LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT

APOC. 14: 12 "C'EST ICI LA PERSEVERANCE DES SAINTS, QUI GARDENT LES COMMANDEMENTS DE DIEU ET LA FOI DE JESUS." Consultez les liens pour la lecon de l'ECOLE DU SABBAT DE LA SEMAINE COURANTE EN BAS DE CETTE ANNONCE A DROITE. Et lisez L'INTRO., LES SOUS-TITRES ET LA CONCLUSION avant, ensuite si vous vous voulez lire a vol d'oiseau, lisez le commencement et la fin de chaque paragraphe. ET GARDEZ TOUJOURS EN MEMOIRE LE SUJET SPECIFIQUE DONT IL EST QUESTION, ET SOUVENEZ-VOUS DU GRAND TITRE ET DES SOUS-TITRES et de leur contexte respectif. QUEL EST LE SUJET EN QUESTION? C'est ce qui est important...SOYEZ BENIS!!!




Wednesday, March 3, 2010

LE FRUIT DE L'ESPRIT, C'EST LA MAITRISE DE SOI









Voici la lecon presentee par l'Eglise Adventiste de Sacramento de Pastor Doug Bathelor a www.amazingfacts.com


CLIQUER SUR LE LIEN QUI SUIT POUR UN VIDEO DE LA LECON DE L'ECOLE DU SABBAT PRESENTEE PAR LE DR. DEREK MORRIS DE L'EGLISE DE LAKE FOREST

http://media.forestlakechurch.org/content/media/2010q103-06-fruit-spirit-self-control

http://www.earthharvest.org/en/christian_online_bible_apologetics/World-Religions-Sacred-Symbols/Jesus-Christ-Ascending-Trinity-Father-Son-Holy-Ghost-1LG.jpg

Le fruit de l’Esprit, c’est la maîtrise de soi

« Je traite durement mon corps et je le maîtrise sévèrement, afin de ne pas être moi-même disqualifié après avoir prêché aux autres. » (1 Corinthiens 9.27)



Maîtrise du Christ = maîtrise de soi
Edinor Lindiwe Donda, Pretoria, République d’Afrique du Sud
Sabbat INTRODUCTION
Pr 25.28 ; Ga 5.18,24,25

Proverbes 25.28 traite fondamentalement de la maîtrise de soi. À cette époque, on construisait des murs pour protéger une ville de toutes sortes de dangers. De même, une personne qui ne se maîtrise pas s’expose à toutes sortes de maux. La maîtrise de soi, c’est la puissance de se contenir et d’agir selon la volonté de Dieu et pour sa gloire.

La maîtrise de soi ne s’obtient pas simplement en réprimant la convoitise. C’est la manifestation de l’œuvre de Dieu en nous par le Saint-Esprit. Le manque de maîtrise de soi est responsable de bien des problèmes aujourd’hui. Le manque d’amour pour Dieu et pour sa Parole résulte en un manque de maîtrise de soi (2 Tm 3.1-4).

Nous apprenons la maîtrise de soi en abandonnant notre vie au Seigneur.

Mais, comment l’obtenir ? « Pour savoir comment nous comporter avec circonspection, nous devons emprunter la voie que le Christ nous montre*. » Nous apprenons la maîtrise de soi en abandonnant notre vie au Seigneur. Être contrôlé par le Christ, c’est savoir que nous lui appartenons. Cette semaine, puisse votre prière être : « Mes pas sont fermes dans tes voies, mes pieds ne chancellent pas. » (Ps 17.5, COL)
__________________

Ellen G. White, Sons and Daughters of God, p. 155.



Rien
Khwezi Yanga Toni, Ville du Cap, République d’Afrique du Sud
Dimanche IL EST ÉCRIT
Jg 13-16 ; 1 Co 9.24-27 ; Ph 4.8 ; Col 3.1-10 ; He 12.1,2 ; 1 Jn 2.15,16

La signification de la tempérance (Ps 101.3 ; 1 Co 9.24-27 ; Ga 5.23 ; Ph 3.8,9)
La tempérance, c’est « le développement harmonieux des énergies physiques, mentales, spirituelles1 ». C’est la maîtrise de nos actions, pensées, sentiments, habitudes, appétits, désirs, et passions. La tempérance, ou maîtrise de soi, veut dire mourir à soi et laisser le Christ contrôler chacun des aspects de notre vie.

