Voici la lecon presentee par l'Eglise Adventiste de Sacramento de Pastor Doug Bathelor a www.amazingfacts.com
CLIQUER SUR LE LIEN QUI SUIT POUR UN VIDEO DE LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT PRESENTEE PAR LE DR. DEREK MORRIS DE L'EGLISE DE LAKE FOREST
http://media.forestlakechurch.org/content/media/2010q101-16-fruit-spirit-joy
Le fruit de l’Esprit,
c’est la joie
« Je vous ai dit cela afin que ma joie soit en vous
et que votre joie soit complète. »
(Jean 15.11)
La source de la joie :
Une parabole
Norma Sahlin, Springboro, Ohio, États-Unis
Sabbat
INTRODUCTION
Ga 5.22
Chaque jour, deux amis triment de
l’aube au crépuscule pour gagner leur vie.
Malgré leur sort pénible, ils apprécient
le soleil qui réchauffe les champs et la
pluie qui les abreuvent. Le chant des
oiseaux égaie leurs journées. Chaque saison
apporte ses bénédictions. Le printemps,
les fleurs s’épanouissent, l’herbe et les
arbres retrouvent leur couleur d’origine.
L’été, les fruits et les légumes s’élancent
vers la maturité. La moisson, généreuse,
domine l’automne. Enfin, l’hiver procure
un sentiment de repos. Comme le calme
précédant l’aurore, il rend le retour du
printemps encore plus spectaculaire.
Un soir, en revenant des champs, les
deux hommes découvrent un trésor sous
un buisson. Après avoir alerté les autorités,
ils attendent deux mois que son propriétaire
le réclame. Comme personne ne
s’est présenté, les autorités leur cèdent le
trésor. Maintenant riches, ils louent Dieu
de tout leur coeur et organisent une grande
fête dans leur collectivité.
Leurs journées, devenues
routinières, s’écoulent
dans la facilité.
Et comme on s’y attend, l’heure d’une
retraite bien méritée sonne ! Ils adoptent
un nouveau style de vie où le moindre
désir des leurs est satisfait. Cependant, au
fil du temps, la nouveauté cède le pas à la
routine. Oh, le retour des saisons les réjouit
toujours, ils paient la dîme et continuent
d’adorer Dieu à l’église, mais…leurs journées,
devenues routinières, s’écoulent dans
la facilité. Et leur joie s’évanouit, inexorablement.
Un jour, ils décident de faire plaisir à
leurs voisins. Et la joie est de nouveau au
rendez-vous ! Qu’il est agréable de laisser
un sac de nourriture devant la porte d’une
veuve, ou de faire un paiement hypothécaire
pour le pauvre propriétaire sur le
point d’être saisi ! Mais avec le temps, de
plus en plus de gens se mettent à quémander
leur aide. Et de nouveau, le bonheur
déserte leur coeur.
Notre histoire s’achève-t-elle ainsi ?
Non, heureusement ! Nos deux amis se
rendent enfin compte que la vraie joie dont
l’âme a besoin ne peut ni se gagner, ni
s’atteindre par nos propres efforts. Elle ne
peut découler que de la présence du Saint-
Esprit dans notre vie – preuve incontestable
de l’amour transformateur du Christ.
Tandis que vous étudiez la leçon de
cette semaine, demandez-vous comment
la vraie joie peut transformer votre vie.
