LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Tuesday, June 8, 2010

OPTIMISME: FELICITE ET GUERISON

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Optimisme : bonheur et guérison

« Mais voici ce que je veux me rappeler, voici ma raison
d’espérer : les bontés du Seigneur ne sont pas épuisées,
il n’est pas au bout de son amour. Sa bonté se renouvelle
chaque matin. Que ta fidélité est grande, Seigneur ! »
(Lamentations 3.21-23)



Penser à l’avenir avec espérance
Opuge Ephraim Obuolloh, Kisii, Kenya, Afrique de l’Est
Sabbat INTRODUCTION
Ps 27.1,14

En face de la crise économique qui
secoue le monde aujourd’hui, des guerres,
des pénuries alimentaires, et des changements
constants, nous nous débattons avec
des situations qui, parfois, nous font paraître
la vie insupportable. Tant de gens sont victimes
de dépression à cause de leur situation
sociale et économique ; d’autres sont
épuisés et malades en raison de difficultés
personnelles et du stress.

À mesure que la dépression
augmente, les défenses
physiques s’affaiblissent.


À mesure que la dépression augmente,
les défenses physiques s’affaiblissent. Combien
nous sommes reconnaissants de ce
que la Parole de Dieu soit remplie de messages
d’espérance – de messages qui, lorsque
médités et vécus, peuvent encourager et
fortifier l’âme défaillante. Ces messages
peuvent aussi redonner la santé aux gens
malades d’inquiétude ou de tristesse. David
a écrit notre texte d’aujourd’hui alors qu’il
fuyait de Jérusalem devant la révolte de
son fils Absalom1. Ce texte nous encourage
à poursuivre la route quand tout va de travers.

« La peur est une ombre qui nous
enveloppe et qui, finalement, nous ligote.
Chacun de nous a été prisonnier de la peur
une fois ou l’autre dans sa vie : peur du
rejet, du malentendu, de l’incertitude, de
lamaladie, oumême de lamort.Mais nous
pouvons vaincre la peur en utilisant la
lumière libératrice du Seigneur qui apporte
le salut2. » « Le psaume se termine avec
une répétition de l’injonction : “Espère en
l’Éternel !”, comme si le psalmiste gravait
dans notre esprit l’idée que face au doute
et au danger, nous devrions aller de l’avant
“dans la puissance du Seigneur Éternel” au
lieu de désespérer (voir Ps 71.16, DRB)3. »

La Parole de Dieu, le sacrifice de son
Fils, la démonstration de son amour, sa
fidélité dans notre vie et sa présence quotidienne
devraient nous encourager à espérer
un avenir meilleur, dans cette vie et dans
l’éternité. Dieu a les réponses qu’il nous
faut, et il nous y donne accès dans la Bible.
Cette semaine, nous explorerons le lien
unique entre l’optimisme, le bien-être, et la
guérison du corps et de l’esprit.

BRAINSTORMING
Comment se fait-il que la Bible ait réponse
à tous les dilemmes de la vie ?
____________
1. Ellen G. White, Éducation, p. 165.
2. Life Application Study Bible, Wheaton, Ill., Tyndale House,
1991, p. 929.
3. The Seventh-day Adventist Bible Commentary, vol. 3, p. 697.



Un coeur fort

Lukas Olwayo, Kimusu, Kenya, Afrique de l’Est
Dimanche IL EST ÉCRIT

1 R 19.2-18 ; Ps 27 ; 42 ; Lc 8.14 ;10.38-42 ;
Rm 8.35-39 ; 2 Co 12.9,10 ; 1 Th 5.16-18


Un coeur fort et sans crainte (Ps 27 ; 42)
La vie de David est bourrée de défis et
d’épreuves. Le psalmiste exprime certains
d’entre eux de façon frappante dans le
psaume 27. Mais ce faisant, il nous réconforte
et nous rassure. Lorsque tout semble
aller mal, rappelons-nous les bonsmoments
où le Seigneur était avec nous, nous réconfortant
et nous guidant. David nous conseille
d’espérer en l’Éternel. Espérer en lui implique
de faire confiance à sa providence
et à son pouvoir, de croire qu’il fera ce
qu’il a dit et nous conduira là où il l’a promis.
Sachant cela, notre coeur devrait en
être fortifié. Un coeur fort est capable de
résister aux défis de la vie, alors qu’un
coeur faible s’évanouit devant la moindre
épreuve.

