LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Monday, January 11, 2010

LE FRUIT DE L'ESPRIT EST: JOIE



Voici la lecon presentee par l'Eglise Adventiste de Sacramento de Pastor Doug Bathelor
a www.amazingfacts.com


CLIQUER SUR LE LIEN QUI SUIT POUR UN VIDEO DE LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT PRESENTEE PAR LE DR. DEREK MORRIS DE L'EGLISE DE LAKE FOREST

http://media.forestlakechurch.org/content/media/2010q101-16-fruit-spirit-joy








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www.cqbiblestudy.org


Le fruit de l’Esprit,
c’est la joie
« Je vous ai dit cela afin que ma joie soit en vous
et que votre joie soit complète. »
(Jean 15.11)

La source de la joie :
Une parabole
Norma Sahlin, Springboro, Ohio, États-Unis
Sabbat
INTRODUCTION
Ga 5.22

Chaque jour, deux amis triment de
l’aube au crépuscule pour gagner leur vie.
Malgré leur sort pénible, ils apprécient
le soleil qui réchauffe les champs et la
pluie qui les abreuvent. Le chant des
oiseaux égaie leurs journées. Chaque saison
apporte ses bénédictions. Le printemps,
les fleurs s’épanouissent, l’herbe et les
arbres retrouvent leur couleur d’origine.
L’été, les fruits et les légumes s’élancent
vers la maturité. La moisson, généreuse,
domine l’automne. Enfin, l’hiver procure
un sentiment de repos. Comme le calme
précédant l’aurore, il rend le retour du
printemps encore plus spectaculaire.
Un soir, en revenant des champs, les
deux hommes découvrent un trésor sous
un buisson. Après avoir alerté les autorités,
ils attendent deux mois que son propriétaire
le réclame. Comme personne ne
s’est présenté, les autorités leur cèdent le
trésor. Maintenant riches, ils louent Dieu
de tout leur coeur et organisent une grande
fête dans leur collectivité.

Leurs journées, devenues
routinières, s’écoulent
dans la facilité.

Et comme on s’y attend, l’heure d’une
retraite bien méritée sonne ! Ils adoptent
un nouveau style de vie où le moindre
désir des leurs est satisfait. Cependant, au
fil du temps, la nouveauté cède le pas à la
routine. Oh, le retour des saisons les réjouit
toujours, ils paient la dîme et continuent
d’adorer Dieu à l’église, mais…leurs journées,
devenues routinières, s’écoulent dans
la facilité. Et leur joie s’évanouit, inexorablement.
Un jour, ils décident de faire plaisir à
leurs voisins. Et la joie est de nouveau au
rendez-vous ! Qu’il est agréable de laisser
un sac de nourriture devant la porte d’une
veuve, ou de faire un paiement hypothécaire
pour le pauvre propriétaire sur le
point d’être saisi ! Mais avec le temps, de
plus en plus de gens se mettent à quémander
leur aide. Et de nouveau, le bonheur
déserte leur coeur.

Notre histoire s’achève-t-elle ainsi ?
Non, heureusement ! Nos deux amis se
rendent enfin compte que la vraie joie dont
l’âme a besoin ne peut ni se gagner, ni
s’atteindre par nos propres efforts. Elle ne
peut découler que de la présence du Saint-
Esprit dans notre vie – preuve incontestable
de l’amour transformateur du Christ.
Tandis que vous étudiez la leçon de
cette semaine, demandez-vous comment
la vraie joie peut transformer votre vie.




Un Dieu qui aime fêter
Monte Sahlin, Springboro, Ohio, États-Unis
Dimanche
IL EST ÉCRIT
Ps 139 ; Lc 15.4-24 ; Jn 15.10,11 ;
He 11.16

Luc 15 contient trois paraboles familières
: la brebis perdue, la pièce perdue,
deux fils perdus. Dans ce chapitre, Jésus
décrit les gens non comme étant des
pécheurs, mais des égarés. Il s’arrête sur
l’égarement, non sur les actions. Sur la
personne, non sur ce qu’elle fait.

Regardons-y de plus près
En quoi les protagonistes sont-ils différents ?

La brebis, en quête d’un pâturage
plus vert, a perdu la trace du troupeau.
Peut-être s’est-elle prise dans un buisson
épineux. En criant pour qu’on vienne la
secourir, elle se rend compte qu’elle est
seule. Le jour décline, et les bêtes sauvages
ne sont plus très loin.

