LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Sunday, April 18, 2010

LA SOURCE DE VIE




Voici le Pasteur Doug Batchelor de http://www.amazingfacts.org avec l'Eglise de Sacramento




Cliquer sur le lien qui suit pour un video de la lecon de l'Ecole du Sabbat presentee par le Dr. Derek Morris de l'eglise de Lake Forest


http://media.forestlakechurch.org/content/media/2010q204-24-water-life


www.cqbiblestudy.org

La source de la vie
« Celui qui boira de l’eau que je lui donnerai, n’aura jamais
soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source
d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. »
(Jean 4.14, SER)


Pas une goutte à boire !
Deena Bartel-Wagner, Spencerport, New York, États-Unis
Sabbat INTRODUCTION
Ap 21.6

« De l’eau, de l’eau partout, et pourtant,
pas une goutte à boire. » Ces lignes
du poème intitulé The Rime of the Ancient
Mariner (Rime de l’ancien marin) de Samuel
Taylor expriment un désir ardent et communiquent
le besoin vital d’eau.

Qu’y a-t-il de plus simple que l’eau ?

Elle ne compte aucune calorie et souvent ne
goûte rien. Nous avons tendance à la prendre
pour acquise, et généralement, nous n’en consommons
pas suffisamment.Mais quand elle
vient àmanquer, ce que nous pouvons avoir
envie d’un grand verre d’eau !

Notre corps est composé de 70 % d’eau.
S’il peut survivre de 50 à 80 jours sans
nourriture, trois jours sans eau lui sont
fatals. La déshydratation s’installe rapidement
; toutes sortes d’aberrations physiques
se manifestent en son absence.

Saviez-vous que la Bible regorge d’histoires
et de références impliquant l’eau ?
L’eau a servi d’agent purificateur (Noé et le
déluge). Dieu a assuré de l’eau à son prophète
(Élie au torrent de Kerith). Il a utilisé
l’eau du Nil pour envoyer un message
au pharaon entêté. Jésus a changé de l’eau
en un vin délicieux lors d’une noce. La
femme samaritaine a été confrontée à son
besoin d’eau vive à un puits qui constituait
la source d’eau d’un village tout entier.
C’est là que Jésus a promis de fournir à ses
disciples une eau qui les désaltérerait éternellement.

Bien que le Créateur ait recouvert d’eau
72 % de la surface de la terre, Christ a dit
à la femme au puits que même avec toute
cette eau, elle aurait encore soif si elle ne
venait puiser à la source de vie sur une
base quotidienne.

Vous arrive-t-il souvent de boire de l’eau
sans penser à la source de vie et à ce qu’elle
signifie pour vous chaque jour ? Cette semaine,
nous examinerons des histoires d’eau
tirées de la Bible, et leurs implications dans
notre vie aujourd’hui. Souvenez-vous de la
sensation de l’eau dans le baptistère le jour
de votre baptême, tandis que vous étiez
purifié de vos péchés…Réfléchissez à combien
votre vie serait desséchée sans l’eau
de la vie à laquelle vous avez accès depuis
que vous avez choisi d’être un disciple
Christ.

De l’eau, partout, et pourtant, pas une
goutte à boire…Aujourd’hui même, buvez
à longs traits à la source de la vie.
Qu’y a-t-il de plus simple
que l’eau ?




De l’eau, s’il vous plaît, sans glace
Gary Wagner, Spencerport, New York, États-Unis
Dimanche IL EST ÉCRIT

Gn 2.10 ; Es 40.31 ; Mt 9.2-7 ;
Jn 4.1-26 ; 9.1-11 ; Rm 6.1-6


« De l’eau, de l’eau partout » (Jn 4.14)
L’eau est tellement omniprésente qu’il
semble presque superflu d’en parler. Tout
le monde sait ce qu’est l’eau et à quoi elle
sert. Les seuls qui doivent l’étudier, ce
sont les biologistes moléculaires qui désirent
comprendre la composition, l’application
et la fonction des plus petites parties de ses
plus minuscules parties.