Un Dieu qui aime fêter Monte Sahlin, Springboro, Ohio, États-Unis Dimanche IL EST ÉCRIT Ps 139 ; Lc 15.4-24 ; Jn 15.10,11 ; He 11.16 Luc 15 contient trois paraboles familières : la brebis perdue, la pièce perdue, deux fils perdus. Dans ce chapitre, Jésus décrit les gens non comme étant des pécheurs, mais des égarés. Il s’arrête sur l’égarement, non sur les actions. Sur la personne, non sur ce qu’elle fait. Regardons-y de plus près En quoi les protagonistes sont-ils différents ? La brebis, en quête d’un pâturage plus vert, a perdu la trace du troupeau. Peut-être s’est-elle prise dans un buisson épineux. En criant pour qu’on vienne la secourir, elle se rend compte qu’elle est seule. Le jour décline, et les bêtes sauvages ne sont plus très loin. Dans la deuxième parabole, la pièce est perdue sans qu’il en soit de sa faute. La personne qui était censée la protéger a failli à son devoir, soit en la manipulant de façon négligente, soit en la perdant par accident. La dernière parabole parle de deux fils. L’un, défiant délibérément sa culture et sa famille, cherche son indépendance dans un pays éloigné. L’autre, bien que demeurant à la maison, est piégé par sa propre attitude. Les trois paraboles ont trait à la séparation – du berger et consolateur, du gardien, du père. Elles reflètent aussi la solitude – du berger avec ses 99 brebis, de la femme avec ses neuf pièces, et du père attendant et veillant alors que ses deux fils se débattent dans leurs relations humaines. L’action est un thème-clé. Le berger, la femme et le père cherchent activement ce qui est perdu. Ils font l’expérience d’un grand vide qui ne peut être rempli qu’en retrouvant ce qui est perdu. Épilogue Chaque parabole se termine par une fête. Luc 15 dépeint une scène de joie. « Il nous est difficile d’imaginer un Dieu joyeux. Par conséquent, notre théologie est rigide, guindée, collet monté. Pourquoi Dieu célèbre-t-il aussi longuement le recouvrement de ce qui était perdu ? Pourtant, l’image que Jésus nous donne dans les trois histoires est celle d’un Dieu qui aime fêter ! C’est Jésus qui organise les réjouissances pour les pécheurs, les rejetés. C’est Dieu qui initie les festivités. Le texte accorde plus de place à la joie, aux réjouissances, et à la fête que pour tout autre des trois concepts (être perdu, être cherché, être trouvé). Comment pourrait-il en être autrement avec un tel amour ? La joie, résultat de l’amour, n’est-elle pas le deuxième fruit de l’Esprit1 ? » Mais pourquoi Dieu célèbre-t-il aussi longuement le recouvrement de ce qui était perdu ? « Ce sont le berger, la femme, le père qui, dans l’attente, souffrent le plus. C’est Dieu qui souffre lorsque noussommes perdus, mais c’est aussi Dieu qui se réjouit le plus lorsque ce qui est perdu est retrouvé. […] Dieu aime fêter2 ! » En lisant Luc 15, combien de fois avons-nous raté cet aspect de la parabole ? J’oserais dire que la majorité des commentaires sur Luc 15 reflètent la perspective narcissique de l’humanité. Très peu s’arrêtent sur ce que Dieu ressent à l’égard de ses fils et filles perdues, loin du jardin d’Éden, et réduits à manger ce que les cochons dédaignent. Dieu a donné en abondance,mais, étrangement, nous avons choisi la lie. Comme son coeur doit souffrir ! Il désire tant nous faire don de la joie, mais nous, comme un bambin de deux ans, nous nous obstinons à n’en faire qu’à notre tête ! Dans sa description de son cheminement de l’athéisme au christianisme, C. S. Lewis (1898-1963) se souvient du sentiment de joie puissant mais fugace qui l’avait animé quand son frère lui avait montré une réplique d’un jardin dans une petite boîte. En d’autres occasions, il se languissait de quelque chose qu’il n’arrivait pas à nommer. Avec le recul, il fut convaincu que Dieu utilisait ces « flèches de joie décochées sur moi depuis mon enfance même » pour percer son égoïsme, pourl’inspirer à regarder au-delà de l’immédiat la source éternelle de joie – Dieu. Cet homme mit quelques années à se convertir. En dépit de ses sentiments mitigés, la joie dominait. « Dans un sens, l’histoire centrale de ma vie ne relève de rien d’autre […] C’est celle d’un désir insatisfait, lequel est lui-même plus désirable qu’aucune autre satisfaction. Il s’appelle joie, un terme technique qu’il faut distinguer franchement du bonheur et du plaisir3. BRAINSTORMING 1. Comment devenons-nous dignes de recevoir les fruits du Saint-Esprit ? 