LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Sunday, October 18, 2009

TROMPETTE, SANG, NUEE ET FEU

Trompette, sang, nuée et feu

« Purifiez-vous donc ! Éliminez ce vieux levain pour que vous deveniez semblables à une pâte nouvelle et sans levain. Vous l’êtes déjà en réalité depuis que le Christ, notre agneau pascal, a été sacrifié. » (1 Corinthiens 5.7)

Code rouge

Daniel Saputra, Palembang, Sumatra du Sud, Indonésie
INTRODUCTION
Ex 12.11,27 ; Nb 9.10 ; Mt 26.41

Le Nouvel An lunaire est un festival chinois important. Selon la légende, un monstre venait chaque veille du Nouvel An chinois et tuait beaucoup de gens. Ceci se produisit jusqu’à ce qu’un être immortel vienne et révèle au peuple que le monstre avait peur de la couleur rouge et des bruits assourdissants. Le Nouvel An suivant, les gens tuèrent des animaux et aspergèrent de sang les linteaux de leurs portes. À la vue du sang, le monstre s’en- fuit. Aujourd’hui, les Chinois mettent du papier rouge ou du tissu rouge sur les lin- teaux de leur porte et font éclater des pétards lors du Nouvel An. La veille, les familles se rassemblent pour manger du poisson et du poulet, lesquels sont servis entiers.

Avant leur sortie d’Égypte, Dieu ordon- na aux Israélites de tuer un agneau et d’as- perger de son sang les linteaux de leurs portes. C’était le sacrifice de la Pâque du Seigneur. Ils devaient manger à la hâte l’agneau après l’avoir rôti au feu (Ex 12.9,11). La Pâque signifiait leur libéra- tion de la persécution et de l’esclavage des Égyptiens.

Avant de quitter leur campement au Sinaï, les Israélites célébrèrent le premier anniversaire de la Pâque dans la liberté. Dieu ne voulait pas qu’ils oublient leur rédemption miraculeuse de l’esclavage égyptien. Peu après, le Seigneur les condui- sit jusqu’au désert de Paran, les guidant le jour dans une colonne de nuée, et la nuit dans une colonne de feu (Nb 10.33,34).

À la vue du sang, le monstre s’enfuit.

Jésus-Christ, notre Agneau pascal, nous a délivrés de l’esclavage du péché. Le repas du Seigneur est la Pâque chrétienne. Comme les Israélites, après avoir mangé l’agneau pascal, nous recevons l’instruc- tion de répandre l’Évangile et de veiller et prier, afin de ne pas tomber dans la tenta- tion (Mt 26.41). Comme les Israélites dans le désert de Paran, nous devons suivre ses instructions sans nous inquiéter de ce qui nous arrivera.

Cette semaine, nous nous pencherons sur le repas du Seigneur, rappel de son sacrifice et de ce que nous devons faire en son nom.


La Paque ou le repas du Seigneur

Henry Wijaya, Malang, Indonésie
IL EST ÉCRIT
1 Jn 2.3-11
Ex 12.1-29 ; Nb 9 ; Mt 26.36-43 ; Lc 22.14-20 ; Jn 1.29

Jésus est le véritable prêtre de Dieu. Nous n’avons besoin de personne d’autre à cet égard. L’agneau sacrificiel n’était qu’un prélude au sacrifice de Jésus sur la croix pour nos péchés. C’est pourquoi Jésus est appelé l’Agneau de Dieu (Jn 1.29).

Le pain sans levain représente son corps, et le vin, son sang.

Aujourd’hui, les nombreux chrétiens participant au repas du Seigneur célèbrent en fait la Pâque. Ce repas, tout comme celui de la Pâque, souligne le sacrifice de Jésus en tant qu’« Agneau de Dieu ». Le pain sans levain représente son corps, et le vin, son sang.