Alors, de l’eau, vous en avez ?

En supposant que Dieu ait créé l’eau
avec tout le reste de la création, pourquoi
l’eau constitue-t-elle la commodité la plus
abondante et reconnaissable sur terre (du
moins de l’espace) ? Et pourquoi dépensons-
nous tant de temps et d’argent pour
voir s’il y en a sur Mars ? Les savants nous
disent que l’eau est la substance fondamentale
la plus essentielle à l’existence de la
vie. Après tout, Dieu aurait pu faire les
choses de n’importe quelle manière, selon
les lois naturelles de son choix. Dans l’univers,
il n’existe pas de coïncidence pour
Dieu.

Alors, que voulait dire Jésus lorsqu’il
dit à la femme au puits : « Celui qui boira
de l’eau que je lui donnerai n’aura plus
jamais soif : l’eau que je lui donnerai deviendra
en lui une source d’où jaillira la vie
éternelle » (Jn 4.14) ? La femme avait vécu
pendant un certain temps sans boire l’eau
que Jésus lui offrait. Privée de l’eau de la
vie, elle s’était mariée cinq fois. Peut-être
que ceci, en soi, constitue un indice dans
notre quête d’une raison pour étayer notre
intérêt pour l’eau.

Double signification de l’eau (Gn 2.10-14)
L’eau est physique et spirituelle (symbolique).
Nous l’utilisons pour nous laver,
pour mieux paraître, pour être socialement
plus acceptable. Mais en fait, elle nous aide
à prévenir la maladie. Nous pouvons laver
ce qui est sale et constitue potentiellement
un risque de maladie. En gardant notre
corps bien hydraté, nos organes peuvent
rassembler, filtrer, et éliminer les corps
microscopiques étrangers dangereux et les
cellules usées.

L’eau spirituelle nous purifie des effets
mortels et éternels du péché. Une âme
reliée à la source de cette eau est gardée
pure grâce au renouvellement constant de
la purification du Saint-Esprit.

Lorsque Genèse 2.10-14 parle du fleuve
d’eau qui traverse l’Éden, elle nous décrit
quatre fleuves tributaires de cette source
au pays où le péché est inexistant. Demême,
les quatre vents représentent les conflits
des quatre coins du monde. Même aujourd’hui,
il y a des fleuves en Inde qui, croit-on,
viennent des dieux, et « absolvent un
homme de tous ses péchés, le rendent pur,
simplement par leur vue divine1. » Ces
croyances proviennent de l’ancienne littérature
indienne. Elles pourraient fort bien
avoir été inspirées par le récit biblique de
Genèse 2.

La vraie source de l’eau (Jn 4.12 ; 1. Co 10.4)
Jésus est la source de cette eau vive
(Jn 4.12 ; 1 Co 10.4). « Nos prières font
passer les blessures du crucifié devant les
yeux du Très-Haut et couler à nouveau le
flot salutaire symbolisé par l’eau qui désaltérait
Israël2. » Partout nous voyons de
l’eau : dans les fleuves et les mers, dans la
vapeur de l’atmosphère, même à l’intérieur
de la membrane de chaque cellule de notre
corps. Ainsi, nous devons nous rappeler
que la grâce salvatrice et curatrice de Jésus
est ici même, prête à nous guérir du péché
et des maladies qu’il engendre. Nous ne
pouvons être séparés de cette eau ni de la
grâce de Jésus et vivre de façon spirituelle.

Le baptême d’eau a été désigné pour
enseigner ces leçons mêmes. Le tombeau
liquide de Romains 6.1-6 a le pouvoir physique
de tuer ; mais il porte en lui la promesse
de guérison pour la vie éternelle.
C’est là la nature enveloppante de l’eau.
Une personne qui reçoit le baptême est
censée se mouiller. Ainsi, par le mélange
des aspects physique et spirituel de l’eau,
Dieu fait de l’eau l’élément indispensable
d’une bonne santé : l’eau interne et l’eau
externe.

