ESAIE 8:20 "A LA LOI ET AU TEMOIGNAGE, SI ON NE PARLE PAS AINSI, IL N'Y AURA POINT D'AURORE POUR LE PEUPLE." Applications et Temoignages Pour Partager avec Vos Amis de l'ECOLE DU SABBAT ANNEXE: Commentaires et/ou resumes des lecons de l'Ecole du Sabbat. TOUTES LES DIFFERENTES VERSIONS. ALLEZ SUR www.ssnet.org, CLIQUEZ SUR ADULT SS ET GLISSEZ LA SOURIS TOUT EN BAS POUR LES VERSIONS EN D'AUTRES LANGUES. VERSETS DE www.biblegateway.com. SOYEZ BENIS!!!
LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT
APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!
Monday, May 3, 2010
FOI ET GUERISON
Voici le Pasteur Doug Batchelor de http://www.amazingfacts.org avec l'Eglise de Sacramento, California
Cliquer sur le lien qui suit pour un video de la lecon de l'Ecole du Sabbat presentee par le Dr. Derek Morris de l'eglise de Lake Forest
http://media.forestlakechurch.org/content/media/2010q205-08-faith-and-healing
ALLEZ EN HAUT SUR VOTRE MENU BAR ET CLIQUEZ SUR "VIEW" ET ENSUITE SUR ZOOM IN + AUTANT DE FOIS NECESSAIRES POUR ELARGIR TOUTE LA PAGE AFIN QUE VOUS PUISSIEZ LIRE DANS LE PDF TRES FACILEMENT OU VOUS POUVEZ AUSSI ELARGIR LES FONTES DIRECTEMENT EN CHOISISSANT LE POURCENTAGE INCLUS. AINSI AUREZ-VOUS UNE VUE D'OISEAU SUR TOUTES LES PERSPECTIVES. MERCI.
www.cqbiblestudy.org
Vous pouvez etudier la lecon de l'ecole du sabbat EN PDF en cliquant sur le lien qui suit:
http://www.troisanges.com/EDS/2010-2/EDS2010-2.pdf
Foi et guérison
« À celui qui est ferme dans ses dispositions,
tu assures une paix parfaite, parce qu’il se confie en toi. »
(Ésaïe 26.3, SEM)
Grande foi et guérison authentique
Dwayne Dharma Ricky, Jakarta, Indonésie
Sabbat INTRODUCTION
Mt 15.21-28 ; Jn 15.7 ; 1 Jn 3.22
Matthieu 15.21-28 raconte une histoire
merveilleuse sur le rôle de la foi dans la guérison
: « Jésus partit de là et se retira dans
le territoire de Tyr et de Sidon. Une femme
cananéenne qui venait de ces contrées, lui
cria : Aie pitié de moi, Seigneur, Fils de
David. Ma fille est cruellement tourmentée
par le démon. Il ne lui répondit pas un
mot ; ses disciples s’approchèrent et lui
demandèrent : Renvoie-la, car elle crie derrière
nous. Il répondit : Je n’ai été envoyé
qu’aux brebis perdues de lamaison d’Israël.
« Elle était venue animée d’une
sorte de superstition, de celle
qui nous anime quand on va
voir un magicien quelconque. »
Mais elle vint se prosterner devant lui en
disant : Seigneur, viens à mon secours. Il
répondit : Il n’est pas bien de prendre le
pain des enfants, et de le jeter aux petits
chiens. Oui, Seigneur, dit-elle, pourtant
les petits chiens mangent les miettes qui
tombent de la table de leurs maîtres. Alors
Jésus lui dit : Ô femme, ta foi est grande,
qu’il te soit fait comme tu le veux. Et, à
l’heure même, sa fille fut guérie. » (SER)
« Cette femme avait la foi. (a) Et sa foi
a grandi grâce à sa rencontre avec Jésus.
Elle a commencé par l’appeler Fils de David ;
c’était un titre populaire, politique. Ce titre
définissait Jésus comme un grand et puissant
maître, mais seulement en termes de
puissance et de gloire terrestres. Elle était
venue demander une faveur à un individu
qu’elle prenait pour un grand et puissant
homme. Elle était venue animée d’une sorte
de superstition, de celle qui nous anime
quand on va voir un magicien quelconque.