Dans la deuxième parabole, la pièce est
perdue sans qu’il en soit de sa faute. La
personne qui était censée la protéger a failli
à son devoir, soit en la manipulant de
façon négligente, soit en la perdant par
accident.

La dernière parabole parle de deux fils.
L’un, défiant délibérément sa culture et sa
famille, cherche son indépendance dans
un pays éloigné. L’autre, bien que demeurant
à la maison, est piégé par sa propre
attitude.

Les trois paraboles ont trait à la séparation
– du berger et consolateur, du gardien,
du père. Elles reflètent aussi la solitude
– du berger avec ses 99 brebis, de la
femme avec ses neuf pièces, et du père
attendant et veillant alors que ses deux
fils se débattent dans leurs relations humaines.
L’action est un thème-clé. Le berger, la
femme et le père cherchent activement ce
qui est perdu. Ils font l’expérience d’un
grand vide qui ne peut être rempli qu’en
retrouvant ce qui est perdu.

Épilogue
Chaque parabole se termine par une
fête. Luc 15 dépeint une scène de joie. « Il
nous est difficile d’imaginer un Dieu
joyeux. Par conséquent, notre théologie
est rigide, guindée, collet monté.

Pourquoi Dieu célèbre-t-il
aussi longuement
le recouvrement
de ce qui était perdu ?


Pourtant, l’image que Jésus nous donne dans les
trois histoires est celle d’un Dieu qui aime
fêter ! C’est Jésus qui organise les réjouissances
pour les pécheurs, les rejetés. C’est
Dieu qui initie les festivités. Le texte
accorde plus de place à la joie, aux réjouissances,
et à la fête que pour tout autre des
trois concepts (être perdu, être cherché,
être trouvé). Comment pourrait-il en être
autrement avec un tel amour ? La joie,
résultat de l’amour, n’est-elle pas le deuxième
fruit de l’Esprit1 ? »

Mais pourquoi Dieu célèbre-t-il aussi
longuement le recouvrement de ce qui
était perdu ? « Ce sont le berger, la femme,
le père qui, dans l’attente, souffrent le
plus. C’est Dieu qui souffre lorsque noussommes perdus, mais c’est aussi Dieu qui
se réjouit le plus lorsque ce qui est perdu
est retrouvé. […] Dieu aime fêter2 ! »

En lisant Luc 15, combien de fois
avons-nous raté cet aspect de la parabole ?
J’oserais dire que la majorité des commentaires
sur Luc 15 reflètent la perspective
narcissique de l’humanité. Très peu s’arrêtent
sur ce que Dieu ressent à l’égard de
ses fils et filles perdues, loin du jardin
d’Éden, et réduits à manger ce que les
cochons dédaignent. Dieu a donné en
abondance,mais, étrangement, nous avons
choisi la lie. Comme son coeur doit souffrir
! Il désire tant nous faire don de la joie,
mais nous, comme un bambin de deux
ans, nous nous obstinons à n’en faire qu’à
notre tête !

Dans sa description de son cheminement
de l’athéisme au christianisme,
C. S. Lewis (1898-1963) se souvient du
sentiment de joie puissant mais fugace qui
l’avait animé quand son frère lui avait
montré une réplique d’un jardin dans une
petite boîte. En d’autres occasions, il se
languissait de quelque chose qu’il n’arrivait
pas à nommer. Avec le recul, il fut convaincu
que Dieu utilisait ces « flèches de joie
décochées sur moi depuis mon enfance
même » pour percer son égoïsme, pourl’inspirer à regarder au-delà de l’immédiat
la source éternelle de joie – Dieu.

Cet homme mit quelques années à se
convertir. En dépit de ses sentiments mitigés,
la joie dominait. « Dans un sens,
l’histoire centrale de ma vie ne relève de
rien d’autre […] C’est celle d’un désir
insatisfait, lequel est lui-même plus désirable
qu’aucune autre satisfaction. Il s’appelle
joie, un terme technique qu’il faut
distinguer franchement du bonheur et du
plaisir3.

BRAINSTORMING
1. Comment devenons-nous dignes de
recevoir les fruits du Saint-Esprit ?
2. S’il s’agit de la fête de Dieu, pourquoi
murmurons-nous constamment sur
les détails, tels que le choix des invités
et leur degré de dignité ?
3. Comment les « flèches de joie » de votre
vie pointent-elles vers Dieu, source de
joie ?
_________________
1. Caleb Rosado, What Is God Like? Renew Your Acquaintance
With a Compassionate God, Hagerstown,Maryland, Review
and Herald Publishing Association, 1988, p. 46.
2. Ibid., p. 57.
3. C. S. Lewis, Surprised by joy, New York, Harcourt, Brace
& Company, 1955, p. 214-219.




