LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Tuesday, April 6, 2010

LOUEZ DIEU DE QUI DECOULE TOUTE BENEDICTION

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Voici la lecon presentee par l'Eglise Adventiste de Sacramento de Pastor Doug Bathelor a www.amazingfacts.com

CLIQUER SUR LE LIEN QUI SUIT POUR UN VIDEO DE LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT PRESENTEE PAR LE DR. DEREK MORRIS DE L'EGLISE DE LAKE FOREST

http://media.forestlakechurch.org/content/media/2010q204-03-praise-god-whom-all-blessings-flow


www.autresregards.be


« Louez Dieu de qui découle toute bénédiction »

Psaume 103.1-10

Le psautier est un livre de prières. C’est là son originalité
par rapport aux autres livres de la Bible. Les psaumes ne
sont pas doctrine mais expression de l’homme à Dieu; ils
nous font entrer en profondeur dans la relation entre Dieu
et l’homme. Ils décrivent les fidèles tels qu’ils sont, avec
leur vie de tous les jours, leurs espoirs et leurs péchés,
leurs difficultés et leur amour, avec leur mentalité, leur
façon de s’exprimer, leurs images concrètes.

Le Ps 103 fait partie des psaumes dit d’actions de grâces
(cf 18, 22, 30, 107, 116, 118,…), où le croyant remercie
Dieu pour ses bienfaits. Ces poèmes ont probablement été
composés pour accompagner les sacrifices d’actions de
grâces, et étaient destinés à être chantés collectivement. Le
Ps 103 est attribué au roi David soit parce qu’il l’a écrit, soit
parce qu’il l’a introduit dans sa collection

« Rendre grâces » : le verbe hébreu utilisé a le sens original
de « reconnaître », mais cette reconnaissance peut revêtir 3
aspects :

- reconnaître la supériorité de celui qui nous a vaincus, d’où

reconnaître la supériorité de YHWH sur tous les autres
dieux, sa transcendance. En ce sens « reconnaissez
YHWH » veut dire : « célébrez-le, proclamez sa descendance»

- reconnaître d’où nous vient tout bien ; c’est la reconnaissance

au sens de gratitude.

- Reconnaître nos torts, c’est-à-dire faire l’aveu de nos

fautes.


La prière d’actions de grâces exprime la reconnaissance du
croyant pour les bénédictions, matérielles ou spirituelles, de
Dieu.

Paul introduit souvent ses épitres en rendant grâces à Dieu
pour l’oeuvre accomplie en JC pour ses interlocuteurs.

Pour quels bienfaits puis-je être reconnaissant à Dieu ?

Ma prière reflète-t-elle cette reconnaissance ?


Pour moi, quel sens a la prière prononcée avant le repas,

par exemple ?

Bénis l’Eternel…

Nous comprenons aisément la notion de bénédictions
lorsqu’il s’agit de l’action de Dieu envers les humains. La
bénédiction de Dieu est la transmission à l’homme de la
force de Dieu. Dans les textes bibliques, elle est source de
joie, de bonheur, de prospérité, de fécondité de la famille,
d’abondance des richesses. Elle est présence de Dieu avec
l’homme, alliance perpétuelle.

Mais quel sens pouvons-nous donner à l’expression « Bénir
Dieu » ? A l’origine, c’est reconnaître ce qu’Il nous donne
(Gn 24.27 ; Ex 18.10 ; Dt 33.20 ; Ps.28.6). C’est confesser
ses bienfaits et sa fidélité afin que personne ne les oublie
(Ps 103.2).

Dans le Nouveau Testament, le verbe signifie : dire du bien.
Il peut prendre aussi le sens de flatter quelqu’un en disant
du bien de lui (Rm 16.18).

Quand je suis l’objet de bénédictions de Dieu, quelle est
ma réaction ? Est-ce que je le trouve normal ?