Quand faut-il acquérir la maîtrise de soi ? (Gn 37-39 ; Jg 13-16 ; Dn 1 ; Lc 2.52)
« Le caractère des enfants et des jeunes gens est très impressionnable. C’est à cet âge qu’il faut acquérir l’habitude de se maîtriser. ... Mieux que les dons naturels, les habitudes contractées au cours des premières années décideront de la victoire ou de la défaite dans la bataille de la vie2. » J’en veux pour preuve les vies de Jésus, Daniel et ses compagnons, Joseph. De nombreuses personnes nous conseillent de profiter de la vie tandis que nous sommes jeunes. Puis, quand nous sommes vieux, nous pouvons alors commencer à exercer la vertu. Cette philosophie ne tient pas la route, il suffit de considérer les vies de Samson, Néron et Alexandre le Grand. Dieu nous enseigne que nous devons le chercher dans les jours de notre jeunesse
(Ec 11.9 ; 12.1). « Les jeunes qui trouvent leur joie et leur bonheur dans la lecture de la Parole de Dieu et dans la prière ne cessent de se désaltérer à la Source de la vie. Ils atteindront un niveau de perfection morale et une largeur de pensée que d’autres sont incapables de concevoir3. »

La Parole nous encourage à assaisonner nos paroles de grâce.

L’esprit et notre discours (Pr 4.25,26 ; Mt 6.19,20 ; Col 3.2,3 ; 1 Jn 2.15,16)
« L’esprit régit l ’être humain tout entier. Tous nos actes, bons ou mauvais, ont leur source dans l’esprit. C’est l’esprit qui adore Dieu et nous unit aux êtres célestes4. » Ce que nous disons et faisons prend naissance dans l’esprit. Notre façon de répondre aux stimuli de notre environnement a généralement sa source dans l’esprit. Si l’esprit est fixé sur le monde, les actes et les pensées iront dans cette voie. L’apôtre Pierre nous exhorte à tenir notre esprit en éveil (1 P 1.13, SEM). Si nous voulons penser d’une certaine façon, nous devons fixer nos yeux sur les choses qui s’y associent (Pr 4.25,26) car nous sommes transformés par la contemplation. Nous devons fixer notre esprit sur les choses d’en haut, placer notre trésor au ciel, et ne pas aimer le monde. Nous devons regarder à Christ (Es 26.3) et apprendre à penser comme lui. Une fois notre esprit maîtrisé, il nous sera plus facile de maîtriser notre discours. La Parole nous encourage à assaisonner nos paroles de grâce (Col 4.6) afin que les autres puissent être conduits à Christ (Col 4.6 ; Rm 15.8). Prions Dieu de veiller sur notre bouche (Ps 141.3). Et souvenons-nous toujours que nos paroles expriment nos pensées.

L’appétit (He 12.1 ; 1 Co 6.19,20 ; 10.31)
Notre corps est le temple de Dieu. Par conséquent, nous ne devons pas consommer des aliments ou des breuvages qui le souillent. Romains 12.1 nous exhorte à présenter notre corps comme un sacrifice vivant à Dieu.

Ce que nous mangeons affecte notre pensée. « Aucun chrétien n’absorbera des aliments ou des boissons susceptibles d’émousser ses sens, et dont l’effet sur le système nerveux pourrait le conduire à la dégradation et à l’inutilité. Le temple de Dieu ne doit pas être souillé. Les facultés de l’esprit et du corps devraient être gardées intactes pour qu’elles puissent glorifier Dieu5. »

Les fruits (Mt 19.26 ; Jn 15.5,16 ; Ga 5.22-25 ; Ph 4.13)
Les sarments d’une vigne produisent des fruits. Fruits et sarments dépendent de la vigne pour survivre. Christ a dit qu’il est la vigne et que nous sommes les sarments. Si nous, les sarments, restons greffés à lui, nous porterons beaucoup de fruits. Mais sans lui, impossible de produire les fruits de l’Esprit, de posséder la maîtrise de soi. Le fruit du Saint-Esprit ne peut se développer en nous qu’à condition de dépendre du Christ (Mt 19.26 ; Ph 4.13).

Un sarment ne produit pas du fruit pour lui-même, mais pour les autres. De même, nous portons les fruits de l’Esprit pour servir les autres et les conduire à Christ. « Nous devons vaincre les désirs de la chair et pratiquer la tempérance, tout en faisant du bien aux autres6 ». « Nul de nous ne vit pour lui-même, et nul ne meurt pour lui-même. » (Rm 14.7)

BRAINSTORMING
1. Avez-vous déjà limité la tempérance aux questions de santé ? Si oui, que ferez- vous pour changer cette conception ?
2. Considérez vos habitudes ou manques d’habitudes. Quelles habitudes font preuve de tempérance ou d’intempérance ? Comment développer de meilleures habitudes ?
_________________
1. Ellen G. White, Éducation, p. 7. 2. Id., Messages à la jeunesse, p. 132, 133. 3. Ibid., p. 428. 4. Id., Pour un bon équilibre mental et spirituel, vol. 1, p. 72. 5. Id., Tempérance, p. 15. 6. Adventist Review, 26 octobre 1995, p. 19.



