LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Tuesday, June 15, 2010

BIBLE ET NUTRITION

http://possessthevision.files.wordpress.com/2008/06/jesus-feeds-the-multitude.jpg
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http://www.jesusthedivinehealer.org/wp-content/uploads/2009/12/AGArt.CardinalDoctrine.DivineHealing.jpg
Voici le Pasteur Doug Batchelor de http://www.amazingfacts.org/ avec l'Eglise de Sacramento, California





Cliquer sur le lien qui suit pour un video de la lecon de l'Ecole du Sabbat presentee par le Dr. Derek Morris de l'eglise de Lake Forest


http://media.forestlakechurch.org/content/media/2010q206-19-nutrition-bible



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Vous pouvez etudier le lecon de l'ecole du sabbat en cliquant sur le lien ci-dessous:
http://www.troisanges.com/EDS/2010-2/EDS2010-2.pdf


Bible et nutrition

« Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez,
soit que vous fassiez quelque autre chose,
faites tout pour la gloire de Dieu. »
(1 Corinthiens 10.31)



Bonjour, santé !
Mark A. Kellner, Columbia, Maryland, États-Unis
Sabbat INTRODUCTION
1 Co 10.31

Nous sommes presque au milieu de
l’année. Alors, où en êtes-vous avec ces
fameuses résolutions du Nouvel an ? Vous
savez, celles qui parlent de manger mieux
(moins de « cochonneries », plus de fruits
et de légumes), de faire plus d’exercice (à
bas les jeux vidéo !) et de prendre davantage
soin de vous ?

Le besoin d’adopter
un mode de vie sain n’est pas
seulement une bonne idée.


Il est étonnant de voir combien de personnes
prennent ces résolutions le 1er janvier
pour les abandonner, disons, le 3
janvier, si pas plus tôt. Mais attendez : le
besoin d’adopter un mode de vie sain
n’est pas seulement une bonne idée ; il fait
aussi partie de la volonté de Dieu à notre
égard.

Une fois, j’ai entendu quelqu’un dire :
« Les enfants ne viennent pas au monde
avec un manuel d’instructions. » Eh bien,
ce n’est pas vrai. La Bible a des tas de
choses à dire à ce chapitre, de même que
sur notre alimentation. En fait, Dieu nous
aime tant qu’il nous a donné des instructions
spécifiques sur ce qu’il faut manger,
dès le premier chapitre de la Bible, Genèse
1.29 : « Sur toute la surface de la terre,
je vous donne les plantes produisant des
graines et les arbres qui portent des fruits
avec pépins ou noyaux. Leurs graines ou
leurs fruits vous serviront de nourriture. »
À partir de là, il se montre tout à fait spécifique
sur ce que nous devrions – et ne
devrions pas – manger. Ainsi, nous n’avons
pas à deviner quel régime dernier cri nous
donnera une énergie, apparence, ou santé
meilleures. Il n’y a qu’à découvrir quels
bons aliments Dieu nous propose.

Celui qui nous a créés se soucie de
nous à un point tel qu’il veut que nous
soyons en bonne santé. Et voilà que ce que
nous mangeons peut jouer sur notre santé.
Demandons pour voir aux athlètes qui ont
réussi. Avant une compétition importante,
ils s’assurent de manger les aliments qui leur
fourniront l’énergie nécessaire, et d’écarter
ceux qui diminueraient leur performance.
L’alimentation biblique comporte toutes
sortes d’implications, tel que nous le voyons
dans 1 Corinthiens 10.31. Dans le « faites
tout pour la gloire de Dieu », il est implicite
que ce dernier nous observe. Mais ceci
ne suggère-t-il pas aussi que d’autres nous
observent ? Jésus a dit qu’en faisant le bien,
nous glorifions Dieu (Mt 5.16). Un mode
de vie sain glorifie donc Dieu. Cette semaine,
c’est ce que nous apprendrons, et
plus encore.