Elle a pourtant fini par appeler Jésus Seigneur*.»
La foi authentique s’appuie sur les promesses
de la Parole de Dieu. Seuls ceux
qui obéissent à sa Parole peuvent s’attendre
à ses glorieuses promesses. Lisez Jean 15.7
et 1 Jn 3.22.
Tout comme la femme a obtenu une
vraie guérison pour sa fille comme pour
elle-même, nous serons aussi guéris si nous
nous engageons de coeur et d’esprit envers
Dieu. Cette semaine, notre étude portera
sur l’influence puissante de notre esprit sur
notre corps.
BRAINSTORMING
William Barclay dit que la foi de la femme
a grandi au fur et à mesure qu’elle parlait
avec Jésus. Comment cela est-il possible,
puisque qu’il s’agissait de sa toute première
rencontre avec lui ?
____________
* William Barclay, The Gospel of Matthew, vol. 2, Philadelphie,
Pennsylvania, Westminster Press, p. 123.
Rien à craindre
Jill Manoukian, Avon, Indiana, États-Unis
Dimanche IL EST ÉCRIT
Gn 3.8-10 ; Ps 118.6 ; Pr 17.22 ;
Mt 6.27-34 ; He 13.6 ; 1 Jn 4.18
La racine de toutes les maladies
(Gn 3.8-10)
La chute d’Adam et Ève creusa un
gouffre entre l’humanité et Dieu, la source
de toute vie. Désormais, la race humaine
était vouée à l’autodestruction. Adam et
Ève devinrent sujets à la maladie. Auparavantmodérés,
ils devinrent enclins auxmauvaises
habitudes. Leur vêtement de lumière
disparut. Dans sa honte, le couple physiquement
parfait se cacha pour échapper
au regard du Créateur de l’univers.
Et pourtant, celui dont ils se cachaient
était le seul qui pouvait réparer les dommages
provoqués par quelques instants d’égoïsme.
Dieu n’a pas promis d’écarter toute maladie
ou blessure de notre chemin ; toutefois,
il a fait le serment de l’éradiquer complètement
un jour. L’oeuvre du Christ sur
terre atteste son désir de nous guérir physiquement
et spirituellement.
Genèse 3 et le ministère du Christ
révèlent la relation étroite existant entre le
corps et l’esprit. À peine Adam et Ève
eurent-ils péché qu’ils commencèrent à en
subir les conséquences. Nous nous attendons
à lamort. Pourtant, la douleur provoquée
par la perte d’un bien-aimé indique
combien la mort n’est pas une chose naturelle.
Elle n’a jamais fait partie du plan originel
de Dieu. Notre vie spirituelle, notre
relation avec Dieu sont intimement liées à
notre bien-être physique. On ne peut les
séparer.
Mettre notre confiance en Dieu
(Ps 118.6 ; Mt 6.27-34 ; He 13.6)
Le verset 6 du psaume 118 nous assure
que Dieu est de notre côté. Il n’y a pas lieu
d’avoir peur, parce que nous avons cette
assurance que Dieu est avec nous quand
nous mettons notre foi en lui. Il nous
écoute quand nous l’appelons. Il est là
lorsque nous faisons face aux circonstances
les plus éprouvantes.
Le stress et l’anxiété sont depuis longtemps
reliés à l’hypertension artérielle, aux
problèmes cardiaques, à l’insomnie, à la
dépression, aux crises d’anxiété et à toute
une kyrielle de maux. Ici-bas, les sujets
d’inquiétude ne manquent pas : emploi
stable, santé, suffisance de nourriture et de
vêtements, éducation personnelle et celle
de nos enfants, relations humaines… La
liste s’allonge, semble-t-il, à l’infini. Pourtant,
Christ nous conseille de ne pas nous
inquiéter du lendemain, ni même de nos
besoins fondamentaux (Mt 6.27-30). Pourquoi
? Parce que Dieu tient le gouvernail.
En mettant notre confiance en celui qui
connaît l’avenir, nous aurons le repos et la
paix. La paix de l’esprit nous remplit d’énergie
physique et spirituelle. Nous pouvons
nous fier totalement à la sagesse du Seigneur
(He 13.6).
