Les commentatires d'Ellen G. White, avec sous-titres pour chaque jour.
From http://www.adventverlag.ch/egw/f/2013/1trimestre/Lecon_09_1_2013.pdf
http://www.adventverlag.ch/egw/f/complements2013.html
Leçon 9_ Le mariage, don de l’Éden
Sabbat après-midi, le 23 février 2013
Celui qui donna Eve pour compagne à Adam accomplit son premier miracle à un
repas de noces, et c'est au cours Jésus sanctionna ainsi l'institution du mariage, qu'il
avait lui-même fondée. Son dessein était qu'hommes et femmes s'unissent par ces liens
sacrés pour former des familles dont les membres, couronnés d'honneur, fussent
reconnus comme appartenant à la famille céleste.
Le Christ a honoré le mariage en le prenant comme symbole de son union avec les
rachetés. Il est l'Epoux ; l'épouse, c'est l'Eglise qu'il s'est choisie, et à laquelle il dit « Tu
es toute belle, mon amie, et il n'y a point en toi de défaut. » (Cantique des Cantiques
4 : 7)
« Christ a aimé l'Eglise, et s'est livré lui-même pour elle, dit l'apôtre Paul, afin de la
sanctifier par la parole, après l'avoir purifiée par le baptême d'eau, afin de faire paraître
devant lui cette Eglise glorieuse, sans tache, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et
irrépréhensible. C'est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leur propre
corps. » (Ephésiens 5:25-27)
The Ministry of Healing, p. 356 ; Le ministère de la guérison, p. 301.
Le mariage qui est une union pour la vie est le symbole de l'union du Christ avec
son Église. L'esprit que le Christ manifeste envers son Eglise est le même qui doit
régner entre les époux.
Ni le mari ni la femme ne doit chercher à dominer. Le Seigneur a posé les principes
destinés à nous guider à cet égard. Le mari doit aimer sa femme comme le Christ a aimé
1'Eglise, et il faut que la femme respecte et aime son mari. Tous deux cultiveront un
esprit de bonté, étant bien déterminés à ne jamais se faire de la peine l'un à l'autre.
Testimonies, vol.7, pp. 46, 47 ; Témoignages, vol. III, p. 110.
Dimanche, le 24 février 2013 « Pas bon »
Après la création de l'homme, Dieu fit passer devant lui tous les animaux de la terre
pour leur donner des noms. Adam vit bien que chacun d'eux avait sa compagne; mais,
parmi toutes les créatures que Dieu avait faites, il n'en trouva aucune qui lui ressemblât.
Alors « l'Eternel Dieu dit : Il n'est pas bon que l'homme soit seul; je lui ferai une aide
semblable à lui ».
L'homme a été fait pour vivre en société, et non pas dans la solitude. Sans
compagne, ni les beautés de l'Eden, ni le charme de ses occupations, ni même ses
relations avec les anges n'eussent procuré au premier homme un bonheur parfait. Sans
une compagne de même nature que lui, aimante et digne d'être aimée, son besoin de
sympathie et de sociabilité n'eût pas été satisfait.
Cette compagne, Dieu la donna lui-même à Adam. Il lui fit « une aide semblable à
lui », à savoir un être qui pût vivre auprès de lui, partager ses joies et répondre à ses
affections. Pour marquer qu'elle n'était pas destinée à être son chef, pas plus qu'à être
traitée en inférieure, mais à se tenir à son côté comme son égale, aimée et protégée par
lui, Eve fut tirée d'une de ses côtes. Os de ses os, chair de sa chair, la femme était une
autre partie de lui-même, signe sensible et frappant de l'union intime et de l'attachement
profond qui devaient caractériser leurs rapports. « Jamais un homme n'a haï sa propre
chair; mais il la nourrit, et en prend soin ». « C'est pourquoi l'homme laissera son père et
sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair ».
Patriarachs and Prophets, p. 46 ; Patriarches et prophètes, p. 23.
Dieu fit une femme issue de l’homme, pour être une compagne et une aide qui lui
soit associée, pour qu’ils forment ensemble une seule personne, pour le réjouir,
l’encourager et le bénir. Et lui, à son tour, pour être un associé fort. Tous ceux qui
entrent dans la vie matrimoniale avec un objectif saint, le mari pour obtenir l’affection
pure du coeur d’une femme, et la femme pour adoucir et améliorer le caractère de son
mari, et lui apporter la plénitude, accomplissent l’objectif de Dieu pour eux. Christ n’est
pas venu pour abolir la loi, mais pour la réaliser dans chaque détail. Il est venu pour
renverser et détruire les oeuvres d’oppression que l’ennemi avait érigée de toutes parts.