Nourriture de l’âme
Ray Allen, Bracknell, Royaume-Uni
Dimanche IL EST ÉCRIT

Gn 1.26-30 ; 7.1,2 ; 8.20 ; Lv 11 ;
Dt 14 ; Pr 23.19-21 ; Ac 10.1-28 ;
Rm 14.17 ; 1 Tm 4.1-5


Le régime originel (Gn 1.26-30)
Le régime originel se composait de
céréales, de fruits, de noix et de légumes1. Il
semblait similaire à celui de Daniel et de ses
compagnons (Dn 1.11-15, 19, 20). Un
nombre croissant de diététiciens et de scientifiques
constatent aujourd’hui qu’un régime
végétalien produit une santé optimale2.

Les Israélites étaient visiblement
aux prises avec de sérieux
symptômes de sevrage.


Dieu permit aux survivants du déluge
de manger des animaux (Gn 9.3,4). La
Bible révèle l’âge de certains personnages
bibliques d’avant et d’après le déluge. On
constate que l’ajout de la viande eut pour
effet de réduire considérablement la longévité.
Avant le déluge, les gens atteignaient
souvent les 900 ans. Metuschélah se rendit
jusqu’à 969 ans (Gn 5.27, LSG). Cependant,
Lémec ne vécut que 595 ans (Gn
5.32, LSG), et Abraham 175 ans (Gn 25.7,
LSG). Et aux jours de David, la moyenne
de vie dégringola à 70 ans.

La relation verticale
(Gn 7.1,2 ; 8.20)
Dieu dit à Noé de prendre dans l’arche
sept couples de tous les animaux purs et un
couple des animaux impurs. Peu après le
déluge, Noé sacrifia certains des animaux
purs. Ce sacrifice fut agréé par Dieu. Bien
que ce ne soit pas dit dans la Genèse,
Lévitique 11 et Deutéronome 14 confirment
que Dieu permettait seulement la consommation
d’animaux purs. Tout comme Dieu
n’acceptait que des animaux purs en sacrifice,
l’homme – s’il désirait inclure la viande
dans son régime – ne devait que consommer
des viandes pures. Il y a ici l’allusion d’une
relation entre ce que nous mangeons et
notre relation avec Dieu, peut-être un lien
entre la qualité de notre nutrition et la qualité
de notre adoration. L’apôtre Paul semble
soutenir cette idée dans Romains 12.1 et
1 Corinthiens 10.31.

Des aliments pour un peuple
saint (Lv 11 ; Dt 14)
Lévitique 11 et Deutéronome 14 listent
les catégories d’animaux purs et impurs.
Des animaux terrestres, ceux qui ont le
sabot fendu et qui ruminent étaient considérés
comme purs. Des créatures marines,
seules celles qui avaient des nageoires et
des écailles étaient propres à la consommation.
Dieu donna des directives semblables
quant aux oiseaux et aux insectes ailés.
Quiconque mangeait des créatures impures
ou touchait leur carcasse était considéré
comme impur. Dans Lévitique 11.43-46,
Dieu dit clairement quemanger ou toucher
ce qui est impur (non hygiénique) était
inacceptable pour un peuple appartenant à
un Dieu saint. Deutéronome 14.21 interdisait
à un Israélite de manger un animal
trouvé mort ; mais la carcasse pouvait être
donnée ou vendue à un étranger pour sa
nourriture. Le peuple de Dieu était mis à
part et par conséquent, saint. Ainsi, pour
Les Israélites étaient visiblement
aux prises avec de sérieux
symptômes de sevrage.
l’Israélite, le choix des aliments constituait
une partie intégrale de la sainteté.

Nourriture céleste versus
délices égyptiens (Ex 16)
Il n’entrait pas dans le plan de Dieu que
les enfants d’Israël continuent de manger de
la viande. Peu après leur sortie d’Égypte, il
essaya de les en sevrer en leur donnant la
manne, ou « pain du ciel » comme on
l’appelle souvent. Cependant, les Israélites
étaient visiblement aux prises avec de sérieux
symptômes de sevrage… À la fin, Dieu leur
permit de continuer à manger de la viande.

