde, un

jour où aucune oeuvre habituelle ne devrait être faite. Dieu a donné aux hommes six

jours dans la semaine pendant lesquels ils travaillent et font tout leur ouvrage ; le seul

jour pendant lequel Il se reposa après avoir créé le monde et toutes les choses qui s’y

trouvent, devait être Son propre saint jour. Un jour lorsque l’homme devrait L’adorer,

Lui, le Créateur des cieux et de la terre. Cette portion de temps est particulièrement mise

à part pour le repos et pour l’adoration, afin que les hommes puissent contempler les

cieux et la terre et honorer, adorer, louer, et exalter le Dieu qui a créé toutes choses par
 

Jésus-Christ. Manuscript Releases, vol. 5, p. 85.




Comme le jour du repos, la semaine remonte à la création du monde. Elle nous a été

transmise intacte à travers toute l'histoire biblique. C'est Dieu lui-même qui a fixé la

longueur de la première semaine et en a fait le modèle de toutes celles qui devaient

suivre jusqu'à la fin des temps. Elle se composait de sept jours ordinaires. Après avoir

consacré six jours à l'oeuvre de la création, Dieu s'est reposé le septième, puis il l'a béni

et mis à part comme jour de repos à l'usage de l'homme.

Dans la loi donnée au Sinaï, Dieu a confirmé la semaine et les faits sur lesquels elle

repose. Le quatrième commandement débute par un ordre donné à l'homme:

« Souviens-toi du jour du repos pour le sanctifier ». Puis viennent des dispositions

précisant ce qui pourra être fait durant les six premiers jours de la semaine, et ce qui

sera prohibé au septième. Enfin, citant son propre exemple, Dieu donne les raisons de

cet emploi de la semaine: « Car l'Eternel a fait en six jours les cieux, la terre, la mer et

tout ce qui y est contenu, et il s'est reposé le septième jour. C'est pourquoi l'Eternel a

béni le jour du repos et l'a sanctifié ». Ce motif paraît à la fois admirable et frappant, si

l'on considère les jours de la création comme des jours littéraux. Les six premiers de

chaque semaine sont destinés au travail de l'homme, et cela pour la raison que Dieu a

consacré une proportion identique de la première semaine à l'oeuvre de la création. De

même, au septième jour, l'homme doit s'abstenir de tout travail en souvenir et en

commémoration du repos du Créateur.
 

Christian Education, p. 190 ; Patriarches et prophètes, p. 87.




Dieu fit le monde en sept jours littéraux, et le septième jour littéral Il se reposa de

toute Son oeuvre qu'Il avait faite, Il fit une pause. Il donna ainsi à l'homme six jours pour

travailler, mais Il sanctifia le jour où Il se reposa, et le donna à l'homme pour qu'il

l'observe, pour qu'il le conserve libre de tout travail séculaire. En mettant ainsi à part le

Sabbat, Dieu donna au monde un monument commémoratif. Il n'a pas mis à part

n'importe quel jour des sept, mais un jour spécifique, le septième jour. Et en observant

le Sabbat, nous montrons que nous Le reconnaissons comme Dieu vivant, Créateur des

cieux et de la terre.

Il n'y a rien dans le Sabbat qui restreigne son observation à une classe particulière

de personnes. Il a été donné au genre humain. Il doit être employé non pour l'indolence

mais pour la contemplation des oeuvres de Dieu. C'est ce que les hommes devraient faire

pour qu'ils "sachent que Je suis l'Eternel qui les sanctifie".
 

Testimonies to Ministers, pp. 136, 137 ; Témoignages pour les pasteurs, p.62.





Lun. 11/03/13 La richesse de la signification du repos du sabbat
Le Sabbat sera un sujet de délices pour tous ceux qui le reçoivent comme un signe

du pouvoir créateur et rédempteur du Christ. Voyant le Christ dans cette institution, ils

font de lui leurs délices. Le Sabbat leur fait voir dans les oeuvres de la création une

preuve de Son infinie puissance rédemptrice. Tout en évoquant le souvenir de la paix

perdue de l'Éden, il fait penser à la paix retrouvée par le moyen du Sauveur. Ainsi tout

ce qui est dans la nature répète Son invitation : "Venez à Moi, vous tous qui êtes

fatigués et chargés, et Je vous donnerai du repos." (Matt. 11.28)

Le Sabbat est une agrafe d'or qui unit Dieu et Son peuple.
 

Maranatha, p. 244 ; Jésus-Christ, pp. 276, 277.




Comme le sabbat était le signe caractéristique d'Israël lorsqu'il sortit d'Egypte pour

entrer dans la Canaan terrestre, de même ce jour est le signe distinctif du peuple de Dieu

au moment où il se dispose à entrer dans la Canaan céleste. Il indique les liens de
 
parenté qui unissent le Seigneur et son peuple ; par lui on reconnaît que celui-ci honore

sa loi. Il distingue ses fidèles sujets de ceux qui transgressent ses commandements.