La promesse de la puissance de Jésus
dans Jean 14 se voit alors qu’il parle de la
relation entre lui, son Père et le Saint-Esprit.
Leurs frontières fluides nous empêchent
de déterminer où l’un termine et où l’autre
commence. Au verset 17, Jésus promet
l’Esprit qui « demeure avec vous et […]
sera toujours en vous. » Jésus ne se contente
pas seulement d’être avec nous ; il désire
habiter dans chaque cellule de notre être
physique et spirituel. Il aspire à être la
commodité omniprésente qui se voit par-dessus
tout, qu’on nous regarde juste en
passant ou qu’on nous scrute dans les
moindres détails pour déterminer la source
et la fonction de l’ambition de notre vie.
Notre relation avec lui doit être si intime
qu’aucune différence ne se verra entre
lui et nous. Jésus dit : « Parce que je vis et
que vous vivrez aussi. » (Jn 14.19)

Alors, de l’eau, vous en avez ?
____________
1. Saranathan, un fleuve sacré de l’Inde. http://pulivaha
nan.wetpaint.com/page/Holy+rivers+in+India_?t=ano
n (accès à ce site le 8 février 2009)
2. Ellen G. White, Patriarches et prophètes, p. 392.




Apaise ma soif, ô Dieu
Ashley Trecartin, Loma Linda, Californie, Etats-Unis
Lundi ESPRIT DE PROPHÉTIE
Jn 4.1-26

En créant la terre, Dieu a procuré de
l’eau en abondance aux humains. Il nous
a conçus avec ce besoin corporel d’eau
interne et externe. Sans eau, nul ne tient le
coup longtemps. En tant que chrétiens,
nous avons besoin chaque jour de l’eau de
la vie que l’étude de la Bible et la prière
apportent à notre vie.

« Pour les malades et pour les bien-portants,
l’eau pure est l’un des plus précieux
bienfaits du ciel. Son emploi judicieux
procure la santé. Elle est le breuvage offert
par Dieu aux hommes et aux animaux1. »
« Une eau fraîche et limpide jaillissant
d’une terre brûlée et stérile qu’elle couvre
d’un tapis de verdure émaillé de fleurs, et
qui rend la vie à ceux qui périssent, tel est
l’emblème de la divine grâce que Jésus
peut seul apporter aux âmes qu’elle purifie2.»

« Il aura toujours soif, celui qui cherche
à se désaltérer aux sources de ce monde.
Les hommes ont tous des besoins insatisfaits.
Ils soupirent après quelque chose
qui puisse rassasier leur âme. Un seul peut
répondre à ce besoin. C’est de Christ, “le
Désiré de toutes les nations”, que le monde
a besoin. […]

« Jésus ne voulait pas dire qu’une simple
gorgée d’eau de la vie pourrait suffire. Celui
qui a goûté à l’amour du Christ en voudra
toujours davantage ; seulement, il ne cherchera
pas autre chose. Il ne sera pas attiré par
les richesses, les honneurs et les plaisirs
du monde. Son coeur criera toujours : Encore
davantage de toi. Celui qui dévoile à
l’âme ses besoins n’attend que l’occasion
de pouvoir assouvir sa faim et sa soif3. »

« Celui qui a bu des eaux de la vie
devient lui-même
une source de vie. »


Dieu nous assure qu’en nous désaltérant
de cette eau indispensable chaque
jour, nous deviendrons nous-mêmes comme
des sources, et la partagerons avec les
autres.

« Celui qui a bu des eaux de la vie
devient lui-même une source de vie. Dès
qu’il a reçu, il commence à donner. La
grâce du Christ dans une âme est comme
une source dans le désert, jaillissant pour
rafraîchir tous les passants, donnant à
ceux qui allaient périr le désir de boire des
eaux de la vie4. »

BRAINSTORMING
Lorsque nous buvons de l’eau de la vie,
les attraits de ce monde sont censés perdre
automatiquement de leur puissance d’attraction
sur nous. Si vous luttez contre cette
attraction, de quelle façon la vaincre ?
____________
1. Le ministère de la guérison, p. 203.
2. Patriarches et prophètes, p. 392, 393.
3. Jésus-Christ, p. 167.
4. Ibid., p. 177.