2. S’il s’agit de la fête de Dieu, pourquoi murmurons-nous constamment sur les détails, tels que le choix des invités et leur degré de dignité ? 3. Comment les « flèches de joie » de votre vie pointent-elles vers Dieu, source de joie ? _________________ 1. Caleb Rosado, What Is God Like? Renew Your Acquaintance With a Compassionate God, Hagerstown,Maryland, Review and Herald Publishing Association, 1988, p. 46. 2. Ibid., p. 57. 3. C. S. Lewis, Surprised by joy, New York, Harcourt, Brace & Company, 1955, p. 214-219. « La joie révélée dans notre vie » Santhosh S. Jackson, Laurel, Maryland, États-Unis Lundi ESPRIT DE PROPHÉTIE Ga 5.22,23 « Nous sommes un sarment du vrai cep et nous portons des fruits abondants à la gloire de Dieu. Quel est le caractère de ces fruits ? Le fruit de l’Esprit, c’est l’amour et non la haine ; la joie et non le mécontentement ; la paix et non l’irritation, l’anxiété et les difficultés que l’on se crée soi-même. C’est encore “la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance” 1. (Ga 5.22,23) » « Est-il possible d’avoir la joie en obéissant à Christ ? » « La joie du Christ, au milieu de ses humiliations et de ses souffrances, était dans la pensée que ses disciples seraient glorifiés avec lui. Ils sont le fruit de son sacrifice. La reproduction, en eux, de son caractère et de son esprit : voilà sa récompense, voilà sa joie pendant l’éternité. Ils partageront cette joie avec lui, en constatant chez d’autres le fruit de leurs efforts et de leurs sacrifices2. » « Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance. Ces grâces se verront dans chaque pierre qui compose le temple de Dieu. Toutes les pierres ne sont pas de même dimension ou de même forme, mais chacune d’elle a sa place dans le temple3. » « En collaborant avec abnégation, en s’ennoblissant par la participation aux souffrances du Christ, en partageant sa compassion, on contribue à augmenter sa joie et à faire rejaillir gloire et honneur sur son saint nom4. » « “Et maintenant, je vais à toi, et je parle ainsi dans le monde, afin qu’ils aient en eux ma joie parfaite.” Est-il possible d’avoir la joie en obéissant à Christ ? C’est la seule joie réelle que toute âme peut posséder. Vous pouvez toujours rire, plaisanter, et vous payer ce qu’on appelle “du bon temps” ;mais votre joie ne sera qu’une folle gratification d’un esprit non équilibré par l’Esprit de Dieu5. » BRAINSTORMING 1. « Toutes les pierres ne sont pas demême dimension ou de même forme, mais chacune d’elle a sa place dans le temple. » En quoi ce concept est-il semblable aux dons spirituels décrits dans Romains 12.6 ? Différent ? 2. Comment savez-vous que vous êtes rempli de la joie du Christ et que vous ne faites pas simplement que tirer du plaisir de la fraternisation chrétienne ? ____________ 1. Le ministère évangélique, p. 282. 2. Jésus-Christ, p. 623. 3. Reflecting Christ, p. 273. 4. Les paraboles de Jésus, p. 354. 5. The Advent Review and Sabbath Herald, 3 septembre 1895. « La joie des rachetés » Melissa Sahlin, Mason, Ohio, États-Unis Mardi PREUVE À L’APPUI Es 35.1,2,10 Souvent intitulé « La joie des rachetés », Ésaïe 35 commence ainsi : « Que le désert et la terre aride manifestent leur joie ! Que le pays sec s’émerveille et se couvre de fleurs, aussi belles que les lis ! Oui, qu’il se couvre de fleurs, et qu’il s’émerveille à grands cris ! » (Es 35.1) Gédéon battait du blé au pressoir lorsqu’un ange lui apparut (Jg 6.11). Le battage se faisait habituellement en lieu élevé, mais à cause desMadianites dans la région, il devait se cacher. Pour mieux connaître les pratiques liées à lamoisson, voir Ruth 2. Comme la plupart de nos aliments sont produits par des fermes industrielles, nous ne nous rendons pas vraiment compte de ce que leur production implique. Nous sommes au courant des