De l’intérieur de la nuée [couvrant la montagne] le Christ déclara : « Surtout, vous

observerez mes sabbats : ce sera un signe entre moi et vous, dans toutes vos générations,

afin qu'on sache que c'est moi, le SEIGNEUR (YHWH), qui vous rend saints. »

Exode 31 :13.

Le sabbat, qui fut donné à l'origine pour rappeler à l'homme que Dieu est le

Créateur, lui rappelle aussi qu'il est Celui qui le sanctifie. La puissance qui créa toutes

choses est la même qui recrée l'âme à Son Image. Pour ceux qui l'observent, le sabbat

est donc encore un signe de sanctification. S'ils sont réellement sanctifiés, ils rentrent

dans l'harmonie divine, leur caractère est semblable à celui de Dieu. La sanctification

est communiquée par la soumission aux principes qui sont l'expression du caractère

divin. Le sabbat est par conséquent le signe de l'obéissance. Celui qui observe de tout

son coeur le quatrième commandement obéira à toute la loi. Il est sanctifié par
 

l'obéissance. Testimonies, vol. 6, pp. 349, 350.




« Le SEIGNEUR dit à Moïse : Toi, dis aux Israélites : Surtout, vous observerez

mes sabbats : ce sera un signe entre moi et vous, dans toutes vos générations, afin qu'on

sache que c'est moi, le SEIGNEUR (YHWH), qui vous rend saints. » « Ce sera entre

moi et les Israélites un signe pour toujours. » Exode 31 : 12, 13, 17a

Dieu a donné le sabbat à Son peuple pour être un signe continu de Son amour et de

Sa miséricorde, d’une part, et de leur obéissance, d’autre part. En se reposant et se

restaurant ce jour-là, Il désire de même que Son peuple se repose et se restaure. Ce

devait être un rappel constant pour eux qu’ils étaient inclus dans Son alliance de grâce.

A travers vos générations, déclara-t-Il, le sabbat doit être mon signe, mon engagement

vis-à-vis de vous, que Je suis le Seigneur qui vous sanctifie, que Je vous ai choisis et

que Je vous ai mis à part comme un peuple particulier. En sanctifiant le sabbat, vous

donnerez le témoignage aux nations de la terre que vous êtes Mon peuple élu.
 

Review and Herald, October 28, 1902, § 2, 3.





Mardi, le 12 mars 2013   Jésus et le sabbat
Jésus désirait corriger les faux enseignements des Juifs concernant le sabbat et aussi

impressionner les disciples avec le fait que les oeuvres de miséricorde étaient légales ce

jour-là. En ce qui concerne la guérison de la main sèche, Il alla à l’encontre de la

coutume des Juifs, et considéra le quatrième commandement comme étant respecté tel

que Dieu l’avait donné au monde. Par cet acte Il mit en valeur le sabbat, rejetant les

restrictions absurdes qui l’encombraient. Son acte de miséricorde honora ce jour, alors

que ceux qui se plaignaient, par leurs nombreux rites et cérémonies inutiles,

déshonoraient eux-mêmes le sabbat.
 

Redemption: or the Teachings of Christ, the Anointed One, p. 51.




Une controverse maintenant eut lieu en ce qui concerne les vraies exigences de la

loi du sabbat. Jésus avait intentionnellement choisi le jour du sabbat pour accomplir le

miracle à la piscine. Il aurait pu guérir le malade tout aussi bien à n’importe quel autre

jour de la semaine ; de même Il aurait pu simplement le guérir, et éviter d’éveiller

l’indignation des Juifs, en lui demandant de prendre son lit et de partir. Mais un objectif

sage est à la base de chaque acte de la vie de Christ sur terre ; tous ceux qu’Il fit étaient

importants en eux-mêmes, ainsi que Ses enseignements. Il est venu pour valoriser la loi

de Son Père et la rendre honorable. Le sabbat, au lieu d’être la bénédiction qu’il était

destiné à être, était devenu une malédiction du fait d’exigences ajoutées par les Juifs.

Jésus désirait le débarrasser de ses encombrements et le rétablir dans sa propre sainte

dignité.

C’est là la raison pour laquelle Il choisit le sabbat pour cette oeuvre particulière. Il

choisit le pire cas parmi ceux qui étaient affligés à la piscine de Bethesda afin d’exercer

Sa puissance miraculeuse de guérison. Et en lui demandant de porter son lit à travers la

ville il publiait la grande oeuvre qui avait été accomplie en sa faveur. Ainsi l’attention du

peuple fut attirée sur son cas, et sur Celui par lequel il avait été accompli. Ceci

susciterait la question de ce qu’il était légal de faire le jour du sabbat, de dénoncer les

préjugés et les restrictions étroites des Juifs en ce qui concerne le jour du Seigneur, et de

mettre en évidence leurs bigoteries et leurs vaines traditions.