Faire savoir que le mariage est une institution sainte était en parfaite harmonie avec Son
caractère et Son oeuvre. Il n’est pas venu pour abolir cette institution, mais pour la
restaurer dans sa sainteté originelle. Il est venu pour restaurer l’image morale de Dieu en
l’homme. D’ailleurs Il a commencé Son ministère terrestre en confirmant la relation de
mariage. Ainsi celui qui a créé le premier couple saint, et qui a créé pour eux un paradis,
a placé Son sceau sur l’institution qui fut célébrée pour la première fois en Eden,
lorsque les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse et que tous les fils de Dieu
poussaient des cris de joie. Signs of the Times, September 6, 1899, § 12.
Lundi, le 25 février 2013 Une compagne pour Adam
Adam fut désigné par Dieu pour être monarque du monde, sous la supervision du
Créateur. « Puis Dieu dit : Faisons l’homme à notre image, selon notre ressemblance et
qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la
terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre. Dieu créa l’homme à son image, il
le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme. » (Ge 1 :26-27) « L’Eternel
Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de
vie et l’homme devint une âme vivante. … L’Eternel Dieu dit : Il n’est pas bon que
l’homme soit seul ; je lui ferai une aide semblable à lui. … Alors l’Eternel Dieu fit
tomber un profond sommeil sur l’homme, qui s’endormit ; il prit une de ses côtes, et
referma la chair à sa place. L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’il avait prise
de l’homme, et il l’amena vers l’homme. Et l’homme dit : Voici cette fois celle qui est
os de mes os et chair de ma chair ! on l’appellera femme, parce qu’elle a été prise de
l’homme. C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa
femme, et ils deviendront une seule chair. » (Ge. 2 :7, 18, 21-24) …
Par Sa présence à cette rencontre, le Sauveur a donné Son approbation officielle au
mariage, le reconnaissant comme une institution qu’Il avait Lui-même établie. Au
commencement, quand la loi du sabbat fut donnée, la loi du mariage fut aussi donnée.
Ce fut alors que Dieu offrit à l’homme Ses deux grands dons – le sabbat en tant que jour
de repos, et la femme comme une aide associée à son mari.
Le mariage a reçu la bénédiction de Christ, et doit être considéré comme une
institution sacrée. La vraie religion ne va pas à l’encontre des plans du Seigneur. Dieu a
établi que l’homme et la femme devaient être unis en des liens de mariage saints pour
élever les familles qui, couronnées avec honneur, soient les symboles de la famille dans
le ciel. Et au commencement de Son ministère public Christ a donné Son approbation
absolue à l’institution qu’Il avait établie officiellement en Eden. Il déclarait ainsi à tous
qu’Il ne refuserait pas Sa présence à des occasions de mariage, et que le mariage, qui
unit deux personnes avec pureté et sainteté, vérité et justice, est l’une des plus grandes
bénédictions jamais donnée à la famille humaine. Des prêtres et des papes ont établi des
lois interdisant à des personnes de se marier, et les recluant dans des monastères. Ces
lois et ces restrictions furent établies par Satan pour placer les hommes et les femmes
dans des situations contre-nature. Ainsi Satan a tenté les êtres humains à rejeter la loi du
mariage comme une chose qui n’est pas sainte, mais en même temps il a ouvert la porte
à l’indulgence des passions humaines. C’est ainsi qu’ont été introduits quelques-uns des
plus grands maux qui ont maudit notre monde – l’adultère, la fornication, le meurtre
d’enfants innocents nés hors des liens du mariage.
Signs of the Times, August 30, 1899, § 2-5.
Mardi, le 26 février 2013 Un mariage idéal
Si nous accomplissons la Parole, nous porterons chaque jour la croix après Jésus,
nous soumettrons notre moi, et ainsi nous introduirons l’harmonie dans la vie du foyer.
Le modèle le plus doux du ciel est un foyer où l’Esprit du Seigneur réside. Si la volonté
de Dieu est accomplie, le mari et la femme se respecteront mutuellement, et cultiveront
l’amour et la confiance. Quoique ce soit qui perturbe la paix et l’unité de la famille
devrait être repoussé fermement ; la gentillesse et l’amour devraient être exprimés avec
tendresse. Celui qui manifeste l’esprit de tendresse, d’entraide mutuelle et d’amour,
trouvera que le même esprit sera reflété sur l’autre. Où l’Esprit de Dieu règne, personne
ne pourra dire que le mariage ne réunit pas l’un avec l’autre. Si le Christ est vraiment
formé en eux, l’espérance de la gloire, il y aura union et amour dans le foyer. Le Christ
habitant dans le coeur de la femme, sera en accord avec Christ habitant dans le coeur du
mari. Ils aspireront ensemble pour les demeures que le Christ est allé préparer à ceux
qui L’aiment. Signs of the Times, November 14, 1892, § 2.
Dieu veut que le foyer soit l’endroit le plus heureux de la terre, le vrai symbole de
notre domicile céleste. En assumant au foyer les responsabilités de la vie conjugale, en
unissant leurs intérêts à la personne de Jésus-Christ, en se reposant sur sa force et sur
ses promesses, le mari et la femme peuvent connaître, dans cette union, un bonheur que
les anges de Dieu peuvent approuver.
The Adventist Home, p. 102; Le foyer chrétien, p. 98.
Dans l'esprit des jeunes, le mariage est auréolé de romantisme ; on a du mal à le
dépouiller de cet aspect dont l'imagination le revêt, et à faire comprendre tout le poids
des responsabilités inhérentes aux voeux de mariage. Cet engagement unit les destinées
de deux êtres par un lien que seule la mort devrait briser.
On devrait réfléchir sérieusement avant de se marier, car le mariage est un pas que
l'on franchit pour la vie. Que l'homme et la femme s'interrogent avec soin pour savoir
s'ils pourront rester fidèlement attachés l'un à l'autre au travers des vicissitudes de
l'existence, aussi longtemps qu'ils seront tous deux en vie.
The Adventist Home, p. 340; Le foyer chrétien, p. 327.
Mercredi, le 27 février 2013 Protéger ce qui est précieux
« Tu ne commettras point d'adultère. » Ex. 20 :14
Ce commandement prohibe non seulement toute action impure, mais aussi les
désirs et les pensées sensuelles, comme tout ce qui peut tendre à les exciter. Plus que la
pureté de la vie extérieure, Dieu nous demande celle des pensées secrètes et des
émotions du coeur. Jésus-Christ, qui nous apprend la portée étendue de la loi de Dieu,
déclare que la pensée ou le regard coupable est un péché aussi réel que l'acte lui-même.
…
Tant que nous vivrons, il faudra nous défendre résolument contre nos penchants et
nos passions. A moins que nous ne mettions notre confiance en Dieu, nous ne serons
jamais en sûreté.
Plus nous vivons près de Jésus, plus nous aurons part à Son caractère pur et saint ;
et plus le péché nous apparaîtra offensant, plus la pureté et la splendeur du Christ seront
exaltées et apparaîtront désirables. Sons and Daughters of God, p. 62.
J’ai vu que certains de ceux qui sont maintenus dans l’église ont enfreint le
septième commandement, s’attirant le déplaisir de Dieu. Il s’agit d’un redoutable péché
des derniers jours. Mais les membres de l’église, par leur négligence, ont appelé sur eux
la malédiction. Et l’on n’a fait aucun effort sérieux pour l’éloigner, en condamnant la
conduite des coupables.
Cela exerce sur les jeunes une mauvaise et redoutable influence. Ils voient, en effet,
combien on traite à la légère la violation du septième commandement. Et quand l’un
d’entre eux tombe dans ce péché, il croit qu’il lui suffit de reconnaître avoir mal agi et
d’exprimer des regrets, tout en continuant à jouir de la communion de l’Église. A leur
tour, ils ont minimisé cette transgression, et celle-ci a suffi pour priver le camp de la
présence de Dieu et pour affaiblir Israël.
Les transgresseurs du septième commandement devraient être retranchés de
l’Église, de sa communion et des avantages de la maison de Dieu. L’ange déclara : “Il
ne s’agit pas là d’un péché d’ignorance, mais d’un péché conscient passible de
châtiment céleste, que le fautif soit jeune ou vieux.”
Testimonies on Sexual Behavior, pp. 248, 249;
Conseils sur la conduite sexuelle, l’adultère et le divorce, p. 303.
L'occupation romaine en Palestine y avait amené des troupes dont les moeurs
relâchées étaient un scandale permanent pour les Juifs qui, considérant ces exemples
avec horreur, leur opposaient leur propre moralité. À Capharnaüm, les officiers romains,
escortés de leurs joyeuses compagnes, étalaient leur inconduite sur les promenades
publiques, et troublaient du bruit de leurs fêtes la tranquillité du lac sillonné par leurs
bateaux de plaisir.
Le peuple espérait que Jésus censurerait sévèrement ces étrangers; aussi quelle ne
fut pas la surprise des auditeurs quand, des lèvres du Maître, tombèrent les paroles qui
mettaient à nu les sentiments de leurs propres coeurs!
Quand une pensée mauvaise, si secrète soit-elle, est accueillie et entretenue, dit
Jésus, c'est la preuve que le péché règne encore sur le coeur et que l'âme est encore
esclave de l'iniquité. Celui qui prend plaisir aux scènes impures et aux regards de
convoitise peut comprendre la véritable nature du mal qu'il cache dans le secret de son
âme en constatant la honte et les cuisants remords de celui qui est tombé dans le péché
flagrant. La période de tentation qui précède un péché grave ne le crée pas; elle ne fait
que révéler le mal qui était à l'état latent au fond de son coeur. L'homme «est tel que sont
les pensées dans son âme». Car c'est du coeur que «viennent les sources de la vie»
(Proverbes 23.7; 4.23). Thoughts From the Mount of Blessing, pp. 59, 60 ;
Heureux ceux qui (éd. 2001), p. 53.
Jeudi, le 28 février 2013 Le mariage, image de l’Église
Dans l'Ancien comme dans le Nouveau Testament la relation conjugale sert à
représenter l'union tendre et sacrée qui existe entre le Christ et son peuple. La joie d'un
festin de noces évoquait à l'esprit de Jésus la joie de ce jour où il introduira son Epouse
dans la maison du Père, où les rachetés s'assiéront avec le Rédempteur pour le souper
des noces de l'Agneau. Il dit : « Comme la fiancée fait la joie de son époux, tu feras la
joie de ton Dieu. » « On ne te nommera plus la Délaissée mais on t'appellera : Celle en
qui j'ai mis mon plaisir... car l'Eternel mettra son plaisir en toi. » « Il éprouvera à ton
sujet une grande joie ; Dans son amour pour toi, il gardera le silence; il sera plein
d'allégresse à cause de toi.» Quand la vision des choses célestes lui fut accordée, l'apôtre
Jean écrivit : « J'entendis comme la voix d'une foule nombreuse, comme la voix de
grandes eaux, et comme la voix de forts tonnerres, disant Alléluia ! Car le Seigneur
Dieu, le Tout-Puissant, a établi son règne. Réjouissons-nous, soyons dans l'allégresse et
donnons-lui gloire, car les noces de l'Agneau sont venues, et son épouse s'est préparée. »
« Heureux ceux qui sont appelés au festin de noces de l'Agneau ! »
The Desire of Ages, p. 151; Jésus-Christ, pp. 134, 135.
L’église est la jeune mariée, l’épouse de l’Agneau. Elle doit se maintenir pure et
sainte. Elle ne doit jamais se complaire dans la niaiserie, car elle est fiancée de Roi;
cependant, elle ne comprend pas sa position éminente. Si elle la comprenait, elle serait
intérieurement remplie de gloire. Manuscript Releases, vol. 16, p. 345;
Commentaires d’Ellen White sur Apocalypse 19.7-9.
Dieu appelle l’église Son corps. L’église est l’épouse, la femme de l’Agneau. Dieu
est le Père de la famille, le Berger du troupeau… Mais une simple relation extérieure
avec quelque église que ce soit ne sauvera pas un homme. C’est la foi personnelle en un
Sauveur personnel qui conduit une âme en une union spirituelle avec le Christ. Jésus
enseigne avec clarté cette vérité dans le chapitre 6 de Jean.
Manuscript Releases, vol. 16, p. 277.
Dans le saint Livre, les relations sacrées et permanentes qui existent entre Jésus-
Christ et son Eglise sont symbolisées par les liens du mariage. Le Seigneur s'est uni à
son peuple par une alliance solennelle. Il lui promet d'être son Dieu, et son peuple, de
son côté, s'engage à n'appartenir qu'à lui seul. Dieu lui dit: « je serai ton fiancé pour
toujours; je serai ton fiancé par la justice, la droiture, la grâce et la miséricorde « car je
suis votre maître ». Et l'apôtre Paul se sert de la même figure dans le Nouveau
Testament, quand il dit: « Je vous ai fiancés à un seul époux, pour vous présenter à
Christ comme une vierge pure ».
Quand l'Eglise détourne ses affections de Jésus pour les reporter sur les choses du
monde, son infidélité est comparée à la violation du voeu conjugal. Israël s'éloignant du
Seigneur est représenté sous cette image, et le merveilleux amour de Dieu, méconnu, est
ainsi dépeint : « Je te jurai fidélité, je fis alliance avec toi, dit le Seigneur, l'Eternel, et tu
fus à moi ». « Tu étais d'une beauté accomplie, digne de la royauté. Et ta renommée se
répandit parmi les nations, à cause de ta beauté; car elle était parfaite, grâce à l'éclat
dont je t'avais ornée. ... Mais tu t'es confiée dans ta beauté, et tu t'es prostituée, à la
faveur de ton nom ». « Comme une femme est infidèle à celui qui l'aime, ainsi vous
m'avez été infidèles, gens de la maison d'Israël » (Ezéchiel 16 :8 ;13-15, 32 ; Jérémie
3.20). The Great Controversy, pp. 381, 382; La Tragédie des siècles, pp. 411, 412.
Vendredi, le 29 février 2013
Pas de lecture complémentaire
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