« La joie révélée
dans notre vie »
Santhosh S. Jackson, Laurel, Maryland, États-Unis
Lundi
ESPRIT DE PROPHÉTIE
Ga 5.22,23

« Nous sommes un sarment du vrai
cep et nous portons des fruits abondants à
la gloire de Dieu. Quel est le caractère de
ces fruits ? Le fruit de l’Esprit, c’est l’amour
et non la haine ; la joie et non le mécontentement
; la paix et non l’irritation, l’anxiété
et les difficultés que l’on se crée soi-même.
C’est encore “la patience, la bonté, la bénignité,
la fidélité, la douceur, la tempérance”
1. (Ga 5.22,23) »

« Est-il possible d’avoir la joie
en obéissant à Christ ? »


« La joie du Christ, au milieu de ses
humiliations et de ses souffrances, était
dans la pensée que ses disciples seraient
glorifiés avec lui. Ils sont le fruit de son
sacrifice. La reproduction, en eux, de son
caractère et de son esprit : voilà sa récompense,
voilà sa joie pendant l’éternité. Ils
partageront cette joie avec lui, en constatant
chez d’autres le fruit de leurs efforts et
de leurs sacrifices2. »

« Mais le fruit de l’Esprit, c’est l’amour,
la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité,
la fidélité, la douceur, la tempérance.
Ces grâces se verront dans chaque pierre
qui compose le temple de Dieu. Toutes les
pierres ne sont pas de même dimension ou
de même forme, mais chacune d’elle a sa
place dans le temple3. »

« En collaborant avec abnégation, en
s’ennoblissant par la participation aux souffrances
du Christ, en partageant sa compassion,
on contribue à augmenter sa joie
et à faire rejaillir gloire et honneur sur son
saint nom4. »

« “Et maintenant, je vais à toi, et je
parle ainsi dans le monde, afin qu’ils aient
en eux ma joie parfaite.” Est-il possible
d’avoir la joie en obéissant à Christ ? C’est
la seule joie réelle que toute âme peut posséder.
Vous pouvez toujours rire, plaisanter,
et vous payer ce qu’on appelle “du bon
temps” ;mais votre joie ne sera qu’une folle
gratification d’un esprit non équilibré par
l’Esprit de Dieu5. »

BRAINSTORMING
1. « Toutes les pierres ne sont pas demême
dimension ou de même forme, mais
chacune d’elle a sa place dans le temple. »
En quoi ce concept est-il semblable aux
dons spirituels décrits dans Romains
12.6 ? Différent ?
2. Comment savez-vous que vous êtes
rempli de la joie du Christ et que vous
ne faites pas simplement que tirer du
plaisir de la fraternisation chrétienne ?
____________
1. Le ministère évangélique, p. 282.
2. Jésus-Christ, p. 623.
3. Reflecting Christ, p. 273.
4. Les paraboles de Jésus, p. 354.
5. The Advent Review and Sabbath Herald, 3 septembre
1895.




« La joie des rachetés »
Melissa Sahlin, Mason, Ohio, États-Unis
Mardi
PREUVE À L’APPUI
Es 35.1,2,10

Souvent intitulé « La joie des rachetés »,
Ésaïe 35 commence ainsi : « Que le désert
et la terre aride manifestent leur joie ! Que
le pays sec s’émerveille et se couvre de
fleurs, aussi belles que les lis ! Oui, qu’il
se couvre de fleurs, et qu’il s’émerveille à
grands cris ! » (Es 35.1)

Gédéon battait du blé au pressoir lorsqu’un
ange lui apparut (Jg 6.11). Le battage
se faisait habituellement en lieu élevé,
mais à cause desMadianites dans la région,
il devait se cacher. Pour mieux connaître
les pratiques liées à lamoisson, voir Ruth 2.
Comme la plupart de nos aliments sont
produits par des fermes industrielles, nous
ne nous rendons pas vraiment compte de
ce que leur production implique. Nous
sommes au courant des concepts en général,
mais la plupart d’entre nous ne cultivent
pas leurs aliments et ne craignent pas la
disette.