Une mouche dans la soupe
théologique (Rm 14.17 ; 1 Tm 4.1-5)
Certains des Juifs de l’Église primitive
étaient si légalistes quant aux lois cérémonielles
et croyances de leur cru qu’ils voulaient
imposer leurs convictions aux nouveaux
croyants. Souvent, le débat portait
sur les aliments permis ou interdits. Dans
Romains 14.15-17, Paul conseille à ceux qui
avaient plus de maturité dans leur compréhension
des questions doctrinales de ne pas
juger ceux qui étaient sans doute plus faibles
dans leur développement, mais de focaliser
sur « ce qu’il y a de plus important dans la
loi » (Mt 23.23, LSG). Un cas similaire est
évident dans 1 Timothée 4.1-5. Ici, Paul qualifie
ceux qui imposent leurs dadas aux autres
comme ceux qui abandonnent « la foi pour
suivre des esprits trompeurs et des enseignements
inspirés par les démons » (v. 1).

Une illustration pour mieux
comprendre (Ac 10.1-28)
Certains commentateurs considèrent
la vision de Pierre comme une preuve que
Dieu approuve la consommation des viandes
impures. Une adoption de cette vision,
cependant, serait une erreur d’interprétation
du texte, celui-ci n’étant qu’une
simple illustration pour aider Pierre à
vaincre son préjugé envers les Gentils convertis.
Jusqu’à ce jour, les Gentils étaient
considérés comme impurs. Pierre comprit.
Si Dieu ne fait point acception de personne,
nous devons l’imiter.

Manger, boire, et se réjouir ?
(Pr 23.19-21)
Dans Proverbes 23.19-21, Salomon
nous prévient de ne pas nous associer à
ceux qui ont tendance à la gourmandise et
à l’intempérance dans le manger et le boire.

BRAINSTORMING
1. Si un régime végétalien représente l’idéal,
pourquoi Dieu a-t-il permis aux survivants
du déluge de manger de la viande ?
2. Et aujourd’hui ? Devrions-nous aspirer
au végétalisme, au régime ovo-lacto végétarien,
ou à celui qui comporte des
viandes pures ? Expliquez.
3. Si la consommation de viande est la seule
option disponible, jusqu’à quel point
est-il préférable de ne pas consommer
de gras ou de sang ? (Voir Gn 9.4.)
4. Pourquoi le lien entre le régime et la sainteté
est-il encore valable pour les chrétiens
aujourd’hui ?
5. Quelle devrait-être notre attitude envers
ceux qui ne suivent pas le régime prescrit
par Dieu ?
6. Deutéronome 14.26 et Proverbes 23.19-
21 semblent soutenir la consommation
d’alcool. Comment justifier alors unmode
de vie sans alcool ?
____________
1. Ellen G. White, Conseils sur la nutrition et les aliments,
p. 109.
2. T. Colin Campbell et Thomas M. Campbell II, The China
Study, Dallas, Benbella Books Inc., 2006, p. 242.



Petites décisions,
grosses conséquences
Gina Rene Wahlen, Silver Spring, Maryland, États-Unis
Lundi ESPRIT DE PROPHÉTIE
Dt 14

« L’histoire de Daniel et de ses compagnons
a été rapportée dans les pages de
la Parole inspirée pour le bien de la jeunesse
de tous les temps. … Ceux qui, à
l’exemple de Daniel, refusent de se souiller,
récolteront la récompense de leur sobriété.
Leur vitalité plus grande et leur force de
résistance accrue constituent une réserve
dans laquelle ils peuvent puiser en cas de
nécessité.

« Le moment vint où ils durent
agir de leur propre initiative. »


« De bonnes habitudes physiques assurent
une supériorité mentale. … Les avantages
que Daniel et ses compagnons retiraient
de leur première formation et de
l’éducation qu’ils avaient reçue, n’auraient
pas suffi à faire d’eux ce qu’ils sont devenus.
Le moment vint où ils durent agir de
leur propre initiative, leur avenir ne dépendant
plus désormais que d’eux-mêmes1. »
« Ces jeunes gens [Daniel, Hanania,
Mischaël et Azaria] qui fréquentaient cette
école de formation, non seulement étaient
admis au palais royal, mais ils devaient
également consommer des mets et boire
du vin que l’on servait à la table du roi.…
« Parmi les viandes…, il y avait de la
viande de porc et d’autres viandes déclarées
impures par la loi de Moïse, et qui
étaient formellement interdites aux Hébreux.