Déterminer l’avenir
Khaka Gomba, Pretoria, République d’Afrique du Sud
Lundi ESPRIT DE PROPHÉTIE
1 Co 9.27

« Que peut-on faire pour arrêter la vague de maladie et de crime qui entraîne la famille humaine vers la ruine et la mort ? S’il est vrai que la cause principale du mal provient de ce qu’on se livre aux appétits et aux passions, le premier pas dans la voie de la réforme sera de mettre en pratique une leçon de tempérance et de maîtrise de soi-même.

« Si l’on veut obtenir une amélioration durable dans la société, il faut éduquer les masses, en commençant par l’enfance. L’avenir d’un homme ou d’une femme est généralement déterminé par les habitudes contractées au cours des premières années, par les goûts acquis, la victoire remportée sur soi-même, les principes inculqués dès le berceau. Le crime et la corruption cau- sés par l’intempérance et le relâchement de la morale pourraient être évités en donnant à la jeunesse une éducation appropriée.

« Une bonne santé contribue pour une large part à former, parmi les jeunes, des caractères purs et nobles, à dominer les appétits et à s’abstenir d’excès avilissants. En même temps, ces mêmes habitudes de tempérance sont indispensables au maintien de la santé1. »

« Ceux qui ne peuvent vaincre dans les petites choses n’auront pas la puissance morale nécessaire pour résister aux grandes tentations. »

« Les remparts de la maîtrise de soi et de la modération ne devraient pas pouvoir être affaiblis et abattus à la moindre sollicitation. Ceux qui ne peuvent vaincre dans les petites choses n’auront pas la puissance morale nécessaire pour résister aux grandes tentations2. » « Tous ceux qui cherchent à faire de l’honnêteté leur principe directeur dans les affaires quotidiennes de la vie devront se tenir sur leurs gardes pour ne pas convoiter de l’argent, de l’or ou des vêtements. Tandis qu’ils se contentent de la nourriture et des vêtements convenables, il leur sera plus facile de garder leur cœur et leurs mains loin de la convoitise et de la malhonnêteté3. »

« Vous ne pourrez éviter de rencontrer des choses qui froisseront votre esprit et qui vous mettront à dure épreuve. Puisse la maîtrise de soi être vôtre dans la force de Jésus4. »

BRAINSTORMING
1. Quelles mesures pratiques pouvons-nous prendre pour garder les avenues de notre esprit ?
2. Le manque de maîtrise de soi a-t-il affecté votre collectivité ? Jusqu’à quel point ?
____________
1. Ellen G. White, Messages à la jeunesse, p. 231. 2. Id., Conseils sur la nutrition et les aliments, p. 199. 3. Id., Testimonies for the Church, vol. 4, p. 574. 4. Ibid. p. 502.



Maîtrise de soi ou autodestruction
Sipiwe Nelani, Ville du Cap, République d’Afrique du Sud
Mardi PREUVE À L’APPUI
Ph 4.8

Les détails entourant la mort d’Alexandre le Grand sont discutables. Pendant les dernières semaines de sa vie, il était occupé à faire des plans pour endiguer l’Euphrate et faire la conquête de l’Arabie. Un banquet fut alors organisé pour marquer le départ de Néarque pour l’Arabie et, en même temps, commémorer la mort d’Héraclès. Lors de cette célébration, Alexandre but très rapidement une grande quantité de vin, ce qui lui causa de grandes souffrances. Personne ne pouvant le soulager, il devint clair qu’il ne s’en remettrait pas. Ses amis lui demandèrent alors : « À qui laisses-tu le royaume ? » Il répliqua : « Au meilleur [au plus fort]. » Ce furent ses dernières paroles. Alexandre rendit l’âme dans le palais de Nabudoconosor1. On l’appelait le Grand, mais il n’était certes pas le plus grand quant à la maîtrise de soi. Il conquit le monde, mais ne put dominer sa convoitise.