Des coeurs joyeux (Pr 17.22)
Le rire possède des vertus curatrices.
Ainsi, certains hôpitaux embauchent des
comédiens pour faire rire les patients. Il est
impossible de faire vraiment l’expérience
de la joie sans la présence de ceux que
nous aimons et qui nous aiment. La
que procure la camaraderie peut nous
amener à faire l’expérience d’une guérison
provenant du partage de notre foi avec les
autres, et de nos liens avec eux. Cette guérison
peut se manifester sous forme d’une
diminution de la tension artérielle et d’un
meilleur système immunitaire. Même des
tumeurs ont rétréci en présence de la joie.
Mais il y a plus : la joie, à travers la camaraderie,
guérit les blessures émotionnelles
et spirituelles qui provoquent tant d’agonie1.
Certains hôpitaux
embauchent des comédiens
pour faire rire les patients.
Rien à craindre (1 Jn 4.18)
La peur résulte du péché. C’est pourquoi
Adam et Ève se sont cachés de Dieu
dans le jardin d’Éden (Gn 3.8-10). En tant
qu’humains, nous permettons souvent à la
peur de déterminer notre comportement
etmême notre système de valeurs. Comme
nous avons peur de la mort, nous essayons
de rester en forme et de paraître aussi
jeunes que possible. Comme nous avons
peur de l’échec, nous faisons tout ce qui
est en notre pouvoir pour réussir. Comme
nous craignons la pauvreté, nous nous
accrochons à notre sécurité financière.
Comme nous avons peur du noir, nous
allumons des veilleuses. Comme nous avons
peur de perdre nos bien-aimés, nous nous
inquiétons à leur sujet des nuits entières.
Comme nous avons peur de certaines personnes,
nous nous armons de gourdins et
de fusils. Comme nous avons peur de l’opinion
des gens, nous essayons de contrôler
notre image. Toutes ces craintes nous éloignent
de notre Créateur et convergent vers
la supercherie et lamort. Heureusement, la
Bible nous dit : « L’amour parfait bannit
la crainte » (1 Jn 4.18, SER). Nous n’avons
plus à craindre.
La science atteste qu’il existe bel et
bien une relation entre la foi et la guérison
physique2. Mais il y a plus : nous pouvons
faire l’expérience de la guérison spirituelle,
laquelle jaillira sur tous les aspects de notre
vie. Cet amour ne peut venir que du Créateur.
Il faut de la foi pour croire, mais la
puissance est indéniable dans un coeur
réceptif à l’amour parfait de Dieu. L’ultime
guérison est nôtre si nous permettons au
Seigneur d’oeuvrer dans notre vie. Nous
pouvons cesser de cacher notre péché qui
nous tourmente et commencer à vivre dans
la puissance de son amour.
BRAINSTORMING
1. Quelles peurs devez-vous donner à Dieu
aujourd’hui ?
2. Comment avez-vous fait l’expérience de la
foi et de la guérison ?
____________
1. James G. Friesen, et al., The Life Model: Living form the
Heart Jesus Gave You, Pasadena, Californie, Shepherd’s
House, Inc., 2004, p. 23.
2. Jeffery Kluger, « The Biology of Belief », dans le Time,
23 février 2009, p. 62-72.
La foi qui sauve, c’est la foi qui guérit
David Dane Ricky, Bandung, Java occidental, Indonésie
Lundi ESPRIT DE PROPHÉTIE
Pr 17.22
« Il faut enseigner la foi, une foi salvatrice.
La définition de cette foi en Jésus-
Christ peut se résumer en quelques mots :
c’est le mouvement de l’âme par lequel
l’homme tout entier s’abandonne à la garde
et à l’autorité de Jésus-Christ. L’homme
demeure dans le Christ, et par la foi le
Christ règne en maître sur l’âme. Le croyant
livre son âme et son corps à Dieu et peut
dire avec confiance : “Je suis persuadé qu’il
a la puissance de garder mon dépôt jusqu’à
ce jour-là.” (2 Tm1.12) Tous ceux qui
le feront seront sauvés pour la vie éternelle.