concepts en général, mais la plupart d’entre nous ne cultivent pas leurs aliments et ne craignent pas la disette. Aux temps bibliques, il fallait travailler dur pour se procurer de la nourriture. Les gens passaient le clair de leur temps à subvenir à leurs besoins. Les troupeaux déménageaient selon les saisons. Et que dire de la menace des animaux sauvages et des conditions climatiques hostiles ! Cependant, aux versets 3 et 4 d’Ésaïe 35 (COL), la force est redonnée aux mains affaiblies. Les coeurs craintifs sont rassurés : « Fortifiez-vous, soyez sans crainte ; voici votre Dieu, la vengeance viendra, la rétribution de Dieu ; il viendra lui-même et vous sauvera. » Le verset six fournit des raisons concrètes de se réjouir : « Car des eaux jailliront dans le désert ». Vers la fin du chapitre, les humains imparfaits sont transformés : « Ils arriveront dans Sion avec chants de triomphe, et une joie éternelle couronnera leur tête. » La joie, décidément, va au-delà de ce que nous connaissons. Elle ne peut être planifiée, ni contrainte, car c’est Dieu luimême qui nous couronne de joie. BRAINSTORMING 1. En quoi une couronne de joie rend-elle votre vie différente ? 2. Est-il difficile d’accepter la joie profonde et constante de Dieu ? Justifiez votre réponse. Faire l’expérience de la joie 32 Gianluca Bruno, Mason, Ohio, États-Unis Mercredi 13 janvier POUR PASSER À L’ACTION Jn 14.14-17 ; 17.13 ; Ac 2.1-4,46 ; 1 Jn 1.3,4 La joie est un élément des fruits de l’Esprit. Elle est la preuve de la présence du Saint-Esprit en nous. Mais comment être rempli de l’Esprit ? Jean nous éclaire : « Ce que nous avons vu et entendu, nous vous l’annonçons, à vous aussi, afin que vous aussi, vous soyez en communion avec nous. Or, notre communion est avec le Père et avec son Fils, Jésus-Christ. Ceci, nous l’écrivons, afin que notre joie soit complète. » (1 Jn 1.3,4, SER) Nous bénéficierons d’un tuteur personnel dans ce cours appelé Vie 101. Ainsi, comment notre joie peut-elle être complète ? Premièrement, reconnaissons que sans Jésus, nous n’avons rien (Jn 6.63). C’est lui qui nous donne la vie éternelle grâce à son sacrifice pour le péché. Ainsi, peu importe ce que nous faisons, il nous est impossible d’être à la hauteur ou de satisfaire toutes les exigences. Deuxièmement, demandons en son nom. (Jn 14.14). Abandonnons le moi. Ceci semble contraire au bon sens, parce que notre culture s’édifie sur les réussites personnelles. Mais nous ne pouvons remplir ce devoir par nous-mêmes, peu importe combien nous nous y efforçons. Troisièmement, obéissons à ses commandements (Jn 14.15). Ceci signifie que nous devons étudier, étudier, étudier. Lisons chaque jour la Bible, et concentrons-nous particulièrement sur la vie de Jésus. Et Jésus demandera à Dieu le Père de nous accorder son Esprit, lequel nous conduira dans toute la vérité (Jn 14.16,17). Nous bénéficierons d’un tuteur personnel dans ce cours appelé Vie 101. Rappelons-nous que Jésus nous dit ces choses pour que nous soyons remplis de sa joie (Jn 17.13). Quatrièmement, étudions avec d’autres chrétiens (He 10.25). Nous devons nous réunir régulièrement avec nos frères et soeurs en Jésus pour obéir à cette injonction (Ac 2.1-4,46 ; Rm 5.10). Il s’agit d’un travail intense. Pas le temps de se chamailler. Tous pour un, et un pour tous ! BRAINSTORMING 1. Comparez ce que le monde attend de vous avec ce que Dieu attend de vous. Quelles sont les similarités ? Les différences ? 2. Comment gérez-vous une situation où des gens de votre groupe d’étude biblique ne font pas preuve des attributs chrétiens ou ont une interprétation différente d’un passage biblique ? 