Une épreuve sévère se présentait à Daniel.
Resterait-il fidèle aux enseignements de ses
pères concernant les viandes et les boissons,
en risquant d’offenser le roi et de perdre
non seulement sa position mais aussi la
vie, ou transgresserait-il le commandement
de Dieu, en se pliant à la faveur du roi,
s’assurant ainsi de grands avantages intellectuels
et une enviable situation dans le
monde ?

« Daniel n’hésita pas longtemps. Il
décida de demeurer intègre quoi qu’il dût
lui en coûter. …

« Le caractère de Daniel est présenté
au monde comme un exemple de ce que
Dieu peut accomplir en faveur de l’homme,
déchu dans sa nature et corrompu par le
péché. Le récit de cette vie de noblesse et
de renoncement est un encouragement pour
notre faible humanité. Nous pouvons en
recevoir de la force pour résister vaillamment
à la tentation, et par la grâce et l’humilité,
nous tenir au côté de la droiture dans
l’épreuve la plus sévère2. »

BRAINSTORMING
1. Qu’est-ce qui a motivé Daniel à ne pas
manger les mets servis à la table du
roi ?
2. Quelle est la relation entre ce que nous
mangeons et ce que nous pensons ?
3. Si vous êtes placé dans une situation où
les aliments et les boissons que l’on sert
sont contraires aux recommandations
bibliques, comment réagir ? Comment
vous préparer à l’avance pour faire en
sorte que de telles situations soient moins
stressantes ?
____________
1. Conseils sur la nutrition et les aliments, p. 32, 33.
2. Ibid., p. 33, 34.



Que racontent
vos aliments ?
Seth Allen, Bracknell, Royaume-Uni
Mardi PREUVE À L’APPUI
Ex 15.26 ; Lv 11.44,45 ;
Nb 11.4.-34 ; Dn 1


Dans Lévitique 11, Dieu donne sa perspective
de la nutrition. Les enfants d’Israël
devaient marcher, parler et manger en tant
que peuple saint. Le régime égyptien qu’ils
avaient depuis près de 400 ans comprenait
beaucoup d’aliments qui leur étaient permis.
De nombreux égyptologues ont conclu
que la haute société mangeait plus de
viande que la classe pauvre, laquelle consommait
plus de fruits et de légumes.

Une bonne chose peut-elle
être mauvaise en trop
grande quantité ?


Nombres 11.4-34 révèle le sérieux de
Dieu concernant le lien entre nourriture et
spiritualité. « Si Dieu donnait ainsi à Israël
un aliment peu propre à assurer son bienêtre
physique, c’était parce qu’il s’obstinait
à le demander.…il dut en subir les conséquences.
… “L’Éternel frappa le peuple
d’un très grand fléau1.” » Si la nourriture
était pure, pourquoi Dieu a-t-il frappé le
peuple d’une plaie ? Peut-être parce que ce
dernier avait convoité la viande au point
de perdre de vue le Seigneur. Une bonne
chose peut-elle être mauvaise en trop grande
quantité ? D’après Dieu, il semble que oui.

Selon les historiens, lorsque les enfants
d’Israël atteignirent finalement la terre promise,
leur régime consistait principalement
en fruits et en légumes parce qu’ils faisaient
de leur bétail leur gagne-pain. En général,
ils n’abattaient leurs animaux qu’en vue
des sacrifices ou lors d’occasions spéciales.
En Grande-Bretagne, pendant la Seconde
Guerre mondiale, le rationnement alimentaire
a fait en sorte que les gens ont réduit
leur consommation de gras, d’oeufs, de
viande et de sucre. Aujourd’hui, des études
montrent que ce type de régime réduit le
risque de cancer, de maladies cardiaques,
et d’autresmaladies dégénératives2. Le cancer
est endémique dans notre société, et il augmente
même dans notre Église.