Ils auront l’assurance que leur âme est lavée
dans le sang du Christ, revêtue de sa justice
et qu’elle est précieuse aux yeux de Jésus.
Nos pensées et nos espoirs sont fixés sur la
seconde venue de notre Seigneur. En ce
jour-là, le Juge de toute la terre récompensera
la confiance de son peuple1. »
« Le courage, l’espérance,
la foi, la sympathie, l’affection
favorisent la santé et
prolongent la vie. »
« Le courage, l’espérance, la foi, la
sympathie, l’affection favorisent la santé
et prolongent la vie. Un esprit content et
heureux contribue à la santé du corps et à
la force de l’âme. “Un coeur joyeux est un
bon remède.” (Pr 17.22, LSG)
« Une personne dont l’esprit est calme
et satisfait en Dieu est sur la voie de la
santé.
« La santé, la vie et le bonheur sont le
résultat de l’obéissance aux lois physiques
qui régissent nos corps. Si notre volonté et
nos voies sont en harmonie avec la volonté
de Dieu et avec ses voies ; si nous faisons
le bon plaisir de notre Créateur, il gardera
notre organisme en bonne santé et rétablira
nos capacités morales, mentales et physiques
afin qu’il puisse se servir de nous
pour sa gloire. Son pouvoir de guérison se
manifeste sans cesse dans notre corps. Si
nous coopérons ave lui dans son oeuvre, il
en résultera la santé et la joie, la paix et la
capacité d’agir2. »
« Nos désirs et nos projets devraient
tendre à accomplir sa volonté. L’épreuve de
notre foi est pour notre bien. Celle-ci reposet-
elle uniquement sur la Parole de Dieu ou
est-elle incertaine, chancelante, et dépendelle
des circonstances ? La foi s’affermit par
l’exercice, et nous devons savoir attendre avec
patience, en nous souvenant que les Écritures
contiennent de précieuses promesses
pour tous ceux qui se confient en Dieu3. »
BRAINSTORMING
Que faire de notre foi si, après avoir prié
pour obtenir la guérison, celle-ci ne survient
pas ?
____________
1. Pour un bon équilibre mental et spirituel, p. 548.
2. Ibid., p. 672.
3. Le ministère de la guérison, p. 198.
Le serpent d’airain
Gustina Waro Lisa Ricky, Bandung, Java occidental, Indonésie
Mardi PREUVE À L’APPUI
Nb 21.4-9 ; Pr 17.22 ; 1 Co 13.13
Le péché constitue la source de nombreuses
maladies. Il amoindrit notre résistance
physique1. Cependant, la foi en Jésus,
notre amour pour lui, et l’espérance qu’il
nous inspire peuvent constituer de puissants
médicaments pour traiter ces maladies.
Ce que nous lisons dans Nombres
21.4-9 est la preuve que la foi en Jésus
peut amener la guérison. « L’Éternel dit à
Moïse : Fais-toi un serpent brûlant, et
place-le sur une perche. » (Nb 21.8, LSG)
Dans cet exemple, le serpent sur la perche
symbolisait Jésus. Tous ceux qui regardaient
le serpent avec foi en leur Sauveur
étaient guéris.
Voici ce que David B. Larson, un pionnier
dans la recherche scientifique portant
sur la relation entre foi et santé, écrit : « Le
genre de chose qui semble aider unmalade,
c’est le fait de se percevoir comme collaborateur
de Dieu dans un projet : “Je travaille
là-dessus avec Dieu et j’apprends des
choses à travers cette expérience.” L’attitude
suivante est également efficace : “Dieu fera
sa volonté. Je vais lui faire totalement
confiance2.” »
Mohammad Siahpush, professeur en
promotion de la santé au centre hospitalier
de l’Université du Nebraska (États-Unis),
déclare : « Toutes choses étant égales par
ailleurs, si l’on est heureux et satisfait de sa
vie, on risque d’avoir une meilleure santé
plus tard, indépendamment de plusieurs
facteurs ayant un impact sur la santé, dont
le tabac, l’activité physique, la consommation
d’alcool, et le vieillissement3. »
BRAINSTORMING
Relisez la déclaration du docteur Larson. Si
vous ne sentez pas actuellement que vous
collaborez avec Dieu, que pouvez-vous faire
pour approfondir votre relation avec lui ?