De l’eau jaillissante, ou au compte-gouttes ?
Jordan Wagner, Spencerport, New York, États-Unis
Mardi PREUVE À L’APPUI
1 R 1.45 ; 2 Rois 20.20 ;
2 Ch 32.30 ; Jn 9.1-12

Jérusalem est construite sur une montagne
en calcaire. Au-dessous de cette
montagne se trouvent des cavernes creusées
par l’eau souterraine jaillissant de la
source de Guihon. Aux temps bibliques,
cette source était la seule eau alimentant
la ville. La Bible la mentionne à plusieurs
reprises, incluant l’onction de Salomon
comme roi d’Israël (1 R 1.45). En hébreu,
le nom Guihon signifie « jaillir ». La source
de Guihon n’avait pourtant pas un flot continuel.
Sa production d’eau était affectée par
les saisons et par la quantité annuelle de
pluie.

Les habitants de la ville utilisaient
un réseau
de galeries naturelles.


Cette source se nourrissait de l’eau
souterraine, laquelle s’accumulait dans les
cavernes. Une fois celles-ci remplies, l’eau
jaillissait à la surface, formant une mare.

L’eau coulait ensuite dans la vallée du
Cédron, et arrosait les champs ensemencés.
La Bible parle de ce secteur comme
du « jardin du roi » (2 R 25.4 ; Ne 3.15).

Comme cette source se situait à l’extérieur
de Jérusalem, l’approvisionnement en
eau était menacé lors d’une attaque. Les
habitants de la ville utilisaient un réseau
de galeries naturelles, lequel est aujourd’hui
appelé « puits de Warren », parce
qu’il a été découvert par C. Warren en
1867 lors d’explorations archéologiques.
Ce puits permettait à une personne de se
faufiler jusqu’à la source de Guihon et de
puiser de l’eau en utilisant un vase attaché
à une corde sans jamais avoir à quitter les
murs protecteurs de la ville.

L’eau de Guihon jaillissait aussi à travers
le tunnel d’Ézéchias jusqu’au réservoir de
Siloé. C’est à ce réservoir que Jésus envoya
l’aveugle pour qu’il soit guéri (Jn 9.1-12).
Ce tunnel, de même que des fortifications,
fut construit pendant le règne du roi Ézéchias,
à cause de la menace d’une invasion
assyrienne. Ce fait est mentionné dans 2 Rois
20.20 et 2 Chroniques 32.30
. Ces modifications
permirent plus tard la construction
du réservoir de Siloé à l’intérieur des
murs de Jérusalem.

BRAINSTORMING
1. Comment l’eau coulant de la source de
Guihon représente-t-elle le rôle que la
source de la vie devrait jouer dans notre
vie en tant que chrétiens ?
2. Utilisant les faits historiques tels que la
construction du tunnel d’Ézéchias et du
réservoir de Siloé, comment partageriezvous
avec un ami non-croyant l’histoire
de l’eau de la vie que Christ nous offre ?
____________
* Des informations sur cet article ont été rassemblées à
partir de la Bibliothèque virtuelle juive, une division de
la American-Israeli Cooperative Enterprise.
http://www.jewishvirtuallibrary.org/jsource/Archaeo
logy/jerwater.html (accès à ce site le 6 février 2009).



Traiter la déshydratation spirituelle
Jason Hammel, Rochester, New York, États-Unis
Mercredi POUR PASSER À L’ACTION
Mt 6.34 ; Jn 4.1-26 ; Ep 6.11 ; 1 P 5.8

Si vous cessez de boire de l’eau ne
serait-ce qu’une journée, cela suffira pour
avoir des maux de tête et des vertiges. Et si
vous vous continuez de vous prendre pour
un chameau, la circulation du sang vers
vos organes vitaux perdra de son efficacité
et vos capacités mentales en seront diminuées.
Imaginez maintenant ce qui se passe
quand un chrétien cesse de boire de l’eau
de la vie que nous offre Jésus…

Si vous restez dans cette situation, à coup sûr,
votre mort spirituelle n’est qu’une question de temps !


