LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Tuesday, April 6, 2010

LA LIBERTE DE CHOIX

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Voici la lecon presentes par le Pasteur Doug Batchelor de http://www.amazingfacts.org

http://oneyearbibleimages.com/forkinroad.jpg

Cliquez sur le lien qui suit pour avoir acces a un video de la lecon de l'Ecole du Sabbat presentee par le Dr Derek Norris de l'Eglise de Lake Forest:

http://media.forestlakechurch.org/content/media/2010q204-10-power-choice


www.autresregards.be

La liberté de choix


1. Dt 30, 15-16 : Une proposition cherche preneur

Vois ! Ce texte si connu commence par un appel à regarder, à
prêter attention. Ce qui est dit là ne concerne pas seulement le
peuple d’Israël, n’exprime pas seulement quelques consignes
concernant son entrée en terre promise. C’est une parole pour
aujourd’hui. Au verset 15, cette notion de temps est répétée
deux fois, comme pour y insister. D’un côté, la proposition de la
vie et de la mort est toujours pour aujourd’hui, c’est une parole
actuelle qui nous est adressée individuellement (« devant toi ») ;
de l’autre, le Seigneur ne l’a pas ordonné une fois pour toutes
dans un passé lointain, mais sa proposition de vie devient
actuelle, pertinente pour celui qui l’entend aujourd’hui.

Les consignes pour la vie se présentent en trois volets : aimer le
Seigneur, marcher dans ses chemins et garder ses prescriptions.
La personne humaine est le sujet de ses attitudes et actions, elle
est donc appelée à s’engager pleinement, à être acteur de sa
vie, à prendre des initiatives plutôt que simplement exécuter des
ordres. Aimer le Seigneur ton Dieu raconte l’histoire d’amour
avec le Seigneur, marcher dans ses chemins implique un
cheminement accompagné, une croissance dans ma vie de
croyant qui ne se satisfait jamais des progrès atteints. Enfin, le
croyant qui garde les commandements de son Dieu, qui en prend
soin, se sait dépendant de son Dieu et de sa parole, n’est pas le
centre de son monde, mais est décidément tournée vers son
Dieu. Le texte décrit très simplement la conséquence de cette
relation avec mon Dieu : c’est plus que juste survivre, vivoter ou
exister, c’est vivre, être pleinement vivant, et en même temps
partager ce cadeau de la vie (« tu deviendras nombreux »). Cette
vie promise décrit le chemin vers un épanouissement dans
lequel j’ai la certitude d’être toujours accompagné par la
bénédiction de mon Dieu dans ma route vers la terre promise.

Dans le cadre de la leçon de cette semaine qui met en valeur le
choix dans le domaine de la santé, quel rôle attribuez-vous à
l’aujourd’hui, au moment présent ? Dans quelle mesure la parole
de Dieu écrite il y a des millénaires est toujours actuelle ?
Partagez vos expériences.


Le texte nous invite également à être acteur de notre vie, à
choisir d’aimer, à choisir de marcher … Quelles répercussions y
voyez-vous sur votre liberté (y compris dans le domaine de la
santé, du soin apporté au corps) ? Comment pouvons-nous en
témoigner ?

2. Dt 30, 17-18 : Des choix qui rendent esclaves

Vous pouvez comparer :

Sur la route de la vie et de la liberté Retour vers l’esclavage
(Je te commande …) d’aimer le Seigneur ton Dieu Ton coeur se détourne.
Tu n’écoutes pas

… de marcher dans ses chemins Tu te laisses entraîner Tu te prosternes devant
d’autres dieux

de garder ses commandements Tu sers (d’autres dieux)
® tu vivras, tu deviendras nombreux, tu seras béni … ® vous disparaîtrez
complètement


Sur la route vers la terre promise (vers la liberté), le Seigneur
invite à aimer, à marcher, à garder ses commandements. Chacun
y est appelé individuellement (« tu »). Je ne peux faire ce choix à
la place de mes parents, de mon conjoint ou de mes enfants ou
amis. De l’autre côté, mes mauvais choix peuvent avoir une
conséquence néfaste sur ma communauté (« si tu n’écoutes pas
… vous disparaîtrez complètement »). En observant
attentivement ces mauvais choix possibles, nous pouvons
constater que, lorsque le coeur du croyant se détourne de son
Dieu, il perd en fait le contact avec source de toute vie, s’il
n’écoute pas, il ne se reconnaît plus dépendant de son Dieu. En
se prosternant devant d’autres dieux et en les servant, l’humain
s’éloigne de plus en plus de ses possibilités de choix pour se
retrouver sous la domination d’un autre, pour finalement
(re)devenir esclave. En fait, du moment où je n’exerce pas ma
liberté, je régresse et retourne à l’esclavage en Egypte duquel le
Seigneur m’a arraché à la sortie d’Egypte (à la Pâque où Jésus
m’a sauvé en donnant sa vie).

Dans le cadre de la leçon de cette semaine qui met en valeur le
choix dans le domaine de la santé (en élargissant ce terme à « ce
qui est sain ou ne l’est pas »), à quel mauvais choix personnels
pourrions-nous penser qui mettent aussi en péril la
communauté (cercle d’amis, famille, relation de couple) ?

Avez-vous conscience du risque de redevenir esclave ? Quels
« autres dieux » pourrait-il y avoir dans nos vies qui nous
dominent, qui exercent sur nous une emprise ? Pensez par
exemple à des attitudes, des comportements … ?

3. Dt 30, 19-20 : Un appel à la vie

Ces versets répètent pratiquement les v. 15-16. Il nous paraît
pourtant pertinent de comparer les deux « versions », car c’est
des différences qu’émerge un sens pour nos vies. D’abord, il y a
un appel à témoins pas banal sous la forme du ciel et de la terre.
On pourrait par exemple comprendre le ciel comme espace du
Seigneur associé à l’espace des humains, la terre.

Au v. 15 c’est la personne de Dieu qui apparaît en premier (« je
mets ») alors que le v. 19 donne la priorité à la proposition de la
vie. Ce n’est pas une proposition neutre, mais Dieu fait tout ce
qui est possible pour « pousser » l’homme vers le bon choix
pour lui et son entourage. Ce choix de vie est décliné autrement
qu’au v. 15 : Là où il était question d’aimer, de marcher et de
garder les commandements, le texte se déplace résolument vers
le domaine relationnel : aimer, écouter, s’attacher. Du moment
où j’écoute l’appel insistant de Dieu pour faire un choix de vie, il
n’y a plus lieu d’insister sur des règles ; la relation d’amour
s’approfondit, le désir d’écouter transforme la pratique de
commandements en attachement fidèle au Dieu de la vie. La
promesse du pays se trouve également approfondie par le
serment du Seigneur lui-même fait aux ancêtres. Dieu ne peut se
renier lui-même, il s’engage de toutes les manières possibles afin
que l’homme choisisse la vie !

Quelle est ma réaction face à l’engagement en faveur des
humains, face à tous ces « efforts », face à tant de bonté de la part
de Dieu afin que je choisisse la vie, et non pas la mort ?

Quels chemins de mort peuvent encore exister dans ma vie ?
Comme ce passage insiste beaucoup sur « l’aujourd’hui », nous
pouvons toujours faire de petits choix pour aller vers plus de vie,
vers une plus grande qualité de vie ? Témoignez, écoutez-vous et
priez les uns pour les autres !

Qu’est-ce que j’aimerais retenir de ce texte pour mon hygiène de
vie (au sens large) ?

(Doris Vargas-Hordosch)

http://www.adventist.be/french/eds/02Sante10Avril2010.pdf

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