« Bien que compris et mis en pratique de façons différentes par les différents chrétiens, le repas du Seigneur est d’une importance centrale pour tous les croyants. Le rite institué lors du dernier repas du Christ est appelé par des noms différents, et interchangeables : l’Eucharistie, remer- ciement pour les dons de Dieu ; la com- munion, soulignant la fraternité avec Christ ; et le repas du Seigneur, dénotant l’origine du service1. »,

« Le quatorzième jour du mois, au soir, commençaient les émouvantes cérémonies de la Pâque commémorant la délivrance de la servitude égyptienne et annonçant le grand sacrifice qui devait libérer les hommes de l’esclavage du péché. Ces cérémonies, qui ont perdu leur valeur à la mort du Sauveur, ont été remplacées par la sainte communion, sym- bole commémoratif de cette mort, préfigu- rée par la Pâque2. »

Le repas du Seigneur dans l’Ancien Testament (Ex 12.1-29 ; Nb 9)

Le Seigneur institua la Pâque juste avant de faire sortir Israël de l’Égypte. Cette fête annonçait l’Agneau de Dieu, lequel délivrerait l’Israël spirituel de l’es- clavage du péché.
Moïse dit aux Israélites de tuer un agneau pascal et de mettre son sang sur les linteaux de leurs portes. Cette nuit- là, un ange du Seigneur tuerait tout mâle premier-né de toutes les maisons n’ayant pas de sang sur leurs linteaux. (Ex 12.21-24)

« La Pâque, qui rappelait la déli- vrance des enfants d’Israël, était aussi un type, annonçant le Christ, l’Agneau de Dieu, immolé pour la rédemption de l’homme déchu. Le sang aspergé sur les linteaux préfigurait le sang expiatoire du Christ, et aussi la dépendance conti- nuelle de l’homme pécheur à l’égard des mérites de ce sang pour être protégé de la puissance de Satan, et pour la rédemption finale. Christ mangea la Pâque avec ses disciples juste avant sa crucifixion, et la même nuit, il institua la Cène, laquelle devait être observée en commémoration de sa mort. À la fois commémorative et préfigurative, la Pâque était célébrée pour commémorer la délivrance des enfants d’Israël de l’Égypte. Le type rencontra l’antitype lorsque Christ, l’Agneau de Dieu sans tache, mourut sur la croix. Il laissa une ordonnance pour commémorer les événements de sa crucifixion3. »

Le repas du Seigneur dans le Nouveau Testament (Lc 22.14-20)

Voici pourquoi les chrétiens célèbrent la Pâque différemment : Dans le Nouveau Testament, Jésus est l’Agneau de Dieu devant être sacrifié pour nous libérer de l’esclavage du péché. Pour les chrétiens, le repas du Seigneur est donc un mémo- rial et un tribut aux souffrances de Jésus. Les adventistes célèbrent la Cène telle qu’énoncée par Jésus à ses disciples.

« Il leur dit : Combien j’ai désiré prendre ce repas de la Pâque avec vous avant de souffrir ! [...] Puis il prit du pain et, après avoir remercié Dieu, il le rompit et le leur donna en disant : Ceci est mon corps qui est donné pour vous. Faites ceci en mémoire de moi. Il leur donna de même la coupe, après le repas, en disant : Cette coupe est la nouvelle alliance de Dieu, garantie par mon sang qui est versé pour vous. » (Lc 22.15,19,20)

Voici ce que nous lisons au sujet de l’importance du repas du Seigneur : « Le salut des hommes dépend d’une applica- tion continuelle du sang purificateur de Jésus sur leur cœur. Par conséquent, le repas du Seigneur devait être observé plus fréquemment que la Pâque annuelle. Cette ordonnance solennelle commémo- re un événement de loin plus grand que la délivrance des enfants d’Israël de l’Égypte. Cette délivrance était un type de la grande expiation que Christ fit par le sacrifice de sa propre vie pour la rédemp- tion finale de son peuple. »

BRAINSTORMING
1. Décrivez la relation entre la Pâque de l’Ancien Testament et la Cène du Nou- veau Testament.
2. Restez-vous à la maison les sabbats où votre église célèbre la communion ? Si oui, pourquoi ?
3. Considérez la façon dont votre église célèbre la communion. Comment la célébrer de façon plus spirituelle, de façon à nous faire davantage réfléchir ?
4. Pourquoi devons-nous commémorer le
sacrifice du Christ en notre faveur ? ____________ 1. Commentary Reference Series, vol. 12 – SDA Theology,
p. 595. 2. Ellen G. White, Patriarches et prophètes, p. 527. 3. Spirit of Prophecy, vol. 1, p. 201. 4. The Signs of the Times, 25 mars 1880.