____________
1. Healthy, Happy, Holy, deuxième édition, Bandung, Java,
Indonésie, Maison d’édition de l’Indonésie, p. 25.
2. Stephen Goode, Larson Explores Role of Faith in Health,
News Publications. http://www.findarticles.com/p/arti
cles/mi_m1571/is_48_15/ai_58361271/pg_2?tag=cont
ent;col (accès au site le 23 février 2009).
3. Science Daily, 2 septembre 2009, « Happiness and
Satisfaction Might Lead to Better Health ». http://www.
sciencedaily.com/releases/2008/08/080830161436.
htm (accès au site le 24 février 2009).
Le jardin de la foi
Eko Tulistyawati Ricky, Bandung, Java occidental, Indonésie
Mercredi POUR PASSER À L’ACTION
Gn 12.6,7 ; 13.3,4 ; 2 R 5.1-27 ; Mt 9.20-22
Si nous désirons une vraie guérison,
nous devons planter un jardin de foi. C’est
important, parce que la foi en Dieu favorise
la guérison. Ce jardin comportera quatre
rangs de Campanules, et au centre, un rang
d’Édelweiss.
La foi et l’action vont de pair.
1er rang : Conduis-nous à développer une
relation avec Dieu. Abraham, père des
Israélites, construisait un autel partout où
il allait, et offrait un sacrifice pour montrer
sa foi en Dieu. Dieu soumit son vieux serviteur
à l’épreuve suprême : le sacrifice de
son fils unique, Isaac, une épreuve dont
il sortit vainqueur. Les autels d’Abraham
symbolisent la relation de foi particulière
qu’il avait avec Dieu. Si nous adorons Dieu
aussi pieusement qu’Abraham l’a fait, notre
foi augmentera.
2e rangée – Crée en nous une soif ardente
de Jésus. Dans Matthieu 9.20-22, Jésus
guérit une femme malade depuis douze
ans. Il lui dit que sa foi en lui l’avait guérie.
Pour atteindre Jésus, elle se fraya un
chemin à travers la foule, malgré que sa
maladie la rende impure et de ce fait, lui
interdise les bains de foule. Quelle foi !
3e rangée – Conduis-nous à être forts
comme Jésus. À chaque chute, il faut nous
relever et reprendre la route. Nos problèmes
ne nous affaiblissent que lorsque
nous ne nous appuyons pas sur Jésus.
4e rangée – Conduis-nous à obéir à tous
les commandements de Dieu. L’expérience de
Naaman dans 2 Rois 5.1-27 nous enseigne
que pour que notre foi soit authentique, elle
doit s’accompagner de l’action. Si Naaman
n’avait pas plongé sept fois dans le Jourdain,
jamais il n’aurait été guéri. La foi et
l’action vont de pair.
5e rangée – Éduque notre esprit à croire
que Christ est la réponse. Beaucoup de
gens souffrent de maladies de l’âme plus
que de maladies physiques. Ils ne trouveront
de soulagement que lorsqu’ils viendront
à Christ, la source de toute vie. La
fatigue, la solitude et l’insatisfaction cesseront
; la joie donnera la santé à l’esprit et
au corps*.
BRAINSTORMING
1. En quoi les sacrifices que nous faisons
aujourd’hui, de même que notre comportement
général, constituent-ils une
meilleure indication de notre foi que nos
paroles ?
2. Comment se fait-il que la 5e rangée soit
celle qui touche à l’éducation de notre
esprit ? Quel est le rôle de l’esprit dans
l’édification de la foi ? La foi ne relèvet-
elle que de l’éducation, ou de quelque
chose de plus ?
____________
* Ellen G. White, Pour un bon équilibre mental et spirituel,
p. 422.
Un diagnostic erroné
Falvo Fowler, Silver Spring, Maryland, États-Unis
Jeudi OPINION
Ps 27.11-13 ; 116.1-10
J’ai passé une bonne partie de mon
enfance en Inde. Et pendant de nombreuses
années, j’ai lutté avec quelque chose que
la médecine qualifiait d’inexplicable. Ne
sachant plus que faire, le médecin a dit
que j’étais toxicomane même si je n’avais
jamais touché à la drogue de ma vie ! Le
directeur de l’Association pastorale locale a
voulu faire venir un guérisseur de ses connaissances.