Une seule chose est nécessaire (Lc 10.42)
Marie et Marthe étaient disciples de
Jésus. Toutes deux aimaient le Seigneur
et lui consacraient leur vie. Pourtant, elles
avaient une conception différente du discipulat.
Bien que Jésus fût dans sa maison,
Marthe se laissait distraire par les préparatifs
entourant, semble-t-il, le repas. Marie,
elle, s’assit aux pieds du Seigneur pour
entendre ce qu’il avait à dire. Ce dernier
savait que les deux soeurs ne pouvaient
vivre de pain seulement (Mt 4.4), qu’il y
avait des moments où se nourrir du pain
de sa Parole serait plus important que de
manger du pain sorti du four. « Les choses »
qui distrayaientMarthe (Lc 10.41) n’étaient
pas mauvaises en soi. En fait, il arrive que
nous remplissions notre vie de « bonnes
choses » au point de négliger les besoins de
notre âme. Parfois, nous sommes tellement
occupés à faire des choses pour Christ que
nous manquons de passer du temps de
qualité avec lui.

L’agitation deMarthe a trait à son « comportement
extérieur qui trahissait ses sentiments
intérieurs. Elle était “anxieuse”, et
donc “agitée“. Si seulement nous cherchions
à cultiver ce calme intérieur dont
Marthe avait tant besoin, nous nous éviterions
beaucoup d’anxiété inutile1. »

Dieu ne nous accorde pas de bonnes
familles, des amis fantastiques, des emplois
gratifiants et payants, de même que d’autres
dons et capacités, pour que, satisfaits, nous
pensions ne plus avoir besoin de lui. Souvenons-
nous toujours de leçon apprise
par Marie : sans lui, nous ne pouvons rien
faire (Jn 15.5).

Notre état d’esprit (Mt 6.31,32)
L’anxiété tue. Nombre des maladies
physiques et mentales de notre siècle présent
sont reliées au stress. Cependant, lorsque
la foi grandit, l’anxiété diminue. C’est
ce que Jésus voulait faire comprendre à
Marthe. Il avait déjà évoqué ce sujet lors
du sermon sur la montagne : « Que mangerons-
nous? que boirons-nous ? de quoi
serons-nous vêtus ? Car toutes ces choses,
ce sont les païens qui les recherchent.
Votre Père céleste sait que vous en avez

besoin. » (Mt 6.31,32, LSG) Quand les
priorités sont bien ordonnées – le royaume
de Dieu en premier – nos risques de faire
une crise cardiaque diminuent de beaucoup!

Marie a choisi d’écouter le Seigneur.
Mais si nous sommes trop occupés pour
communier avec lui, prier, étudier sa
Parole, méditer sur les objectifs de la vie,
et jouir d’un moment paisible et intime
avec lui, notre coeur sera troublé par les
soucis quotidiens, minant notre corps et
notre esprit et nous affaiblissant par toutes
sortes de maladies.

Dieu vous aime (Jr 31.3)
Dans Jérémie 31.3, Dieu dit aux
Israélites : « Je t’aime d’un amour éternel ».
Objet de l’amour de Dieu, Paul pouvait
dire qu’il savait en qui il avait cru (2 Tm
1.12). Dans Romains 8.35-39, il déclare
que les croyants fidèles sont l’objet de
l’amour de Dieu. Parce qu’il en est ainsi,
rien ni personne ne peut nous séparer de
son salut et de sa délivrance. Son amour
devrait nous inspirer à regarder positivement
la vie, à nous attendre à de bonnes
choses, et à vivre dans la confiance qu’il
prendra soin de nous.

« Dieu touche ses enfants avec une
bonté motivée par un amour profond et
éternel. Il est impatient de faire ce qu’il
y a de mieux pour eux si seulement ils le
laissent faire. Après tant d’avertissements à

propos du péché, ce rappel de l’amour
extraordinaire de Dieu est comme une bouffée
d’air frais. Plutôt que de penser à Dieu
avec effroi, observez attentivement et regardez-
le nous attirer à lui avec amour2. »

Lorsque la foi grandit,
l’anxiété diminue.


Quand la vie nous malmène, nous
devons savoir que dans le Seigneur, tout
concourt au bien, et que c’est ça qui compte
vraiment. Un tel état d’esprit conduira à
une bonne santé. Ses promesses abondent.
Puissent-elles être votre guide (Dt 33.29 ;
Ps 4.8 ; 56.3 ; 91.1,2 ; 1 Jn 4.4) !

BRAINSTORMING
1. Le fait que Dieu a déjà accompli le salut
vous inspire-t-il à vivre de façon positive
? De quelle façon ?
2. Si quelque chose vous rend anxieux,
faites des choses qui augmentent votre
foi. Notez l’impact de l’augmentation
de votre foi sur votre santé.
3. Comment démontrer notre compréhension
de notre destinée aux autres afin
de les encourager à suivre le Seigneur ?
____________
1. The Seventh-day Adventist Bible Commentary, vol. 5, p. 785.
2. Life Application Study Bible,Wheaton, Ill., Tyndale House,
1991, p. 1342.