Exode 15.26 nous donne un merveilleux
exemple de la façon dont Dieu prodiguera
ses bénédictions à ses enfants s’ils
gardent ses lois en matière de nutrition. Le
Seigneur nous amontré quels aliments sont
les meilleurs pour nous parce qu’il nous
aime profondément. Les bienfaits d’une
nutrition en accord avec son plan sont
physiques et spirituels, pratiques même.
Aujourd’hui, il nous appelle à être les
Daniel des derniers jours. Répondrez-vous
à l’appel du Maître ?

BRAINSTORMING
1. En quoi votre alimentation témoignet-
elle de votre engagement envers Dieu ?
2. Quelle est la différence entre la volonté
ultime de Dieu et sa permission ?
3. Que révèle votre régime quant à votre
attitude envers Dieu ?
____________
1. Ellen G. White, Patriarches et prophètes, p. 359.
2. T. Colin Campbell et Thomas M. Campbell II, The
China Study, Dallas, Texas, Benbella Books Inc., 2006



Vivre pour manger
ou manger pour vivre
De Laine Heinlein-Mayden, Ellicot City, Maryland, Etats-Unis
Mercredi POUR PASSER À L’ACTION
Gn 1.26-30 ; 7.1,2 ; 8.20

Beaucoup de gens comprenant les principes
de nutrition que Dieu nous a donnés
deviennent la proie de la tentation quand
vient le temps de les appliquer. Voici six
moyens pour vous aider à intégrer les principes
divins dans vos habitudes alimentaires:

Courage ! Essayez quelque
chose de nouveau une ou
deux fois par semaine.


Priez, dormez, et buvez de l’eau. Un sommeil
suffisant et de l’eau en abondance
préparent notre corps à résister aux tentations
physiques. La prière nous prépare
mentalement et spirituellement. Lisez
Philippiens 4.13, et gardez toujours ce
verset à l’esprit !

Changez vos habitudes graduellement. Si
vous passez d’un régime carné à un régime
végétarien, allez-y graduellement. « Les
changements ne doivent pas intervenir
d’une manière brutale, ce qui les éloignerait
de la réforme sanitaire plutôt que de
les y amener*. »

Planifiez vos repas et l’horaire de ceux-ci
plutôt que de céder à vos rages alimentaires.
Faites-vous un calendrier. Modifiezle
selon votre physiologie propre. Essayez
deux repas par jour, ou quatre à cinq repas
plus petits. Découvrez les bienfaits du
jeûne, ce qui peut se révéler bénéfique
physiquement et spirituellement.

Consignez vos habitudes alimentaires.
Prenez note de la grosseur de vos portions
ainsi que les changements que vous observez
dans votre corps, votre esprit, et particulièrement
vos pensées. Notez aussi comment
votre vie de prière affecte vos habitudes
alimentaires, et vice-versa.

Optez pour la variété. Mangez des aliments
variés et nouveaux. Le Web foisonne de
recettes saines et savoureuses. Courage !
Essayez quelque chose de nouveau une
ou deux fois par semaine. Au début, les
nouveaux aliments pourront vous paraître
quelque peu désagréables.Donnez le temps
à votre goût de se former.

Lisez les ouvrages d’Ellen G. White à ce

sujet. Et si vous lisez l’anglais, visitez le
site www.whiteestate.org.

Tandis que nous cherchons à nous
rapprocher de Dieu en purifiant notre esprit
et notre corps par de bonnes habitudes
alimentaires, Dieu nous donnera la force
de réussir.

BRAINSTORMING
Comment évaluer les idées en vogue en
matière d’alimentation, par exemple, l’eau
vitaminée ? Comment savoir si quelque
chose est vraiment sain, où s’il est simplement
perçu comme étant sain ?
____________
* Ellen G।White, Conseils sur la nutrition et les aliments, p. 335.



Pourquoi une bonne nutrition
importe-t-elle ?
Wilona Karimabadi, Ellicott City, Maryland, États-Unis
Jeudi OPINION
Gn 1.26-30 ; Jn 10.10

Si vous deviez poser cette question (le
titre de notre journée) à n’importe quel
entraîneur ou nutritionniste, vous obtiendriez
une réponse enthousiaste, et sans
doute plus longue que ce que vous auriez
envie d’entendre ! Si vous la posiez à un
chrétien, je crois que sa réponse serait
similaire, mais un brin moins enthousiaste.
Cependant, il devrait se montrer tout aussi
enthousiaste que le premier.