3. Comment cultiver un meilleur esprit d’équipe dans votre église ? Finie la joie ! Stephanie Sahlin Jackson, Laurel, Maryland, États-Unis Jeudi OPINION Jn 15.11,16 Les instituts d’enseignement supérieur et les universités sont gouvernés par une structure rigide. Chaque programme est doté de paramètres concernant les travaux à remettre, lesmanuels obligatoires, la notation, etc. Une telle structure englobe tout, et implique le professeur et l’étudiant dans leurs moindres actions. L’apprentissage se mesure à travers divers examens. Il n’est pas étonnant que les étudiants se soucient de leurs performances – pas seulement dans le cadre universitaire mais aussi dans le monde en général. Leurs sentiments jouent au yoyo. S’ils ont de bonnes notes, ils sont heureux. Si un travail est en retard, ils paniquent. Et il en est ainsi semestre après semestre. La vie est bourrée de moments générant de l’anxiété. La vie est bourrée de moments générant de l’anxiété. Ceux-ci sapent notre bonheur, souvent sans avertissement. Pensez aux attaques de Bombay, centre financier de l’Inde ; au bombardement du métro de Londres ; au 11 septembre des États-Unis. Imaginez des désastres naturels cataclysmiques tels que les ouragans, séismes, tsunamis. Et que dire de l’effondrement des prêts hypothécaires à haute risque ayant mené à la quasi-faillite des banques, des maisons d’investissement, et des marchés boursiers ? La déstabilisation s’est étendue à travers le monde, affectant les pays, petits ou grands. Finie la joie ! Dans Jean 15.11,16, cependant, Dieu nous révèle sa conception de la joie. « Je vous ai dit cela afin que ma joie soit en vous et que votre joie soit complète. Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis ; je vous ai chargés d’aller, de porter des fruits et des fruits durables. » En voilà une bonne nouvelle ! Contrairement auxmessages négatifs de cemonde, Dieu promet de partager sa joie avec nous. Notre Dieu tout-puissant et omniscient jette un filet protecteur autour de nous. Peu importe ce qui s’écroule, nous pouvons compter sur celui qui nous comprend. En définitive, la joie n’a rien à voir avec le hasard. BRAINSTORMING 1. Réfléchissez à un moment où il vous semblait que quelqu’un s’amusait à vous crier « Finie la joie ! » Qu’avez-vous ressenti ? 2. Quelle est la différence entre le style de vie et la transformation par l’Esprit ? Un don qui surprend le donateur Jennifer Morgan, Terre-Neuve, Canada Vendredi EXPLORATION Lc 15.4-24 ; Jn 15.10-16 POUR CONCLURE La joie n’est pas quelque chose que nous pouvons produire par la seule force de notre volonté. Dans les paraboles de la brebis, de la pièce et du fils perdus, Jésus explique que Dieu se réjouit lorsqu’une âme perdue revient à lui. L’amour réciproque produit la joie. Dans Jean 15, il révèle que l’amour vient de Dieu. Nous l’aimons parce qu’il nous a aimés le premier. De même, en vivant dans son amour, nous sommes transformés. Nous nousmettons à aimer les autres de façon désintéressée, et de ce fait, nous goûtons à une joie éternelle. À l’instar du frère aîné, nous ne pourrons nous joindre à la fête de Dieu que lorsque nous apprécierons la compagnie de ses enfants. COFFRE AUX IDÉES • Dans votre journal personnel, prenez note de la dernière fois où vous avez ressenti une vraie joie. Examinez ensuite la source de cette joie et le sentiment qu’elle a entraîné. Ce souvenir vous fait-il encore vibrer de joie ? • Faites une liste des façons de transmettre votre joie cette semaine. Choisissez-en une et mettez-la à exécution. Qu’en ressentezvous ? • Partagez l’un de vos talents avec quelqu’un d’autre et demandez-lui de vous rendre la pareille ! • Profitez de la nature cette semaine. En réponse à l’inspiration de la création divine, écrivez un poème ou composez un chant, faites une peinture ou de la photo. • À partir de votre propre collection de photos ou d’un magazine, dénichez une photo qui, à votre avis, personnifie la joie. Montrez-la à votre classe de l’École du sabbat. POUR ALLER PLUS LOIN Carolyn Arends, « Surprised by Joy », de l’album This Much I Understand ; Brennan Manning, « A Touch of Folly », de The Ragamuffin Gospel : Embracing the Unconditional Love of God ; Henri Nouwen, Turn My Mourning into Dancing: Finding Hope in Hard Times ; Ellen G. White, « That Your Joy Might Be Full », The Signs of the Times, 11 août 1909, http://egwdatabase. whiteestate.org/nxt/ gateway.dll?f=templates$fn=default.htm $vid=default. http://cqbiblestudy.org/site/1/lessons/2010-1/French/STUDENT/CQ-10-Q1-F-03.pdf |
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