Un esprit de reconnaissance
Marcus Leeland, Bowie, Maryland, États-Unis
Lundi ESPRIT DE PROPHÉTIE
Pr 17.22

« Les rapports entre l’esprit et le corps
sont très intimes. Lorsque l’un est affecté,
l’autre s’en ressent. L’état d’esprit influe sur
la santé beaucoup plus qu’on ne le croit
généralement. Bien des maladies sont dues à
la dépression mentale. Le chagrin, l’anxiété,
lemécontentement, le remords, laméfiance
tendent à briser les forces vivres et à provoquer
l’affaiblissement et la mort.…

« Le courage, l’espérance, la foi, la sympathie,
l’affection favorisent la santé et prolongent
la vie. Un esprit content et heureux
contribue à la santé du corps et à la force de
l’âme1. »

« Rien ne dispose mieux à la santé du
corps et de l’âme qu’un esprit de reconnaissance
et de louange. Notre devoir formel
est de résister à la mélancolie, aux pensées
sombres et aumécontentement : il est aussi
impérieux que celui de prier. Pourrionsnous
ressembler au convoi funèbre, nous
lamentant et nous plaignant tout le long du
chemin alors que nous sommes en route
pour la maison du Père ?

« Les soi-disant chrétiens qui geignent
sans cesse et qui donne l’impression de
croire que la joie et le bonheur sont des
péchés, ne connaissent pas la vraie religion2.»

« Une loi naturelle veut que les sentiments
et les pensées se renforcent en les
exprimant.Mais si lesmots suivent les pensées,
il est vrai aussi qu’ils les font naître. Si
nous extériorisions mieux notre foi, si nous
nous réjouissions davantage des bénédictions
dont nous sommes les objets – la
miséricorde et l’amour de Dieu – cette foi
serait plus grande et notre joie plus intense.
Aucune langue ne saurait exprimer, aucun
esprit concevoir les bienfaits qui découlent
de l’appréciation de la bonté et de l’amour
de Dieu. Même ici-bas, notre joie peut ressembler
à une source intarissable parce
qu’elle est alimentée par les eaux vives qui
s’échappent du trône de Dieu.

« Enseignons donc à nos coeurs et à
nos lèvres à louer le Seigneur pour son
amour incomparable. Enseignons à nos
âmes à avoir l’espérance et à vivre à la
lumière de la croix du Calvaire. N’oublions
jamais que nous sommes les enfants du Roi
des cieux, des fils et des filles de l’Éternel
des armées. C’est notre privilège de rester
calmes en Dieu3. »

BRAINSTORMING
Prenez le temps de louer Dieu pour cinq
choses. Réfléchissez à chacune d’entre elles
pendant une minute. Comment vous sentez-
vous à la fin de cet exercice ?
____________
1. Le ministère de la guérison, p. 207.
2. Ibid., p. 216.
3. Ibid., p. 216, 217.




Vivre de façon productive
Sarah Kwamboka Monyoncho, Nairobi, Kenya, Afrique de l’Est
Mardi PREUVE À L’APPUI
3 Jn 1: 2

Trois Jean commence par une identification
de l’auteur et de la personne à qui il
écrit. Vient ensuite une action de grâce et
l’expression d’un souhait quant au bienêtre
du destinataire. L’amour n’est pas simplement
de l’affection ou de l’attachement,
mais aussi le lien divin qui unit les chrétiens.
La déclaration de Jean voulant qu’il
aime Gaius « dans la vérité » indique la
corde à deux fils qui les unit : ils sont unis
non seulement par l’amour mais aussi par
la vérité qu’ils partagent.

Le souhait d’une bonne santé est typique
des lettres anciennes, et ici, c’est réellement
une prière. Jean prie pour que Gaïus prospère
« à tous égards » et soit « en bonne
santé » comme prospère son âme (v. 2). Le
mot traduit par « âme » (psyche) se réfère
à chaque aspect de la personne. Dans
l’Évangile de Jean, Jésus donne sa « vie »
[son âme] (Jn 10.15,17,18). Par conséquent,
le fait que Jean ait confiance que Gaïus
« prospère » comme prospère son âme n’indique
pas simplement le salut de son âme.
Elle se réfère plutôt à la santé spirituelle
et morale à la lumière de l’acceptation de
Jésus et de l’obéissance à ses ordres.