Aux temps bibliques, il fallait travailler
dur pour se procurer de la nourriture. Les
gens passaient le clair de leur temps à
subvenir à leurs besoins. Les troupeaux
déménageaient selon les saisons. Et que
dire de la menace des animaux sauvages
et des conditions climatiques hostiles !
Cependant, aux versets 3 et 4 d’Ésaïe
35 (COL), la force est redonnée aux mains
affaiblies. Les coeurs craintifs sont rassurés
: « Fortifiez-vous, soyez sans crainte ;
voici votre Dieu, la vengeance viendra, la
rétribution de Dieu ; il viendra lui-même
et vous sauvera. »

Le verset six fournit des raisons concrètes
de se réjouir : « Car des eaux jailliront
dans le désert ». Vers la fin du chapitre,
les humains imparfaits sont transformés
: « Ils arriveront dans Sion avec
chants de triomphe, et une joie éternelle
couronnera leur tête. »

La joie, décidément, va au-delà de ce
que nous connaissons. Elle ne peut être
planifiée, ni contrainte, car c’est Dieu luimême
qui nous couronne de joie.

BRAINSTORMING
1. En quoi une couronne de joie rend-elle
votre vie différente ?
2. Est-il difficile d’accepter la joie profonde
et constante de Dieu ? Justifiez votre
réponse.




Faire l’expérience
de la joie
32
Gianluca Bruno, Mason, Ohio, États-Unis
Mercredi
13 janvier
POUR PASSER À L’ACTION
Jn 14.14-17 ; 17.13 ;
Ac 2.1-4,46 ; 1 Jn 1.3,4

La joie est un élément des fruits de
l’Esprit. Elle est la preuve de la présence
du Saint-Esprit en nous. Mais comment
être rempli de l’Esprit ?

Jean nous éclaire : « Ce que nous avons
vu et entendu, nous vous l’annonçons, à
vous aussi, afin que vous aussi, vous soyez
en communion avec nous. Or, notre communion
est avec le Père et avec son Fils,
Jésus-Christ. Ceci, nous l’écrivons, afin
que notre joie soit complète. » (1 Jn 1.3,4,
SER)

Nous bénéficierons
d’un tuteur personnel
dans ce cours appelé Vie 101.


Ainsi, comment notre joie peut-elle
être complète ?

Premièrement, reconnaissons que sans
Jésus, nous n’avons rien (Jn 6.63). C’est
lui qui nous donne la vie éternelle grâce à
son sacrifice pour le péché. Ainsi, peu
importe ce que nous faisons, il nous est
impossible d’être à la hauteur ou de satisfaire
toutes les exigences.

Deuxièmement, demandons en son nom.
(Jn 14.14). Abandonnons le moi. Ceci
semble contraire au bon sens, parce que
notre culture s’édifie sur les réussites personnelles.
Mais nous ne pouvons remplir
ce devoir par nous-mêmes, peu importe
combien nous nous y efforçons.

Troisièmement, obéissons à ses commandements
(Jn 14.15). Ceci signifie que nous
devons étudier, étudier, étudier. Lisons
chaque jour la Bible, et concentrons-nous
particulièrement sur la vie de Jésus. Et
Jésus demandera à Dieu le Père de nous
accorder son Esprit, lequel nous conduira
dans toute la vérité (Jn 14.16,17). Nous
bénéficierons d’un tuteur personnel dans
ce cours appelé Vie 101. Rappelons-nous
que Jésus nous dit ces choses pour que
nous soyons remplis de sa joie (Jn 17.13).

Quatrièmement, étudions avec d’autres
chrétiens (He 10.25). Nous devons nous
réunir régulièrement avec nos frères et
soeurs en Jésus pour obéir à cette injonction
(Ac 2.1-4,46 ; Rm 5.10). Il s’agit d’un
travail intense. Pas le temps de se chamailler.
Tous pour un, et un pour tous !

BRAINSTORMING
1. Comparez ce que le monde attend de
vous avec ce que Dieu attend de vous.
Quelles sont les similarités ? Les différences
?
2. Comment gérez-vous une situation où des
gens de votre groupe d’étude biblique ne
font pas preuve des attributs chrétiens
ou ont une interprétation différente d’un
passage biblique ?
3. Comment cultiver un meilleur esprit
d’équipe dans votre église ?




Finie la joie !
Stephanie Sahlin Jackson, Laurel, Maryland, États-Unis
Jeudi
OPINION
Jn 15.11,16

Les instituts d’enseignement supérieur
et les universités sont gouvernés par une
structure rigide. Chaque programme est
doté de paramètres concernant les travaux
à remettre, lesmanuels obligatoires, la notation,
etc. Une telle structure englobe tout,
et implique le professeur et l’étudiant dans
leurs moindres actions. L’apprentissage se
mesure à travers divers examens. Il n’est
pas étonnant que les étudiants se soucient
de leurs performances – pas seulement
dans le cadre universitaire mais aussi dans
le monde en général. Leurs sentiments
jouent au yoyo. S’ils ont de bonnes notes,
ils sont heureux. Si un travail est en retard,
ils paniquent. Et il en est ainsi semestre
après semestre.