Ai-je pris l’habitude de bénir Dieu ? Au cours de la

semaine écoulée, combien de fois l’ai-je béni?

Qu’est-ce que mes voisins ou mes proches entendent

dans ma bouche lorsque je parle de Dieu, de ma relation
avec lui?

Mes bénédictions personnelles (v.1-5)

Ce psaume, qui est considéré comme un des plus
expressifs, exprime d’abord la louange qu’inspire au
psalmiste sa propre expérience. Remarquez que dans ces
versets, les pronoms sont au singulier.

Bénir Dieu, c’est aussi ouvrir son coeur à une adoration
reconnaissante pour tous ses bienfaits. C’est à cela que
psalmiste consacre tout son être, toute son âme, et qu’il
réunit toutes ses facultés personnelles.

Remarquez les différentes bénédictions mentionnées aux
v.3-5. Le Seigneur efface la dette du péché par le pardon, il
s’oppose aux maladies ou aux faiblesses dont le péché
infecte notre être, il transforme le châtiment du péché en
échangeant la fosse contre la couronne et la mort
qu’apporte le péché contre une vie toujours renouvelée.

A la différence des dieux païens, l’Eternel nous est présenté
comme un Dieu bienveillant, bien disposé envers ses
créatures, avec qui on a conclu une alliance qui le lie pour
toujours ; il est solidaire du genre humain. Il n’est pas
indifférent, il s’émeut en pensant aux hommes. Ne
supportant pas que nous soyons happés par la mort, il
intervient.

Dieu nous rend la vie que nous avions perdue. On
comprend la joie, l’enthousiasme et reconnaissance
renouvelée du psalmiste.

Dans quel domaine de ma vie suis-je béni ?

Est-ce que ma relation à Dieu change ma vie ? Quelles

émotions cette relation suscite-t-elle dans ma vie ?

Mon entourage ressent-il mon émerveillement face à

Dieu ?

Le fait d’être aimé par Dieu signifie-t-il que ma vie sera

exempte d’épreuves, de difficultés ?

La bienveillance générale de Dieu (v.6-10)

Ce que Dieu a fait pour David, il le fait pour tous. Le v.6
insiste sur l’universalité de la bienveillance. A cet égard,
l’expérience d’Israël comme exemple typique de l’amour de
l’Eternel pour l’opprimé.

Dieu s’est fait connaître au peuple par l’intermédiaire de
Moïse. Et si le texte mentionne les « hauts faits » de Dieu
(v.7), le récit de la bénédiction est réduit au minimum
tandis que la leçon prend une grande ampleur. C’est avant
tout le caractère de Dieu qui est décrit ici.

Le texte fait allusion à 2 reprises au Dieu compatissant (v.4
et 8) La compassion est un substantif de la même famille
que le mot « entrailles », le sein maternel. Notre Père nous
aime d’un amour maternel, quel que soit notre péché.

Ce psaume, ce chant peut-il être chanté par un malade,
un accidenté, un handicapé?
Dieu est-il vraiment bon pour tous ? N’y a-t-il pas des
moments où nous pouvons en douter ?
Quelle est la compréhension de ma communauté
concernant le caractère de Dieu ?
La gratitude joue-t-elle un rôle dans l’état de santé des
humains ?

Conclusion :
Ce psaume invite à louer Dieu pour ce qu’il est et pour ce
qu’il fait pour nous. Il exprime une gratitude humble, venue
du coeur, pour la bonté de Dieu et, par-dessus tout, pour
son amour qui ne change pas et ne peut changer. Il invite à
trouver en Dieu la guérison de notre âme.

Ce trimestre, nous allons réfléchir ensemble sur des aspects
concrets de la santé. Notre Dieu est un Dieu bon, qui nous
aime et souhaite le meilleur pour nous. Ses conseils n’ont
d’autre objectif que notre bien.

Jacques Ras

http://www.adventist.be/french/eds/01Sante03Avril2010.pdf

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