Les médias rapportent des histoires de
survie d’individus qui se sont perdus dans
les bois lors d’une simple promenade ou
d’une randonnée plus longue. Manquant
d’eau, ils se résignent à boire de l’eau polluée
pour survivre. Puis ils tombentmalades.
Si on ne les trouve pas à temps, tout est fini
pour eux.

Appliquons maintenant ce scénario à
un chrétien perdu dans lemonde, sans eau
spirituelle. Vous vous rendez compte que
vous êtes perdu. Vous prenez peur, vous vous
sentez désespéré, vous cherchez à boire
n’importe quoi pour survivre. Votre instinct
de survie à court terme prenant le dessus
sur les principes bibliques, vous buvez aux
« eaux polluées » des sources du monde.
Si vous restez dans cette situation, à coup
sûr, votre mort spirituelle n’est qu’une question
de temps !

Comment donc prévenir une telle situation?

Parez à chaque jour. Jésus dit : « Le lendemain
se souciera de lui-même. » (Mt6.34)
Si nous ne buvons pas suffisamment
d’eau spirituelle, nous deviendrons comme
un randonneur perdu, ayant épuisé ses
réserves d’eau. Par conséquent, « soyez
bien éveillés, lucides ! Car votre ennemi,
le diable, rôde comme un lion rugissant,
cherchant quelqu’un à dévorer » (1 P 5.8).
Lematin, ne quittez pas votre demeure sans
avoir bu de l’eau spirituelle. N’oubliez pas
d’en emporter avec vous, parce que vous
pourriez vous perdre en chemin. Souvenezvous
: même des randonneurs expérimentés
peuvent s’égarer.

Soyez averti. Paul nous conseille de revêtir
« toutes les armes que Dieu fournit, afin
de pouvoir tenir bon contre les ruses du
diable » (Ep 6.11). Buvez chaque jour et
souvent de l’eau de la vie que Jésus seul
procure. C’est ainsi que vous pourrez devenir
« une source d’eau qui jaillira jusque
dans la vie éternelle » (Jn 4.14, SER).

Souvenez-vous des symptômes qu’entraîne
la déshydratation spirituelle. Errance sans
but ; anxiété sans espérance ; tentation apparemment
irrésistible ; incapacité d’échapper
au filet des affaires du monde ; résistance au
conseil spirituel.

BRAINSTORMING
1. Quand avez-vous été spirituellement
déshydraté ? Comment vous êtes-vous
tiré d’affaire ?
2. Comment procurer du soulagement à
ceux qui ne se rendent même pas compte
qu’ils souffrent de déshydratation spirituelle?



De la nourriture et de l’eau, ou un sermon ?
Carrie Purkeypile, Sacramento, Californie, États-Unis
Jeudi OPINION
Jn 4.14 ; 12.8

Jésus connaît nos besoins physiques.
Au cours de son ministère terrestre, il a
guéri de nombreuses personnes de maladies
débilitantes et procuré de l’eau et de
la nourriture aux foules. L’autre partie
de sa mission, toutefois, était encore plus
importante. Il a offert l’eau de la vie. Jésus
sait que la connaissance spirituelle et le
salut sont plus importants que les besoins
physiques de son peuple. Cependant, il
n’ignore aucune facette de notre vie.

Prêcher à un estomac qui crie
famine ne fera pas grand bien.


Lorsque nous aimons Dieu et cultivons
notre relation avec lui, nous éprouvons le
besoin de partager un tel bonheur avec les
autres. Puisque notre valeur réside en Dieu,
nous devrions savoir que les autres hommes
et femmes, eux aussi, sont précieux. Tous,
peu importe leurs vêtements ou l’endroit
où ils se trouvent, ont une valeur infinie
aux yeux de Dieu.