« Voici l’Agneau de Dieu »

Roy Maju Hutasoit, Bandung, Indonésie
ESPRIT DE PROPHÉTIE
1 Co 5.7

« La Pâque devait être une fête à la fois commémorative et préfigurative. Non seule- ment elle rappelait la délivrance de la ser- vitude égyptienne, mais elle préfigurait la suprême délivrance que Jésus devait apporter au monde. L’agneau du sacrifice représentait “l’Agneau de Dieu”, notre unique espérance de salut. Par son immolation, dit l’apôtre Paul, le Christ est devenu “notre Pâque” (1 Co 5.7). Mais il ne suffisait pas que l’agneau pas- cal fût immolé ; il fallait que son sang fût aspergé sur les poteaux de la porte. C’est ainsi que les mérites du Sauveur sont imputés aux âmes croyantes. Jésus a non seulement donné sa vie pour le monde, mais pour chacun indi- viduellement, à condition qu’il s’approprie les vertus de son sacrifice expiatoire1. »

« Le salut des hommes dépend d’une application continuelle du sang purificateur de Jésus sur leur cœur. Par conséquent, le repas du Seigneur devait être observé plus fréquemment que la Pâque annuelle. Cette ordonnance solennelle commémore un évé- nement de loin plus grand que la délivrance des enfants d’Israël de l’Égypte. Cette déli- vrance était un type de la grande expiation que Christ fit par le sacrifice de sa propre vie pour la rédemption finale de son peuple 2. »

« L’exemple du Christ nous interdit de nous montrer trop exclusifs en ce qui concerne la cène du Seigneur3. » Pourquoi ?

(a) « Le Christ est là pour apposer son sceau, par le Saint-Esprit, sur l’ordonnance qu’il a établie. Il est là pour convaincre et attendrir le cœur... Chaque disciple est appe- lé à y participer publiquement, pour témoi- gner ainsi du fait qu’il accepte le Christ comme son Sauveur personnel... Tous ceux qui s’approchent en plaçant en lui leur confiance se trouveront richement bénis 4. » (b) « Le service de communion fait penser au retour du Christ. Il était destiné à ranimer cette espérance dans l’esprit des disciples...

« Le service de communion ne doit pas faire naître la tristesse ».

L’espérance du retour du Seigneur était un réconfort dans les afflictions. Cette pensée leur était précieuse au-delà de tout ce que l’on peut imaginer 5 ». (c) « Chaque service de communion nous communique une force spirituelle. Il s’établit ainsi une relation vivante entre le croyant et le Christ, et, par lui, entre le croyant et le Père 6. »

BRAINSTORMING
1. Qu’implique cette déclaration : « Le service de communion ne doit pas faire naître la tristesse » 7 ?
2. Aujourd’hui, on croit fréquemment que les ordonnances soulignant l’humilia - tion et la souffrance de notre Seigneur ne sont qu’une simple forme, que la célébration d’un événement, en fait. En quoi cette façon de voir est-elle erro-
née ? ____________ 1. Patriarches et prophètes, p. 249. 2. Spirit of Prophecy, vol. 3, p. 228. 3. Jésus-Christ, p. 660, 661. 4. Ibid., p. 661, 662. 5. Ibid., p. 663. 6. Ibid., p. 665. 7. Ibid., p. 662.


Direction divine pendant le voyage
Fritz et Joice Manurung, Jakarta, Indonésie
PREUVE À L’APPUI
Nb 9.15,16 ; 10.1-10

« Nombres (L. numeri, Gr. Arithmoi) est le livre du test. Il est ainsi nommé parce que les Israélites furent deux fois dénombrés (chap. 1 et 26) : la première fois au début de l’Exode, et la seconde à la fin de leurs 38 ans d’errance dans le désert. Nombres couvre cette période allant du second mois de la seconde année après l’Exode jusqu’au dixième mois de la qua- rantième année1. »

Nombres 9 et 10 nous parlent de la préparation des Israélites pour leur voyage vers la terre promise. Dieu leur donna des règles strictes. « Dieu voulait qu’ils adoptent un style de vie distinct des autres nations. Il voulait qu’ils soient un peuple saint. Dieu les préparait, à la fois spiri- tuellement et physiquement, à recevoir leur héritage2. »

Nous nous préparons, nous aussi, à entrer dans notre terre promise, le ciel. L’Église est notre camp. Dieu nous donne des règles strictes pour une vie pure. Il nous prépare à recevoir notre héritage éternel en nous purifiant et en nous sanc- tifiant.