Preuves scientifiques et croyances spirituelles démontrent que le bien-être dépend plus de la capacité d’une personne à contrôler ce qui se passe en elle que de contrôler les événements et circonstances extérieurs. Cela n’a rien de nouveau et se vérifie dans de nombreuses cultures et religions. « La simple vérité – que le contrôle de la conscience détermine la qualité de vie -- est connu depuis que le monde est monde2. » Le contrôle des désirs internes détermine l’issue des expériences externes.

« Le contrôle de la conscience détermine la qualité de vie. »

Dans la première partie de 2 Samuel 11, David regarda intentionnellement Bath-Chéba se baigner et il l’envoya chercher. Ce manque de maîtrise de soi eut de bien vilaines conséquences : Bath-Chéba devint enceinte, et David fit assassiner son mari pour pouvoir l’épouser. Ce meurtre dénote un plus grand manque de maîtrise de soi encore. Joseph, cependant, resta maître de lui lorsque la femme de Potiphar tenta de le séduire. S’il dut payer cher son intégrité, en revanche, sa fidélité à Dieu préserva la nation entière de la famine.

BRAINSTORMING
Le mot soi dans la maîtrise peut être trompeur. Pouvons-nous nous maîtriser par nous-mêmes ? La maîtrise de soi étant un fruit de l’Esprit, en quoi cela nous aide-t-il à répondre à cette question ? ____________
1. Alexander the Great, http://w3.usf.edu/~hellenic/Frame Makedonia.htm (accès à ce site le 12 décembre 2008). 2. Csíkszentmihályi, Mihaly, Flow : The Psychology of Optimal
Experience, New York, Harper and Row, 1990, p. 20.



Quand personne ne regarde
Nkosazana Uviwe Maxhela, Ville du Cap, République d’Afrique du Sud
Mercredi POUR PASSER À L’ACTION
Jg 13-16 ; 1 Cor 9.24-27 ; Ph 4.8 ; Col 3.1-10 ; He 12.1,2 ; 1 Jn 1.15,16

Vous vous trouvez dans la chambre de vos parents. Il n’y a que vous. Devinez un peu ce qui traîne sur la table ? De l’argent ! Le raflerez-vous mine de rien, puis vous esquiverez-vous discrètement, ou résisterez- vous à la tentation ?

Résister à la tentation peut s’avérer ardu, particulièrement s’il n’y a pas de témoin. Jésus lui-même nous a avertis : « L’esprit est bien disposé, mais la chair est faible. » (Mc 14.38, SEM) À l’heure de la tentation, lorsque vous pensez que personne ne vous voit, Dieu, lui, voit. Il désire que vous vous maîtrisiez, que vous contrôliez votre tempérament même lorsqu’on vous provoque délibérément (Rm 12.9-21). Il désire que vous deveniez modéré dans le manger et le boire et que vous soumettiez même vos pensées à ce qui est saint et acceptable à ses yeux. Dieu nous a indiqué le sentier à suivre dans notre exercice de la maîtrise de soi. Ce sentier comporte de clairs repères. En voici quelques-uns :

Bouclez-la ! (Es 59.1) Ce faisant, vous vous assurez que votre cœur est solidement attaché au trône de la grâce. Vous y arriverez en priant avec ferveur et en mettant votre confiance dans le Tout-Puissant, dont la main n’est pas trop courte pour vous sauver. Le fait de demeurer constamment en communion avec lui gardera ses paroles gravées dans votre cœur, et le Saint-Esprit pourra vous délivrer.

Méditez (Ph 4.8). Si vous nourrissez votre esprit de pensées pures, vous serez mieux équipé pour résister à la tentation. Tandis que la bonne semence germe et prend racine dans votre esprit, vous pourrez davantage parer à n’importe quelle attaque menaçant votre maîtrise de vous-même. Résister au mal deviendra alors une question de principe.

Dieu nous a indiqué le sentier à suivre dans notre exercice de la maîtrise de soi.

Apprenez à faire le bien (Es 1.17). Aider les autres constitue l’une des meilleures sorties de secours pour combattre la tentation. Lorsque vous êtes aux prises avec une situation éprouvante, prenez position pour Dieu, et faites ce qui est bien. Des actes de bonté contrecarreront la tentation et dirigeront vos yeux sur la force de Dieu plutôt que sur votre faiblesse.

Fuyez ! (Jc 4.7) Fuir la tentation n’est pas un signe de faiblesse, mais plutôt de maîtrise de soi. Dieu dit que nous devons éviter le diable parce que la bataille n’est pas la nôtre, mais la sienne. En fuyant, vous reconnaissez sa grâce salvatrice et sa capacité de vous sauver. Fuyez donc. Dieu saura bien s’occuper de vos craintes.