Jésus leur déclara que l’oeuvre de soulager les souffrances de ceux qui en étaient

affligés était en harmonie avec la loi du sabbat, que ce soit en relation avec le salut des

âmes ou le soulagement de peine physique. Une telle oeuvre était en harmonie avec celle

des anges de Dieu qui montaient et descendaient constamment entre les cieux et la terre

afin d’accomplir un ministère pour l’humanité souffrante. Jésus répondit aux

accusations en déclarant : « Mon Père agit, et j’agis de même. » Tous les jours, au cours

desquels peuvent être accomplis Ses grands projets pour la race humaine appartiennent

à Dieu. Si l’interprétation juive de la loi était correcte, Jéhovah serait en défaut, Lui dont

la parole avait soutenu et entretenu la création depuis qu’elle avait été établie à la

fondation de la terre, quand les étoiles du matin chantaient ensemble, et tous les fils de

Dieu s’exclamaient en cris de joie. Celui qui prononça Son oeuvre comme étant bonne,

et établit l’institution du sabbat pour commémorer son achèvement, doit marquer un

point d’arrêt dans Son oeuvre et arrêter le cycle sans fin de l’univers. …

Certainement dans un tel cas l’homme n’obtiendrait pas le fruit de la terre et les

bénédictions qui rendent la vie désirable. La nature doit continuer son cours sans

variation ; Dieu ne doit pas arrêter Sa main un seul moment, ou l’homme défaillirait et

mourrait. Dans la même proportion, l’homme doit accomplir un travail ce jour-là. Les

nécessités de la vie doivent être satisfaites. On doit prendre soin du malade, répondre

aux besoins de ceux qui sont nécessiteux. Dieu ne considère pas comme innocent celui

qui ne soulage pas la souffrance le jour du sabbat. Le saint sabbat a été fait pour

l’homme, et des actes de miséricorde et de bienveillance sont toujours pleinement

appropriés ce jour-là. Dieu ne désire pas que Ses créatures souffrent une seule heure au

cours de laquelle elles pourraient être soulagées le sabbat, ou n’importe quel autre jour.
 

Brochure: Redemption: or the Miracles of Christ, the Mighty One, pp. 24–27.





Mercredi, le 13 mars 2013   Le sabbat et les temps de la fin
Etre bon et faire le bien – voilà quelle est notre part. Le coeur doit être en règle avec

Dieu. Les affections doivent Lui être consacrées. Au monde, aux anges et aux hommes

nous sommes un spectacle des résultats bénis d’être au service de Dieu, de se conformer

à Sa volonté, et de porter Son signe, démontré par l’observation du sabbat du septième

jour. La révérence que nous montrons pour ce jour est le signe que nous acceptons
 
Jéhovah comme notre Dieu.

Garder le sabbat du septième jour doit être le grand test de ces derniers jours. C’est

par cela que doit être tirée la ligne de démarcation entre celui qui sert Dieu et celui qui

ne Le sert pas. En gardant ce jour sacré nous reconnaissons devant l’univers que nous

adorons Celui dont la puissance a créé le monde. Nous reconnaissons aussi que la vie se

manifeste dans l’obéissance.

La vie spirituelle signifie pleine obéissance à Dieu. Celui qui a cette vie possède

une connaissance des choses célestes, et avec cette connaissance vient une sanctification

continuelle venant de Dieu. L’être tout entier est conforme à Sa volonté. Chacun a la

capacité de recevoir toujours davantage. Il existe un désir toujours plus grand d’obtenir

la connaissance qui vient de Dieu. Les progrès intellectuels en seront certainement le

résultat. Le développement de nos connaissances de la Bible correspond au fait de

manger les feuilles de l’arbre de vie. Les devoirs et les privilèges sont perçus comme le

régal le plus fin. Alors vient une connaissance expérimentale de l’amour de Dieu qui

pardonne. Vient alors la paix et la pureté, le conflit et la victoire. Le coeur est rempli
 
d’amour pour Dieu et pour l’homme. Manuscript Releases, vol. 12, pp. 214, 215.



Dans la lutte qui sera livrée dans les derniers jours, s'uniront contre le peuple de

Dieu tous les pouvoirs corrompus qui ont renié l'allégeance à la loi éternelle du

Seigneur. Dans cette guerre, le Sabbat, jour de repos du quatrième commandement, sera

l'objet principal de la controverse, car, dans le quatrième commandement, le grand

Législateur s'identifie lui-même comme le Créateur des cieux et de la terre.
 