La vie est bourrée
de moments générant
de l’anxiété.


La vie est bourrée de moments générant
de l’anxiété. Ceux-ci sapent notre bonheur,
souvent sans avertissement. Pensez
aux attaques de Bombay, centre financier
de l’Inde ; au bombardement du métro de
Londres ; au 11 septembre des États-Unis.
Imaginez des désastres naturels cataclysmiques
tels que les ouragans, séismes, tsunamis.

Et que dire de l’effondrement des
prêts hypothécaires à haute risque ayant
mené à la quasi-faillite des banques, des
maisons d’investissement, et des marchés
boursiers ? La déstabilisation s’est étendue
à travers le monde, affectant les pays, petits
ou grands. Finie la joie !

Dans Jean 15.11,16, cependant, Dieu
nous révèle sa conception de la joie. « Je
vous ai dit cela afin que ma joie soit en
vous et que votre joie soit complète. Ce
n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi
qui vous ai choisis ; je vous ai chargés
d’aller, de porter des fruits et des fruits
durables. »

En voilà une bonne nouvelle ! Contrairement
auxmessages négatifs de cemonde,
Dieu promet de partager sa joie avec nous.
Notre Dieu tout-puissant et omniscient jette
un filet protecteur autour de nous. Peu
importe ce qui s’écroule, nous pouvons
compter sur celui qui nous comprend. En
définitive, la joie n’a rien à voir avec le
hasard.

BRAINSTORMING
1. Réfléchissez à un moment où il vous
semblait que quelqu’un s’amusait à vous
crier « Finie la joie ! » Qu’avez-vous ressenti
?
2. Quelle est la différence entre le style de
vie et la transformation par l’Esprit ?




Un don qui surprend
le donateur
Jennifer Morgan, Terre-Neuve, Canada
Vendredi
EXPLORATION
Lc 15.4-24 ; Jn 15.10-16

POUR CONCLURE

La joie n’est pas quelque chose que
nous pouvons produire par la seule force
de notre volonté. Dans les paraboles de la
brebis, de la pièce et du fils perdus, Jésus
explique que Dieu se réjouit lorsqu’une
âme perdue revient à lui. L’amour réciproque
produit la joie. Dans Jean 15, il
révèle que l’amour vient de Dieu. Nous
l’aimons parce qu’il nous a aimés le premier.
De même, en vivant dans son amour,
nous sommes transformés. Nous nousmettons
à aimer les autres de façon désintéressée,
et de ce fait, nous goûtons à une joie
éternelle. À l’instar du frère aîné, nous ne
pourrons nous joindre à la fête de Dieu
que lorsque nous apprécierons la compagnie
de ses enfants.

COFFRE AUX IDÉES
• Dans votre journal personnel, prenez note
de la dernière fois où vous avez ressenti
une vraie joie. Examinez ensuite la source
de cette joie et le sentiment qu’elle a entraîné.
Ce souvenir vous fait-il encore vibrer
de joie ?
• Faites une liste des façons de transmettre
votre joie cette semaine. Choisissez-en une
et mettez-la à exécution. Qu’en ressentezvous
?
• Partagez l’un de vos talents avec quelqu’un
d’autre et demandez-lui de vous rendre la
pareille !
• Profitez de la nature cette semaine. En
réponse à l’inspiration de la création
divine, écrivez un poème ou composez un
chant, faites une peinture ou de la photo.
• À partir de votre propre collection de photos
ou d’un magazine, dénichez une photo
qui, à votre avis, personnifie la joie.
Montrez-la à votre classe de l’École du
sabbat.

POUR ALLER PLUS LOIN
 Carolyn Arends, « Surprised by Joy »,
de l’album This Much I Understand ;
Brennan Manning, « A Touch of Folly »,
de The Ragamuffin Gospel : Embracing
the Unconditional Love of God ; Henri
Nouwen, Turn My Mourning into Dancing:
Finding Hope in Hard Times ; Ellen G.
White, « That Your Joy Might Be Full »,
The Signs of the Times, 11 août 1909,
http://egwdatabase. whiteestate.org/nxt/
gateway.dll?f=templates$fn=default.htm
$vid=default.

http://cqbiblestudy.org/site/1/lessons/2010-1/French/STUDENT/CQ-10-Q1-F-03.pdf

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