Dieu protégea les Israélites pendant leur voyage vers la terre promise (Nb 9.15,16). « Une colonne de nuée le jour et une colonne de feu la nuit dirigèrent et protégèrent les Israélites tandis qu’ils traver- saient le désert. La nuée et le feu n’étaient pas des phénomènes naturels, mais le véhicule de la présence de Dieu. Ils prouvèrent de façon visible qu’il dirigeait son peuple3. » Dieu se servit aussi de trom- pettes d’argent pour guider son peuple.

L’Église est notre camp.

Avant d’entrer au ciel, nous devons suivre les directives divines pour connaître la volonté de Dieu à notre égard. Par son esprit qui nous guide jour et nuit, il nous révélera sa volonté.

BRAINSTORMING
1. Comment Dieu nous protège-t-il aujourd’hui ?
2. Est-il plus important de prier sur ce que Dieu attend de nous maintenant, ou sur ce qu’il attend de nous plus tard ?
Pourquoi ? ____________ 1. Merrill F. Unger, Unger’s Bible Handbook: An Essential Guide
to Understanding the Bible, 1ère edition, Chicago, Moody
Press, 1967, p, 121. 2. New Living Translation: Life Application Study Bible,
Wheaton, Ill., Tyndale House Publishers Inc., 1996, p.
196, 197. 3. Ibid., p. 211.


Un rappel de son salut
Danny et Rachel Handoko, Eindhoven, Pays-Bas
POUR PASSER À L’ACTION
Ex 12.1-29 ; Mt 26.36-43

La Pâque devait rappeler aux Israélites la capacité de Dieu de les sauver, de même que sa promesse de leur donner un nou- veau pays. Dans le Nouveau Testament, Jésus donna à ses disciples un autre rappel du salut (Mt 26.36-43). La description de ces deux événements nous permet d’en- richir notre expérience de la communion et d’affermir notre vie spirituelle.

1. Souvenez-vous comment vous en êtes venu à accepter le salut (Ex 12.17). Dieu dit aux Israélites de célébrer la Pâque chaque année parce qu’il les avait fait sortir d’Égypte. Jésus nous libère du péché. La communion, par conséquent, nous rappelle qu’il est notre Sauveur et la façon dont il nous a sau- vés.

2. Préparez un sacrifice spécial (Ex 12.3-6). Les Israélites sacrifiaient un agneau sans défaut. Quel sacrifice spé- cial pouvons-nous faire ? Une offrande d’actions de grâce ? Un sacrifice de temps et d’effort pour aider autrui ou pour participer à une activité d’église ? Utilisez votre sacrifice pour réfléchir à la supériorité du sacrifice de Jésus en votre faveur.

3. Faites quelque chose de spécial en ce jour (Ex 12.7,26,27). Les Israélites devaient asperger les linteaux de leurs portes. C’était là un témoignage public de leur foi et un symbole du sang expiatoire du Christ pour le péché. Pourquoi ne pas mettre un « signe » à votre porte ? Ce « signe » peut vous fournir l’occasion de témoigner de votre foi. Autre signe : le caractère chré- tien.

4. Prenez un repas spécial (Ex 12.8-11).
Les agapes après la communion sont parfaites pour fraterniser et pour partager votre gratitude avec d’autres membres d’église. Vous pouvez aussi partager un « repas » en « mangeant » la Parole de Dieu, en l’étudiant seul ou entre amis.

Pensez aussi au caractere chretien en tant que signe de l'expiation du Christ pour le peche.

5. Répétez les promesses divines. Dieu a promis aux Israélites qu’il leur donne- rait la terre promise (Ex 12.25). Et cette promesse – la terre promise céleste – est aussi la nôtre !

BRAINSTORMING
1. Comment appliquer personnellement les suggestions précédentes lors de la prochaine communion à l’église ?
2. Quel danger court-on en laissant le ser- vice de communion devenir une autre routine religieuse ?
Pensez aussi au caractère chrétien en tant que signe de l’expiation du Christ pour le péché.
42


Faites-lui confiance 22 et soyez sauvé !
Osvald Taroreh, Jakarta, Indonésie
OPINION
Jn 3.16,17 ; Ac 4.12 ; He 5.9

Patrick, mon fils, âgé de cinq ans, est assis à côté de moi lors de la communion. « Pourquoi les enfants ne peuvent-ils pas manger le pain et boire le jus, Maman ? » Je lui explique qu’il pourra y participer après son baptême. Mais avec le temps, je me rends compte que ma réponse n’est pas juste.