Avertissement : Affaiblissement de la maîtrise de soi !
Xhantilomzi Perseverance Mlamleli, East London, République d’Afrique du Sud
Jeudi OPINION
Ps 101.3

De nombreux chrétiens ne sont pas conscients des dangers provenant des médias. Télévision, radio, magazines, sites Internet, tous sont conçus pour contrôler notre esprit sans que nous en soyons conscients. « Toute information programmée de façon subliminale ne rencontre aucune résistance de votre part. Cette information subliminale est entreposée dans votre cerveau avec un marqueur qui déclenchera une réaction capable d’in- fluencer votre comportement1. » De tels messages nous sont présentés si rapidement sous forme de mots, d’images ou de voix, que nous n’en sommes pas conscients. Cette réalité donne encore plus de poids à notre texte d’aujourd’hui. C’est presque comme si le psalmiste comprenait pleinement que le subconscient peut absorber des tas de choses à son insu.

Les médias cherchent à définir la réalité pour nous.


Les médias cherchent à définir la réalité pour nous. Beaucoup d’entre eux présentent le péché de façons attrayantes. C’est comme si ceux qui travaillent dans les médias s’efforçaient de dégrader nos capacités mentales et spirituelles. Le danger, c’est que les valeurs d’un monde pécheur modèlent graduellement notre façon de penser, et finalement, notre façon de vivre. D’où notre difficulté à nous maîtriser. Les médias peuvent aussi émousser notre intérêt pour la Parole de Dieu et notre capacité de la méditer. Un auteur, avide lecteur, partage avec nous son expérience : « Ce que le Net semble faire, c’est réduire petit à petit ma capacité de concentration et de contemplation. Mon esprit veut maintenant s’informer à la façon du Net : par un torrent de particules bougeant rapidement2. »

BRAINSTORMING
1. Comment éviter de vous faire avoir par les supercheries des médias ?
2. Considérez un instant ce que vous lisez, regardez, la musique que vous écoutez, et votre utilisation de l’Internet. Comment ces choses peuvent-elles influencer votre capacité à étudier la Bible et à appliquer ses vérités dans votre vie ? Que devriez- vous changer afin d’étudier et de mettre en pratique la Parole de Dieu plus efficacement ? (1 Th 5.22)
__________________
1. Steven Jacobson, Mind Control in the United States, with
an introduction by Antony C. Sutton. 2. The Atlantic, « Is Google Making Us Stupid? », par
Nicolas Carr, http://www.theatlantic.com/doc/200807/ google (accès à ce site le 12 décembre 2008).



Des choix sains
Jennifer Morgan, Terre-Neuve, Canada
Vendredi EXPLORATION
Ga 5.16-25 ; Col 3.1-10
POUR CONCLURE

Une vie tempérante en est une de maîtrise de soi. C’est facile si l’individu développe de saines habitudes tôt dans l’enfance. Cependant, avec la grâce de Dieu, nous pouvons vivre heureux, de façon équilibrée, chaque fois que nous prenons une bonne habitude. La tempérance, ce n’est pas ce que vous ne faites pas. Ce sont toutes les bonnes choses que vous choisissez de faire. Si nous remplissons notre cœur d’aliments sains, notre esprit d’une étude intelligente, nos oreilles et nos yeux des bénédictions de Dieu, et notre temps libre d’actes de générosité, notre vie produira les fruits de l’Esprit.

COFFRE AUX IDÉES
• Cherchez une nouvelle recette utilisant des ingrédients sains. Confectionnez-la et
apportez votre plat à l’École du sabbat
cette semaine.
• Dressez une liste de vos passe-temps de
la semaine dernière. Évaluez chacun d’eux. Puis prenez note de ce que vous pouvez améliorer et passez à l’action.
• Trouvez un ami qui vous aidera à prendre une bonne habitude. Faites du jogging ensemble, partagez des astuces touchant au régime alimentaire, de la musique, des livres, des activités de plein-air, parlez de la gestion de la colère ou des stratégies pour lutter contre les dépendances. Promettez à votre ami de mettre en pratique cette nouvelle habitude pendant 40 jours d’affilée.
• Lisez la biographie d’une personne qui a triomphé de ses mauvaises habitudes.

POUR ALLER PLUS LOIN
Ellen G. White, Le ministère de la guérison ; Ben Carson et Cecil Murphey, Les mains du miracle : L’histoire de Ben Carson ; Rick Warren, Une vie, une passion, une destinée : Pourquoi suis-je sur terre ?

No comments:

Post a Comment