L’amour n’est pas
simplement de l’affection
ou de l’attachement.


Si nous considérons que, malgré les
conditions actuelles de notre monde, il est
de notre devoir de louer Dieu et d’être
optimistes face à l’avenir, notre santé physique
en sera récompensée. De nombreuses
études montrent que ceci est vrai. L’une
d’elle a été réalisée à l’Université Carnegie
Mellon. Le docteur Sheldon Cohen et ses
collègues se sont penchés sur 193 hommes
et femmes en santé, âgés de 21 à 55 ans.
Les résultats montrent que les participants
« ayant obtenu un score élevé en ce qui
concerne une attitude positive résistaient
davantage aux rhumes et à la grippe »1.
Selon ce chercheur, ces « résultats indiquent
que les émotions positives jouent un
rôle plus grand et plus important par rapport
au risque de maladie et aux malaises
dont se plaignent les gens que l’on ne le
croyait auparavant2. »

BRAINSTORMING
1. Qu’avez-vous fait dernièrement pour
répandre l’espérance et encourager la
prospérité autour de vous ?
2. Que dit la Bible sur le fait de vivre en paix
avec tous ? Voir Romains 12.18 (SEM).
Comment une telle attitude contribuet-
elle à la santé spirituelle et physique ?
____________
1. WebMd, « Happiness Good for Health », Mirand Hitti
http://www.webmd.com/news/20061110/happinessgood-
for-health (accès à ce site le 10 février 2009).
2. Ibid.



Bien vivre malgré les défis de la vie
Jackson Watembo, Ronkai, Kenya, Afrique de l’Est
Mercredi POUR PASSER À L’ACTION
Gn 6 ; 7 ; 12.1-7 ; Ga 5.22-26

Nous vivons dans un monde d’incertitudes
et de changements. Beaucoup de
choses échappent à notre contrôle. Notre
façon de gérer ces événements dépend de
la façon dont nous les voyons et y réagissons.
L’optimisme espère le meilleur de la
vie et s’y attend. Il suppose la patience et
la persévérance.

Remettez vos soucis et
vos anxiétés au Seigneur
par la prière. Puis
détachez-vous-en.


Lorsque nous croyons que nous sommes
le jouet des circonstances, et lorsque nous
geignons et nous lamentons, non seulement
nous nous exposons à la défaite,mais nous
affaiblissons aussi notre résolution d’être
heureux. Ceux qui font preuve d’optimisme
obtiendront non seulement le courage
d’exercer l’optimisme la prochaine fois
qu’un problème surgira, mais ils prépareront
aussi leur coeur et leur esprit à faire
face aux prochains défis.

Comment développe-t-on l’optimisme ?

Faites preuve de foi.
Beaucoup d’entre
nous sont déprimés parce que, refusant de
marcher par la foi, ils ne se jettent jamais à
l’eau. Pourtant, ce n’est que lorsque Pierre
amis les pieds dans l’eau qu’il a pumarcher
sur l’eau ! Si nous ne faisons pas le premier
pas, nous n’irons nulle part.

Faites confiance à Dieu. Cette confiance
n’a rien à voir avec l’étourderie. Elle signifie
qu’en dépit des circonstances, nous croirons
et aurons foi que les promesses de
Dieu s’accompliront dans notre vie. Noé
a fait confiance à Dieu, même s’il
n’avait jamais plu auparavant. Abraham
a fait confiance à Dieumême si Dieu ne lui
avait pas révélé sa destination.

Priez. Beaucoup parmi nous ne sont pas
optimistes parce qu’ils ne consacrent que
très peu de temps à la prière. Ils se débattent
avec leurs fardeaux et refusent de les
remettre au Seigneur. Remettez vos soucis
et vos anxiétés au Seigneur par la prière.
Puis détachez-vous-en.

Choisissez un mode de vie sain. Des études
ontmontré que l’exercice et l’alimentation
saine peuvent contribuer à notre bonheur.
L’exercice oxygène toutes les cellules du
corps. Ceci nous garde alertes et forts.
Une alimentation saine nous aide à combattre
les rhumes, la grippe, les cancers,
entre autres. En prenant soin de notre
corps, il nous sera plus facile de relever
les défis de la vie avec optimisme.
Ceux qui redoutent les circonstances
de la vie entravent l’oeuvre de Dieu en eux
et ne peuvent, par conséquent, faire l’expérience
d’une vie abondante. En revanche,
les optimistes marchent dans la vie avec
courage et espérance. Ils portent beaucoup
de fruits.

BRAINSTORMING
Revoyez les suggestions ci-dessus. Choisissez-
en deux sur lesquelles vous devez travailler.
Puis, concevez un plan qui vous
aidera à atteindre votre objectif.