Ce que nous savons peut sauver des
vies tout aussi certainement que tout superman
mythique peut retenir un bâtiment
qui s’écroule, ou que tout médiateur compétent
peut orchestrer la libération d’otages.
La race humaine est vouée à la mort. Il n’y a
pas d’autre issue pour nous que d’accepter
Jésus comme Seigneur de notre vie et de
notre coeur. Ce faisant, nous nous qualifions
pour conduire nos semblables à Jésus.

Suffit-il de servir de la soupe aux sans-abris
ou de faire un don pour nourrir les
affamés ? Christ désire que nous aidions
nos frères humains à se tirer d’affaire. Il ne
nous a pas appelés à vivre dans une bulle.
Christ a équilibré son ministère en répondant
aux besoins physiques et spirituels
de ceux qu’il rencontrait. Pensez-y : prêcher
à un estomac qui crie famine ne fera
pas grand bien. Comme Christ, nous devons
tendre la main aux autres et les aider. Nous
devons les aimer comme il les aime. Manifestons-
leur son amour, puis disons-leur
ce qu’il est, et enfin, montrons-leur où ils
peuvent en puiser davantage.

BRAINSTORMING
1. Que faites-vous pour satisfaire les besoins
physiques et spirituels des autres ?
2. Priez pour un appel. Puis soyez ouvert
à tout ce que Dieu vous appelle à faire
pour aider physiquement ou spirituellement
vos semblables.
3. Avez-vous reçu l’eau physique et l’eau
spirituelle dans votre vie ?
4. Quelle est cette eau jaillissant jusque
dans la vie éternelle dont parle Jésus dans
Jean 4.14 ?



Venir aux eaux
Dwain Esmond, Hedgesville, Virginie de l’Ouest, États-Unis
Vendredi EXPLORATION
Ac 17.24

POUR CONCLURE
L’eau est l’élément le plus abondant
sur terre, et sans doute le plus important. En
effet, les difficultés d’accès à l’eau génèrent
beaucoup de conflits aujourd’hui encore.
Bien que l’eau physique soit essentielle à la
santé physique et au bien-être, l’eau spirituelle
offerte à l’humanité par la vie, la
mort, la résurrection et l’ascension de Jésus
n’est pas seulement indispensable à la vie
physique, mais constitue la pierre d’angle
de la vie éternelle. En buvant à longs traits
à la « source de la vie », à Jésus-Christ, nous
sommes rassasiés maintenant et pour l’éternité.
Nous devenons des sources auxquelles
les autres peuvent boire abondamment.

COFFRE AUX IDÉES
• Classez les disciplines spirituelles suivantes
selon leur degré d’étanchement de votre
soif spirituelle selon une échelle allant de
1 (la plus désaltérante) à 5 (la moins désaltérante)
: (1) musique spirituelle ; (2) amis
chrétiens ; (3) étude biblique ; (4) témoignage
; (5) lecture spirituelle ; (6) service
en faveur d’autrui.
• Réfléchissez à un moment où un passage
des Écritures vous a réconforté. Écrivez un
témoignage (un paragraphe) de cette expérience,
puis partagez-le avec cinq amis soit
sur Facebook ou par courriel.
• Écrivez un chant de deux strophes sur
Jésus, l’eau de la vie, et utilisez tous les
mots suivants dans chaque strophe : eau,
vie, Jésus, purifier, guérir, soif. Il n’est pas
obligatoire de suivre l’ordre dans lequel
ces mots sont donnés ici.
• Considérez ceci : si nous ne pouvons exister
sans eau plus de trois jours, combien
de temps notre vie spirituelle tiendrat-
elle le coup si nous cessons de boire
l’eau de la vie, Jésus-Christ ?

POUR ALLER PLUS LOIN
Ellen G. White, Jésus-Christ, chapitre 19.
Max Lucado, Come Thirsty, chapitres 1-3.

http://www.cqbiblestudy.org/site/1/lessons/2010-2/French/STUDENT/CQ-10-Q2-F-04.pdf

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