Manuscript Releases, vol. 19, p. 243; Evénements des derniers jours, p. 128.



Si les hommes et les femmes reconnaissaient le vrai sabbat, ils ne mépriseraient pas

la Parole de Dieu, comme ils le font à présent. L'observation du septième jour les lierait

à leur Créateur par une chaîne d'or. Mais le commandement qui souligne qui est le seul

vrai Dieu - le Créateur et le Seigneur de la Terre - est déshonoré et dédaigné. C'est la

raison pour laquelle le monde est aussi instable. Les églises ont refusé le signe que Dieu

a donné et elles se font une représentation faussée de son caractère. Elles ont dénigré le

jour de repos sacré de Dieu, établissant un faux sabbat à sa place. Oh, si les hommes et

les femmes cessaient de se fermer les portes du ciel par leur propre perversion.
 
Manuscript Releases, vol. 5, p. 82; Etre semblable à Jésus, p.143.




Jeudi, le 14 mars 2013   Un psaume sur le sabbat
L’amour de Dieu a établi une limite aux exigences du travail. En Son jour

particulier Il préserve pour la famille l’occasion de communion avec Lui, avec la nature

et les uns avec les autres.

Le sabbat et la famille furent institués en même temps en Eden, et dans le plan de

Dieu ils sont liés indissolublement. A ce jour, plus qu’en n’importe quel autre, il nous

est possible de vivre la vie d’Eden. Ce fut le plan de Dieu pour les membres de la

famille de s’associer dans le travail et dans l’étude, dans l’adoration et dans la

récréation.

Le saint jour de repos de Dieu fut fait pour l’homme, et les actes de miséricorde

sont en parfaite harmonie avec Son plan.

Soulager les affliger, réconforter ceux qui sont dans la peine est une oeuvre d’amour

qui honore vraiment le saint jour de Dieu.

Du fait que le sabbat est le mémorial de la puissance créatrice, c’est le jour

particulier au cours duquel nous devrions nous familiariser avec Dieu dans Ses oeuvres.
 
The Faith I Live By, p. 36.



Pendant toute la semaine, ne perdez pas de vue le saint sabbat de l'Éternel car ce

jour doit être consacré au service de Dieu. C'est le jour où les mains doivent se reposer

de toutes les activités terrestres et où les besoins de l'âme doivent être satisfaits d'une
 
façon spéciale. My Life Today, p. 287; Avec Dieu chaque jour, p. 291.



Pour garder au sabbat son caractère de jour sanctifié, il n'est pas nécessaire de

s'enfermer entre quatre murs, loin de la beauté de la nature, privé du grand air vivifiant.

Nous ne devons en aucun cas permettre à nos affaires quotidiennes, à nos soucis, de

distraire nos esprits pendant le jour que le Seigneur a sanctifié. Il ne faut pas que nos

pensées s'arrêtent sur des sujets de caractère mondain. Mais nos âmes ne peuvent être

restaurées et vivifiées si nous restons confinés pendant toute la journée du sabbat dans

une pièce à écouter de longs sermons et des prières formalistes et fastidieuses. C'est

faire mauvais usage du sabbat de 1'Eternel que de le célébrer ainsi, et de ne pas atteindre

l'objet pour lequel il a été institué. Le sabbat a été fait pour l'homme, pour lui être en

bénédiction en détournant son esprit du travail séculier et en le dirigeant vers la

contemplation de la bonté et de la gloire de Dieu. Il est nécessaire que le peuple de Dieu

s'assemble pour parler de son Créateur, pour échanger ses idées à propos des vérités

contenues dans la sainte Parole et pour consacrer quelque temps à la prière. Mais ces

réunions, même le jour du sabbat, ne devraient pas être rendues fastidieuses par leur

longueur et leur manque d'intérêt.
 
Testimonies, vol. 2, p. 583; Témoignages, vol. I, pp.316, 317.



Dieu a donné à l'homme six jours pour travailler à ses propres affaires, mais il s'est

réservé un jour pendant lequel il désire qu'on l'honore tout particulièrement. Son autorité

doit être respectée. Cependant, l'homme dérobe Dieu en volant un peu du temps que le

Créateur s'est réservé. Le Seigneur a mis à part le septième jour pour le repos de

l'homme, pour son bien tout autant que pour sa gloire. Il sait que l'homme a besoin d'un

jour pour se reposer de son labeur et de ses soucis, sinon les tracas des six jours

ouvrables mettraient en danger sa santé et sa vie.
 
Testimonies, vol. 1, pp. 532, 533; Témoignages, vol. I, p. 196.




Vendredi, le 15 mars 2013
 
 
Pas de lecture complémentaire.

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