Les asticots de Satan
Isaac Nyakundi Mokaya, Kisii, Kenya, Afrique de l’Est
Jeudi OPINION
Rm 13.11,12

« Cela importe d’autant plus que vous
savez en quel temps nous sommes : c’est
l’heure de vous réveiller enfin du sommeil,
car maintenant le salut est plus près de
nous que lorsque nous avons cru. La nuit
est avancée, le jour approche. Dépouillonsnous
donc des oeuvres des ténèbres, et
revêtons les armes de la lumière. » (Rm
13.11,12, LSG)

Nous sommes appelés à faire les oeuvres
de Dieu. Beaucoup disent que Christ tarde,
et qu’il n’a pas tenu sa promesse de revenir et
de nous emmener au ciel. Et pourtant, il
ne tarde pas ! « Le Seigneur ne tarde pas dans
l’accomplissement de la promesse, comme
quelques-uns le croient ; mais il use de
patience envers vous, ne voulant pas qu’aucun
périsse,mais voulant que tous arrivent
à la repentance. » (2 P 3.9, LSG) Dieu est
patient parce que le diable ne dort pas.
Celui-ci, flanqué de ses anges, oeuvre sans
relâche pour nous arracher au Seigneur.

Le monde grouille d’asticots.


Un jour, un pasteur reçut une invitation
à prêcher à une église éloignée. Il prépara
donc suffisamment de nourriture pour
ses canards et ses poulets afin qu’ils ne
souffrent pas de son absence. À son retour,
une semaine plus tard, il découvrit avec
horreur que ses poulets et ses canards étaient
tombés dans les latrines ! Armé d’une
lampe de poche, il jeta un coup d’oeil. En
voyant les asticots se tortiller, il comprit
ce qui s’était passé. Poulets et canards
s’étaient jetés tête première dans les latrines
parce qu’ils préféraient les asticots à la
bonne nourriture qu’il leur avait laissée !

Le monde grouille d’asticots placés par
Satan.Mais louons Jésus parce que, comme
le pasteur qui secourut ses canards et ses
poulets, il nous arrache à ce monde et
nous attire vers Dieu.

BRAINSTORMING
1. Identifiez certains pièges du diable.
2. Comment les éviter ? Lisez Proverbes
3.5, 6.
3. Comment Dieu vous a-t-il aidé lorsque
vous étiez tenté par Satan ?
4. Désirez-vous autant que Dieu que personne
ne périsse ? Si votre réponse est
négative, demandez-vous pourquoi. Que
faire pour changer ?
5. Revoyez Romains 13.11, 12. En quoi le
fait de « revêtir les armes de la lumière »
est-il une métaphore de l’optimisme



Je vous donne ma paix
David Esmond, Hedgesville, Virginie de l’Ouest, États-Unis
Vendredi EXPLORATION
Ph 4.6,7

POUR CONCLURE
Les maladies incurables, les changements
climatiques désastreux, et les crises
financières ne sont que quelques-uns des
problèmes faisant trembler de peur l’humanité.
Cependant, Dieu n’a pas laissé son
peuple sans défense ou sans espérance.
Il a départi à chacun de ses enfants une
« mesure de foi » mieux utilisée lorsque
placée en lui (Rm 12.3). Par la foi en Dieu
et en sa Parole, nous avons à notre disposition
la force de relever n’importe quel défi.
Pour être en paix, nous devons utiliser tout
ce que Dieu désire nous donner.

COFFRE AUX IDÉES
• Pendant une semaine, écoutez les nouvelles.
Combien de mauvaises, combien
de bonnes ? Comment ces nouvelles
façonnent-elles notre état mental ?
• Faites une liste des dix choses qui vous
stressent le plus. Essayez de trouvez
deux façons positives de les gérer. Puis
calculez combien de temps vous perdez
chaque semaine en répondant négativement
aux stress de votre vie.
• Organisez un repas en commun chez
vous. Invitez plusieurs amis et connaissances.
Demandez à vos invités de mentionner
une chose pour laquelle ils aimeraient
une prière spéciale ou du soutien.
Prenez un moment pour présenter leurs
requêtes à Dieu.
• Pensez à un défi dans votre vie que vous
n’avez pas remis entre lesmains de Dieu.
Méditez sur Jacques 4.2, et 1 Pierre 5.7.
Pourquoi ne pas le lui remettre entre les
mains en cet instant même ?

POUR ALLER PLUS LOIN
Philip Yancey, Prayer, chapitre 11.
Ellen G. White, Le ministère de la guérison,
chapitre 18.

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