Et quand une commère locale m’a
croisé sur la route, elle m’a exhorté à confessermes
péchés, cause certaine demamaladie.
Au milieu de tout ce « raisonnement »,
j’ai commencé à croire les nombreuses
rumeurs répandues par le médecin, par le
directeur de l’Association pastorale, et par
les commères. Et si Dieu me punissait ? Et
si j’avais fait quelque chose de mal ? Et si
ma foi ne suffisait pas ?
J’ai demandé à Dieu de me laisser mourir
parce que le médicament prescrit me
donnait des convulsions, à un point tel que
le médecin devait me donner du Valium
pour que je puisse prendremonmédicament.
C’en était trop !
Une nuit, me voyant pris de convulsions,
mamère est allée cherchermon père.
Pendant ce temps, j’ai prié Dieu de me
soutenir le temps qu’on me transporte à
l’hôpital. J’ai saisi ma Bible et me suis mis
à lire. Miraculeusement, mes convulsions
ont diminué. Mes parents sont arrivés,
et avec étonnement, ils ont vu que j’allais
mieux. Mais la minute que nous sommes
arrivés à l’hôpital, les convulsions ont recommencé.
Et le médecin m’a donné un sédatif.
Des années plus tard, un stagiaire a
découvert que j’étais allergique au médicament
que le médecin me prescrivait. Mes
symptômes n’avaient rien à voir avec mes
péchés. Je n’avais pas de dépendance. Ce
n’était pas un manque de foi. C’était juste
un mauvais médicament.
Lorsque j’ai raconté cette histoire à l’un
de mes amis qui est pasteur, il a dit que la
prière et la lecture de la Bible n’étaient
qu’une coïncidence.
Vraiment ?
Combien souvent traitons-nous les miracles
de coïncidence ! Et pourtant, des
miracles se produisent. Oui, nous devons
faire notre part. Oui, nous devons prier à
travers tout ça. Mais d’une façon ou d’une
autre, c’est une combinaison de choses qui
produit la puissance. Quand la grâce de
Dieu, notre foi, l’amour et la sollicitude des
gens se combinent, nous accédons à la puissance,
au-delà de toute compréhension.
Alors, la guérison commence pour de bon.
Le trou dans le centre
Sharon E. Wright, Silver Spring, Maryland, États-Unis
Vendredi EXPLORATION
Nb 21.4-9
POUR CONCLURE
Leministère de Jésus regorge d’histoires
de gens guéris par la foi en lui. Même l’histoire
du serpent d’airain dans l’Ancien Testament
symbolisait la guérison par la foi en
Jésus. Notre corps – et notre environnement
– ont été corrompus par le péché.
Seul celui qui nous a créés peut nous aider
à trouver la guérison. Lorsque nous nous
appuyons sur sa puissance et ses promesses,
nous pouvons éviter de nombreux problèmes
de santé associés au stress et à l’inquiétude.
Dieu désire que nous vivions joyeux, sans
crainte. Il veut être le centre de notre existence.
COFFRE AUX IDÉES
• Écrivez un psaume du point de vue d’une
personne qui, ayant demandé à Dieu la
guérison physique, n’a pas été exaucée.
• Chantez le cantique « Tout mon bonheur,
Christ… »
• Consignez dans un journal vos requêtes
de prière quant à votre guérison ou à celle
d’un autre.
• Faites une liste des contrastes entre une
vision holistique chrétienne de la santé
et celle de la médecine traditionnelle.
POUR ALLER PLUS LOIN
60Ways to Energize Your Life, compilation
de JanW. Kuzma, Kay Kuzma, et DeWitt
S.Williams.
Dynamic Living or Health Power, par Hans
Diehl, Dr. H. Sc., Aileen Ludington,
M. D.
Le ministère de la guérison, par Ellen G.
White.
None of These Diseases: The Bible’s Health
Secrets for the 21st Century, par S. I.
McMillen et David E. Stern.
Why Christians Get Sick, par George H.
Malkmus.
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment