LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Sunday, December 13, 2009

LA SECONDE GENERATION: AVERTISSEMENTS














Seconde génération : Avertissements


« Écoute, peuple d’Israël : Le Seigneur notre Dieu est le seul Seigneur. Tu dois aimer le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force. » (Deutéronome 6.4,5)


De sages conseils
Joe Underhill, Berrien Center, Michigan, États-Unis
INTRODUCTION

1 Co 10.11

On dit que nous sommes condamnés à répéter les erreurs de nos parents. Parfois, nous essayons de rejeter le blâme de nos échecs sur nos gènes. Nous préten- dons que les enfants d’Israël affranchis de

J’ai dû souffrir les conséquences de ma négligence.

l’esclavage possédaient les mêmes traits de caractère que leurs parents. Bon, c’est peut-être vrai. Cependant, Dieu désire que nous ne perpétuions pas leurs erreurs, mais que nous nous élevions au-dessus des circonstances. « Ces choses-là sont arrivées à nos ancêtres pour nous servir d’exemples. » (1 Co 10.11)

Personnellement, j’ai du mal à apprendre des erreurs des autres. J’aime bien tout découvrir par moi-même. Une telle disposition m’a évidemment occasion- né des souffrances que j’aurais pu éviter si seulement j’avais prêté l’oreille aux aver- tissements reçus. Lors de ma première année à l’Université Andrews, j’ai reçu maints conseils : me coucher tôt, manger sainement, prendre le temps d’étudier.

Cependant, j’ai fait fi de la plupart d’entre eux. Je regardais des films jusque tard dans la nuit et jouais à des jeux vidéo. Au début, c’était amusant, mais au moment des examens, aïe, aïe ! – j’ai dû souffrir les conséquences de ma négligence.

J’avais ignoré les avertissements de tous : parents, doyens, professeurs. Les enfants d’Israël ont eu le même problème. Dieu et Moïse les ont avertis. Cependant, ils ont appris à leurs dépens. Dieu a averti de nouveau leurs descendants de suivre ses commandements pour qu’ils soient heu- reux sur la terre. Il importe que nous pre- nions garde à de tels avertissements (Ec 4.13).
Au fil de votre étude cette semaine, je vous encourage à examiner votre vie et, d’un cœur ouvert, à prendre note des domaines où Dieu vous conseille de changer.

BRAINSTORMING
1. Racontez un épisode où vous avez fait la sourde oreille à des avertissements. Qu’avez-vous retenu de cette expé- rience ?
2. Racontez un épisode où vous avez pris garde aux avertissements d’un ami et goûté à la bénédiction qui s’en est suivie.



Les reproches d’un fidèle ami
Alvin Glassford, Berrien Springs, Michigan, États-Unis
IL EST ÉCRIT
Nb 26 – 32 ; Pr 27.6 ; Rm 5

Mauvais calcul ? (Nb 31, 32)
La victoire d’Israël sur les Madianites a dû être des plus impressionnantes. Pas un Israélite n’avait été tué (Nb 31.49). Moïse avait envoyé mille hommes par tribu (Nb 31.5), et ils étaient tous revenus victo- rieux. Se pourrait-il que les Rubénites et les Gadites se soient trompés en pensant que la conquête de l’ouest du Jourdain serait super facile ? Que leur absence des troupes de combat ne feraient pas grand différence ?
Ou peut-être n’était-ce qu’une simple question de convoitise. Dieu avait déjà dit à Moïse que le pays devait être distribué par tirage au sort (Nb 26.54,55). La vue des prairies verdoyantes à l’est du Jourdain aurait-elle suscitée en eux l’idée d’un droit de préemption ?
En fait, les véritables motifs ne sont pas révélés. Nous pouvons présumer ce qu’il y a derrière leur requête par la façon dont Moïse leur répond.

La colère de Moïse (Nb 32.6-14)
Moïse était âgé de presque 120 ans (Dt 34.12), et pourtant, sa vue n’avait pas baissé, ses forces ne l’avaient pas quit- té. Il avait vu les armées de Pharaon se noyer dans la mer Rouge. Il avait sou- levé les tables de pierre écrites du doigt de Dieu. Alors, qu’est-ce que c’était que cette demande ? Même aujourd’hui, sa réponse à Ruben et à Gad semble teintée
d’une juste colère. Moïse les accusa de vouloir se la couler douce pendant que leurs frères combattraient pour conquérir le pays, de faire comme leurs pères qui avaient refusé de suivre Dieu sans réserve, et de « décourager les enfants d’Israël » (Nb 32.7).
Avec seulement 12 000 hommes, Moïse battit les cinq rois de Madian (Nb 31.7). Parmi les morts, on trouva Balaam (Nb 31.8). Mais pas besoin de faire la guerre pour subir une défaite. Moïse en avait été témoin trop souvent. Il n’y a qu’à se détourner de la volonté explicite de Dieu, et avec un peu de chance, on s’en tire avec une mort naturelle dans le désert. Moïse aimait ces rebelles. Et il savait que Dieu les aimait aussi. C’est pourquoi il les avertit des terribles consé- quences de leurs actes (Nb 32.15).
Oui, Moïse était en colère ! Mais remarquez qu’il ne dit pas : « Si vous vous détournez de moi. » Il avait appris à s’indigner par rapport à la colère de Dieu sans toutefois pécher.
Les reproches d’un fidèle ami (Nb 32.16-42)
Supposons que Ruben et Gad soient coupables de ce que Moïse les accusait. Remarquez l’effet des paroles de celui-ci :

« Ils s’approchèrent de Moïse, et ils dirent [...] » (LSG). Peu importe les mobiles der- rière leur requête, le rappel des fautes de leurs pères produisit son effet, et ils se rap- prochèrent de Moïse.
Au mieux, Ruben et Gad ne s’offen- sèrent pas de cette tirade. Au pire, ils se repentirent sur-le-champ de leur grave erreur et présentèrent une solution qui honorait Dieu. Cependant, ils ne s’em- pressèrent pas de soulager la crainte de Moïse d’une autre apostasie. Ils réitèrent plutôt leur désir de construire des enclos pour leurs brebis et des villes pour leurs familles à l’est du Jourdain (Nb 32.16). Puis, sans la moindre insinuation d’un orgueil blessé par les accusations sévères de Moïse, ils proposèrent d’aller com- battre avec le reste d’Israël pour conquérir le côté ouest du fleuve.

Moïse répondit favorablement à leur proposition, et le reste de Nombres 32 prend l’allure d’un contrat officiel avec toutes les conditions, promesses, plus les conséquences dévastatrices advenant toute entorse au contrat de leur part.

« Les reproches d’un ami prouvent sa loyauté » (Pr 27.6). Ruben et Gad consi- dérèrent la colère de Moïse parce qu’ils avaient appris à lui faire confiance. Même si Moïse se trompait lourdement dans son jugement précipité de leur proposition, ils savaient où se trouvait son cœur, et ils ne s’offensèrent pas. Quel changement extra- ordinaire chez le dirigeant et ceux qu’il dirigeait !

BRAINSTORMING
1. Dieu avait donné des directions spéci- fiques sur la façon dont le pays devait être divisé. Est-il toujours aussi flexible et désireux de considérer les contre- offres humaines ?
2. Avez-vous un « ami » comme Moïse dont vous écouterez les paroles même si elles sont fausses ou extrêmement douloureuses ?
3. Combattez-vous aujourd’hui au front, devant vos frères, pour obtenir une place dans le royaume et faire la volon- té de Dieu ?




Écrire le dernier chapitre
Susan Pellandini, Battle Creek, Michigan, États-Unis
ESPRIT DE PROPHÉTIE
Dt 6.4,5 ; 1 Co 10.11,12

« Satan sait fort bien ce qu’il y a dans le cœur humain. Après s’être livré à cette étude durant des milliers d’années avec une ardeur infernale, il connaît les points vulnérables de chaque individu. Aussi est-ce par les tentations mêmes qui ont eu tant de succès à Baal-Péor qu’il s’efforce, de siècle en siècle, de renverser les hommes les plus forts, ceux qu’on peut appeler des pères en Israël. Tout au long de l’histoire humaine, nombreux sont les hommes qui ont succombé à la sensualité.

« À mesure que le peuple de Dieu approche de la fin des temps et qu’il arrive sur le seuil de la Canaan céleste, il voit, comme autrefois, Satan redoubler d’efforts pour l’empêcher d’entrer dans la terre pro- mise. Chacun peut s’attendre à trouver ses pièges sous ses pas. Ce ne sont pas les ignorants ou les âmes incultes seulement qui ont besoin d’être sur leurs gardes. L’ennemi étale ses tentations jusque devant ceux qui occupent les plus hautes fonc- tions dans l’Église. Car il sait que s’il peut les amener à lui vendre leur âme, il pourra les employer pour en perdre un grand nombre. Il se sert aujourd’hui encore des agents qu’il mettait œuvre il y a trois mille ans1. »

Le même défi s’adresse aujourd’hui aux nations.

« Moïse lui rappela [à Israël] que ses erreurs et les égarements de ses pères avaient été la cause de ses interminables et irritantes randonnées dans le désert. Dieu n’avait pas volontairement retardé le moment de la possession du pays de Canaan, loin de là ! Il avait été le premier à regretter de ne pas pouvoir la réaliser immédiatement et faire ainsi éclater sa puissance aux yeux de toutes les nations. Ce sont, affirma-t-il aux enfants d’Israël, votre méfiance à l’égard de Dieu, votre orgueil et votre incrédulité qui vous ont empêchés de prendre plus tôt possession de la terre promise. Étrangers à la pureté, à la bonté, à la bienveillance, vous n’étiez pas prêts à donner le spectacle d’un peuple dont l’Éternel est le Dieu2. »

« Le même défi s’adresse aujourd’hui aux nations : Quelles sont celles, parmi les plus civilisées, dont les lois puissent être comparées aux préceptes bons, sages et humains confiés à l’ancien peuple de Dieu ? Les lois humaines portent la marque des faiblesses et des passions du cœur naturel, alors que la loi de Dieu porte le sceau du ciel3. »

BRAINSTORMING
Dans quels domaines de votre vie êtes- vous prêt à vous appuyer sur Dieu pour vous guider en toute sécurité jusqu’à la Canaan céleste ?
____________ 1. Patriarches et prophètes, p. 437, 438.
2. Ibid., p. 445, 446. 3. Ibid., p. 446.




Mieux vaut obéir la première fois

J. Amanda McGuire, Berrien Springs, Michigan, États-Unis
PREUVE À L’APPUI

Nb 26 – 32

Nombres 26-32 traite d’événements antérieurs à la conquête de Canaan. Le dernier de l’ancienne génération est mort (Nb 26). La seconde génération se prépare à y entrer. Elle est consciente de son his- toire et des problèmes qu’ont causés ses parents. Les filles de Selofad savent que leur père a péché (Nb 27.3), mais elles veulent s’assurer qu’il ne sera pas puni davantage parce qu’il était sans fils*. Dieu approuve les femmes et ordonne qu’elles reçoivent l’héritage de leur père. Nous avons ici un exemple de la justice de Dieu entremêlée de miséricorde.

Bien que l’ancienne génération ait été condamnée à mourir dans le désert, Dieu fait grâce à ses enfants et accomplit ses promesses envers tout Israël. Sa bénédic- tion est conditionnelle, toutefois : les Israé- lites doivent lui être fidèles. Dieu se sert d’un grand nombre d’offrandes, de lois, de sacrifices et de vœux (Nb 26-30) pour leur rappeler leurs obligations rituelles. Ils sont là pour leur enseigner le principe de la mort substitutive pour le pardon des péchés. Ils leur rappellent que c’est Dieu qui les sauve des puissances du mal et de leurs péchés.

Les chapitres 31 et 32 rapportent les derniers actes militaires des Israélites aussi bien que l’engagement des Rubénites et de la demi-tribu de Manassé, lesquels s’uniront à leurs frères dans la conquête de la terre promise. Cette seconde génération se montre plus fidèle que la précédente. La promesse est près de s’accomplir. S’il est facile de passer en jugement ceux qui nous ont précédés, nous devons pourtant nous en abstenir et apprendre de leurs erreurs.

Il est préférable d’obéir à Dieu dès le départ !

Désobéissez-vous à Dieu ? Vous atten- dez-vous à ce qu’il vous bénisse quand même ? S’il vous pardonne, subirez-vous tout de même les conséquences de vos actes ? La plus grande leçon que nous puissions tirer de la saga dans le désert, c’est qu’il est préférable d’obéir à Dieu dès le départ ! Cependant, il est consolant de savoir que lorsque nous gaffons, Dieu arrange les choses, même si le chemin du retour peut être long et douloureux.

BRAINSTORMING
1. À votre avis, quelles promesses Dieu vous a-t-il faites personnellement ?
2. Quand Dieu s’est-il montré miséricor- dieux alors même que vous deviez vous débattre avec les conséquences de vos mauvais choix ?
____________
* Roy E. Gane, Leviticus, Numbers: The NIV Application
Commentary, Grand Rapids, Mich., Zondervan, 2004, p. 740, 741.



De l’espérance au sein des erreurs

Melissa Blackmer, Burtonsville, Maryland, États-Unis
POUR PASSER À L’ACTION
Nb 13.1-33 ; 14.1-43 ; 20.1-12

Voici deux exemples montrant ce qui se passe lorsque nous perdons notre foi en Dieu et choisissons de ne pas suivre ses directives : (1) Moïse oublia que ce n’était pas lui qui ferait jaillir l’eau du rocher, mais Dieu, et (2) les Israélites oublièrent que Dieu lui-même pouvait remporter les batailles avec les Cananéens, sans la force de leur propre armée. Ces deux histoires se terminent par la démonstration de l’in- capacité du peuple à réaliser la destinée que Dieu désirait tant pour eux. Elles peuvent nous apporter l’espérance, à condition de nous souvenir de ce qui suit.

1. Croyez en l’appel et la direction de Dieu. Si Dieu vous appelle à faire quelque chose, faites-lui confiance. Parfois, on dirait qu’il nous promet quelque chose qui semble impossible à accomplir. Il nous est alors facile de vouloir établir notre propre stratégie, ou de penser avoir mal compris ses ins- tructions, et enfin de déterminer nos propres objectifs. Dieu, toutefois, nous a donné maints exemples de la folie de regarder à nous-mêmes pour accomplir quelque chose qu’il a promis de faire lui-même.

2. Étudiez les exemples que Dieu vous a laissés. Par la Bible, et par la vie et les témoignages de ceux qui vous entourent, Dieu vous appelle à en tirer des leçons, et à choisir de suivre ses voies. Nous commettons tous des erreurs. Mais Dieu nous demande d’apprendre les uns des autres afin de pouvoir vraiment lui res- sembler.

Nous commettons tous des erreurs.

3. Dieu nous aime peu importe la gravité de nos péchés et de nos erreurs. La façon dont Dieu a réagi lorsque Moïse a frappé le rocher au lieu de lui parler nous montre très clairement ce qu’il ressent à notre égard lorsque nous péchons. Il ne pouvait permettre à Moïse de conduire son peuple dans la terre promise dans ces circonstances, mais son amour pour lui est toujours resté le même. Essayez de voir Dieu ainsi lorsque vous vous condamnez pour un faux pas ou carrément un péché. Dieu veut que nous nous repen- tions. Il n’efface pas toujours les consé- quences de nos péchés, mais son amour est toujours aussi fort. Nos péchés peuvent changer les circonstances sur la terre, mais si nous apprenons d’eux, ils nous aideront aussi à nous rappro- cher du Dieu qui nous aime incondi- tionnellement !

4. Posez-vous des questions difficiles.
Que ce serait-il passé si Dieu avait per- mis à son peuple de douter de lui, de croire en sa propre force en recevant tout de même les récompenses pro- mises ? Comment voyez-vous un Dieu d’amour dans ces exemples ?



Suivez votre nez
Jennifer Ogden, Austin, Texas, États-Unis
OPINION
Nb 27.12-23

Chez l’homme, rien ne bat l’odorat pour déclencher des souvenirs. En ce qui me concerne, l’odeur du cèdre me fait sou- pirer après ma demeure au Texas. Moïse a erré pendant 40 ans dans le désert avec une nation maugréant derrière lui. Après une première tentative pour entrer en Canaan, après des mensonges et leurs conséquences, Moïse une fois encore se tient à la frontière de ce pays. Il le sent. Il demande à Dieu une faveur. Et Dieu répond.

Moïse ne demande pas d’entrer dans ce bon pays, de juste y mettre le bout de l’orteil, ou de faire un petit tour d’hélicoptère pour en voir l’étendue. Il ne demande pas une vision non plus, ni le reçu d’un dépôt bancaire lui prouvant le succès futur du peuple. Il demande seulement qui prendra la relève.

Je sais très bien que si je me tenais sur les montagnes près de ma demeure et qu’on me disait « non », j’userais de tout mon charme, je supplierais, je promet- trais monts et merveilles pour y aller. Moïse, lui, ne pense pas à lui-même, mais à ceux qu’il aime, au peuple qu’il a conduit et pour lequel il a plaidé pendant quelques décennies. Canaan n’est qu’à quelques pas, mais il demande seulement à Dieu que cette nation en herbe soit entre bonnes mains quand lui-même ne sera plus de service.

Si je me tenais sur les montagnes près de ma demeure et qu’on me disait « non », je promettrais monts et merveilles pour y aller.


Parfois, tout ce que je veux, c’est d’être à la maison, de dormir sous les étoiles du Texas, et de respirer profondément l’odeur du cèdre. Et Moïse ? Tout ce qu’il veut, c’est qu’Israël trouve enfin le bonheur en suivant son Dieu. Moïse avait été libre en Égypte. Cependant, il a traîné ça et là dans le désert pendant des années, piégé par les échecs de son peuple. Et pourtant, il ne désire qu’une chose : que ce peuple ait enfin un vrai foyer. Et Dieu ? Eh bien, Dieu s’en est chargé. Il les a conduits à la maison.

BRAINSTORMING
1. Qui, dans votre vie, ne vous a jamais lâché ? Pourquoi pensez-vous que ces personnes continuent à tenir à votre succès ?
2. Quand vous arriverez au terme de votre vie, que souhaiterez-vous laisser comme souvenir dans le cœur des autres ?
3. Vous êtes-vous senti poussé à prier pour quelqu’un ou à encourager quelqu’un qui semble livrer bataille ? Avez-vous obéi à ces impressions ? Quels en ont été les résultats ?


« Que cela nous serve de leçon ! »
Gill Bahnsen, Auburn, Washington, États-Unis
EXPLORATION
Nb 13, 14, 20

POUR CONCLURE
Nous pouvons choisir comment notre vie tournera à partir de ce que nous appre- nons de la vie des autres. Les histoires des Israélites errant dans le désert constituent un excellent matériel d’étude.

CONSIDERA
• Comparez le rapport qu’exigeait Moïse (Nb 13.17-20) avec celui qu’il a reçu des espions (v. 26-29). À quoi la plupart des espions se sont-ils accrochés pour justifier leur position ?
• Écrivez une liste de questions et de lamentations à partir de Nombres 13.28 – 14.4 et 20.3-6. Quel thème se répète ?
• Demandez à cinq personnes en forme de se tenir en rangée. Dites-leur d’avan- cer tandis que vous marchez derrière eux. Poussez un ou deux d’entre eux en dehors de la rangée. Facile ? Ensuite, dites-leur de se tenir par le bras. Essayez encore de pousser un ou deux d’entre eux (si pos-
sible !) Pourquoi est-ce plus difficile maintenant ? Quel lien faites-vous avec les 10 espions poltrons ?
• Discutez avec des amis de ce qui est le plus fort dans vos vies – la foi ou la peur – et en quelles circonstances l’une et l’autre prennent le dessus.
• À partir de votre journal, explorez le rôle que la peur joue dans votre vie. Pensez à l’information que vous recevez qui nourrit la peur et aux circonstances où vous avez exercé votre foi. Réflé- chissez à la différence entre ces expé- riences négatives et positives. Que pou- vez-vous faire maintenant pour fortifier votre foi ?

POUR ALLER PLUS LOIN
�� Lisez les jours suivants du livre d’Oswald Chamber intitulé My Utmost for His Highest : 19 avril, 11 mai, 5 octobre. Ces lectures sont disponibles en ligne sur le site http://www.rbc.org/utmost/index.php.
�� Hébreux 11.24-29.

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