« Pourquoi les enfants ne peuvent-ils pas manger le pain et boire le jus ? »

« Il faut amener les enfants à com- prendre ce service de bonne heure », dit notre pasteur. J’apprends alors deux leçons importantes : d’abord, le salut est pour tout le monde, et ensuite, nos enfants doivent découvrir Jésus dès leur plus tendre enfance.

Tout le monde peut participer à la communion, peu importe leur confession chrétienne, parce que la promesse du salut de Dieu est donnée à tous (Jn 3.16,17 ; He 5.9).

Si, par le passé, les péchés pouvaient être pardonnés par le sacrifice d’un agneau et si, aujourd’hui, ils sont pardonnés grâce au sacrifice de Jésus sur la croix, alors nous pouvons nous repentir et être sauvés. « Jésus est notre unique espérance. “Il n’y a, sous le ciel, aucun autre nom qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions êtres sauvés.” “Car il n’y a de salut en aucun autre*.” »

Trois mois plus tard, nous célébrons de nouveau la communion. L’épouse du pasteur prépare un pain spécial, semblable au pain de communion. Elle apporte aussi du jus de fruit (autre que le jus de raisin) pour les enfants. Dans leur classe de l’École du sabbat, ils participent à la « commu- nion ». Les monitrices veulent ainsi leur enseigner que Jésus s’est sacrifié pour eux en mourant sur la croix. Patrick est tout content d’être impliqué et d’apprendre des leçons importantes grâce à ce service de communion. * Ellen G. White, Patriarches et prophètes, p. 51.

Tandis que mon fils découvre les promesses de pardon et de salut de Dieu à notre égard, nous pouvons de même apprendre à faire confiance aux mêmes promesses merveilleuses qui nous sont données. ____________


Droit devant

Sonia Huenergardt, Bishop, Californie, États-Unis
EXPLORATION
Nb 9.1,2
POUR CONCLURE

Lorsque Dieu délivra les enfants d’Israël du joug égyptien et les conduisit au mont Sinaï, il déploya devant eux une série de miracles. Ils campèrent au pied de la montagne pendant environ deux ans. Dieu leur donna personnellement sa loi morale, et les instruisit quant aux lois civiles et aux cérémonies religieuses qu’ils devaient observer dans le nouveau pays. Ils reçurent des plans pour le sanctuaire et le construi- sirent. Finalement, ils célébrèrent leur pre- mière Pâque depuis leur libération. Dieu les conduisit le jour par une colonne de nuée, et la nuit par une colonne de feu, par des trompettes, pour les établir dans un nouveau pays où ils formeraient un nou- veau royaume sous sa souveraineté.

COFFRE AUX IDÉES
• Réfléchissez à votre vie chrétienne. Relevez les moments où Dieu vous a conduit comme par une colonne de nuée, une colonne de feu, ou une trompette.

• Faites une charte à partir des événements d’Exode 14 jusqu’à Nombres 14.

• Méditez sur ce que Jésus a enduré pour devenir votre Agneau pascal.

• Lisez Exode 12, puis dressez la liste de tous les détails relatifs à la célébration de la Pâque, et de toutes les façons dont Jésus a accompli ces détails.


• Célébrez la communion avec votre famille ou quelques amis intimes dans un endroit unique (par exemple à la plage – le ser- vice de lavement des pieds se faisant dans la mer ; dans le salon après un culte musi- cal).

• Organisez la Fête des agapes pour votre prochain service de communion. Cette fête se déroule habituellement en soirée. Elle comprend le lavement des pieds, un simple repas avec de la musique contem- plative, la communion, et des témoi- gnages.

POUR ALLER PLUS LOIN
Ellen G. White, Patriarches et prophètes, p. 374-386.
Stephen N. Haskell, The Cross and Its Shadow, p.
Leslie Hardinge, With Jesus in His Sanc - tuary, p. 429-442.

No comments:

Post a Comment