« Qui sait jusqu’où
cette vie plus abondante
vous conduira !»


« Qualité d’entrée égale qualité de sortie
» décrit le niveau de performance de
votre corps sur la base du carburant que
vous lui donnez. Votre « machine » tournera
à vide avec un régime riche en bonbons,
hydrates de carbone simples, gras, et
vous serez incapable de fonctionner selon
le plan de Dieu. Cependant, remplissezla
de protéines maigres, de céréales entières,
de fruits, de noix et de légumes, et vous
n’en croirez pas vos yeux !

Dieu n’a pas créé notre corps pour
qu’il nous lâche. Il a conçu le carburant idéal
pour un rendement optimal. La nutrition
compte pour ceux qui veulent être en
santé…Elle devrait aussi compter pour les
chrétiens ! Mais y prêtons-nous vraiment
attention ?

Si nous considérons notre corps comme
une machine bien réglée, que se passerat-
il si nous le bourrons d’un mauvais
carburant ? C’est précisément pourquoi
une nutrition adéquate compte quand on
parle de qualité de vie. « Vous êtes d’une
valeur infinie. Dieu appelle votre corps
son “temple”. Il veut ce qu’il y a de mieux
pour vous1. »

Nous sommes appelés à vivre une vie
abondante, et manger sainement y contribue
à coup sûr. « En apportant quelques
changements à votre régime et votre mode
de vie, vous pourrez vivre plus en harmonie
avec les lois de votre être. Avec ce commencement,
qui sait jusqu’où cette vie plus
abondante vous conduira 2 ! »

Une relation de qualité avec Dieu compte ;
prendre soin de notre corps compte tout
autant. Considérez votre prochain repas en
gardant ceci à l’esprit.

BRAINSTORMING
1. Après quel genre de repas vous sentezvous
en pleine forme ? Vous sentez-vous
malade ?
2. En quoi déshonorons-nous Dieu lorsque
nous mangeons n’importe quoi ?
____________
1. Tim Crosby, « Why Going Meatless Makes Sense »,
How to Go Meatless for Life, un numéro special de
Vibrant Issue, p. 10.
2. Ibid.



Une bonne nutrition, une vie abondante
Frank A. Campbell, Ottawa, Ontario, Canada
Vendredi EXPLORATION
Jn 10.10

POUR CONCLURE
Cette semaine, nous avons vu le lien
entre la nourriture et une vie abondante
dans le code alimentaire biblique. Nous
avons vu des manifestations pratiques, la
consommation de viande suivant le déluge.
Et nous avons vu que l’alimentation influence
la vie spirituelle. Le cheminement
pour manger sainement exige de la planification,
de la persévérance, et de la patience.
Soyez patient. Et encore plus avec
ceux qui sont moins avancés que vous
dans ce cheminement vers une vie abondante.

CONSIDERA
• Prenez de 30 à 60 minutes pour réfléchir
aux textes bibliques concernant la
nourriture. Lesquels ont trait au physique
? Au spirituel ? Lesquels couvrent
ces deux aspects ?
• Faites un jardin potager ou un jardin de
fleurs et de légumes.
• Établissez un jour intitulé « Jour-santé »
dans lequel vous écarterez éventuellement
les produits animaux, les amusebouche,
etc. Et pourquoi ne pas prolonger
ce jour pour une semaine, un
mois, ou plus ?
• Montez votre propre collection de recettessanté.

POUR ALLER PLUS LOIN
Dan Buettner, « The Secrets of Long Life »,
NationalGeographic, novembre 2005, p. 2-27.
LuAnn Bermeo, AmazingMeals, vol. 1 et 2.
Rose LeeCalabro, Living in the Raw:Gourmet,
Summertown, Tennessee, Book Publishing
Company, 2005.
Ellen G. White, Ministère de la guérison,
p. 250-262.

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